Quel GPS et quel logiciel de carto choisir?

Posté en tant qu’invité par jeroenn:

Chez jules d’en face il y a deux softs sympa pour préparer des itinéraires GPS.

1- Un Editeur GPS qui permet de tracer des itinéraires sur fond de carte IGN, et de récupérer le fichier au format GPX pour le mettre dans son GPS.
2- Un Visualisateur GPS qui permet d’analyser sa trace GPS (Profil, tracé sous GMaps et IGN, statistiques, …)

Même si ça pourrait être amélioré par rapport à des logiciels payants, les fonctions de bases sont là, et c’est gratuit.

Faut que ça serve.

Cordialement,

[quote=la baltringue]En montagne, en rando, le GPS sert peu ou pas, et donc un basique genre G60 suffit. Faire gaffe à l’autonomie.

En VTTpar contre, c’est ultra utile et tu ne pourras plus t’en passer. Si tu en fais sérieusement, une grosse autonomie est nécéssaire ( raid de plusieurs jours ) une bonne précision aussi, et aussi un boitier etanche, resistant aux faux contacts.

Les 2 que tu cites sont très bien. La carto embarquée n’est pas nécéssaire. Juste utile en cas de retraite

J’en ai un autre ( le Edge de garmin, très typé cyclisme , tu as le cardio avec, le Vitual partner, etc … ce sont des gadgets mais très sympas )[/quote]
Oueh, alors la faut m’expliquer pourquoi en VTT , c’est super utile et pas en rando ou montagne!!! Curieux… :o
Tchusss
seb

Posté en tant qu’invité par létoile:

et sinon, cartoexporeur ne semble pas avoir résolu le pb de compatibilité avec windows vista, j’ai un cd à la maison qui ne fonctionne pas, même avec la procédure de MàJ de bayo, quelqu’un connait-il un paliatif ou a t-il résolu le problème???

Pour l’alpi, on a pas mal discuté ici:

Pour le VTT, l’intérêt est pt’être de ne pas rater un embranchement en descente ? Ce qui serait effectivement + utile qu’en rando car en général, ça descend + vite… :lol:

[quote=vboys74][quote=la baltringue]En montagne, en rando, le GPS sert peu ou pas, et donc un basique genre G60 suffit. Faire gaffe à l’autonomie.

En VTTpar contre, c’est ultra utile et tu ne pourras plus t’en passer. Si tu en fais sérieusement, une grosse autonomie est nécéssaire ( raid de plusieurs jours ) une bonne précision aussi, et aussi un boitier etanche, resistant aux faux contacts.

Les 2 que tu cites sont très bien. La carto embarquée n’est pas nécéssaire. Juste utile en cas de retraite

J’en ai un autre ( le Edge de garmin, très typé cyclisme , tu as le cardio avec, le Vitual partner, etc … ce sont des gadgets mais très sympas )[/quote]
Oueh, alors la faut m’expliquer pourquoi en VTT , c’est super utile et pas en rando ou montagne!!! Curieux… :o
Tchusss
seb[/quote]
En montagne, l’itinéraire est souvent évident ( remonter telle vallée… ) ou très précis ( prendre à droite un diéèdre;… ) Dans ces 2 cas, inutile de sortir le GPS. on peut le prendre et le sortir en cas de brouillard, etc, mais en temps normal pas besoin.

Par contre en VTT, tu roules, c’est casse couilles de t’arreter à chaque embranchement, sortir la carte pour savoir si c’est à droite ou à gauche… je ne peux plus m’en passer !

C’est pourtant évident, en rando tu vas plus lentement. Tu vas dire qu’à ski ce n’est pas évident que tu aille moins vite qu’à VTT mais en ski tu vas vite en descente et dans des pentes dégagées sans suivre précisément de chemin. C’est une situation où à VTT le GPS n’est pas très utile non plus.

Bonjour,

J’ai commencé par un Garmin 60 (écran N&B, pas de réelle cartographie embarquée), utilisé pour faire le point, de temps en temps, et en confirmation de la simple lecture de carte, ce qui permettait de le couper entre chaque point, pour économiser les piles (donc, pas de mode trace, et peu de waypoints).

Ensuite, les prix ont soudainement diminué, et pour le prix du Garmin 60, j’ai pu acquérir le Garmin 60 CSX, avec écran en couleur, possibilité de vraie cartographie embarquée, altimètre électronique, compas élextronique (qui donne des directions, et peut servir à des relèvements, même si l’on est immobile, et contrairement à un GPS sans compas électronique).

Avantage principal du 60 CSX : la plus grande sensibilité du récepteur, ce qui autorise une réception des satellites, même sous un couvert assez dense, contrairement au 60.

Dans les deux cas, il existe un réglage de l’alimentation : piles alcalines/piles rechargeables, qui permet d’utiliser les secondes, plus économiques…

Autre astuce : activer le mode « fonctionnement économique », pour augmenter l’autonomie.

Bien d’autres fonctions utiles existent, quelque part dans tous les menus, sous-menus, sous-sous-menus…

Par exemple : l’affichage, en temps réel, de la position azimutale de la lune et du soleil, ce qui peut dépanner dans certaines circonstances, en autorisant la détermination de la direction des points cardinaux, et la définition d’un axe de progression, même si l’on n’a plus de boussole ni de réception des satellites.

Bien entendu, on s’orientera à plus ou moins une quinzaine de degrés, ainsi, mais c’est mieux que rien…

Il ya a encore bien d’autres choses à découvrir : une fonction navigation sous voile (parachute à caisson), dans les menus du 60 CSX, si je ne me trompe pas…

Le GPS, la boussole, la carte, sont complémentaires plutôt que concurrents.

Longtemps, j’ai considéré qu’une boussole et une carte étaient suffisantes, et donc le GPS superflu…

Jusqu’à ce que je me sois plusieurs fois à demi-perdu, dans des endroits sans reliefs me permettant de faire une triangulation sur des points remarquables, et dont l’environnement immédiat était dépourvu de tout signe distinctif pouvant être identifié à coup sûr, sur la carte…

Un premier conseil : offrir un étui rembourré et avec une fenêtre de lecture à son GMS (Garmin n’en fournit pas, et seul un étui de ceinture est disponible, en accessoire).

Ajouter une feuille de plastique transparent, à poser sur l’écran d’affichage, pour le protéger des rayures, des traces de doigts…

Ne jamais se contenter du GPS, pour se positionner dans des lieux retirés, et reporter sa position sur la carte, toutes les demi-heures, sinon les quart-d’heures, pour pouvoir facilement basculer du mode GPS au mode boussole et carte, à tout moment…

Un GPS est particulièrement utile, en montagne, quand on est dans le brouillard, car plus simple à utiliser que la boussole et l’altimètre qui imposent alors une progression par courbe de niveau et/ou à l’azimut…

Cordialement.