Comme le sujet des pâturages sur terrains privés est actuellement discuté, je rebondis sur mon propre post:
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Une très large majorité (80%) des pâturages pyrénéens appartiennent au domaine public, et la moitié (48%) des pâturages alpins sont sur le domaine public également.
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À cela s’ajoute les pâturages sur des parcelles privées, mais traversées par des voies publiques, des chemins de GR, des voies communales, des chemins ruraux… Autant de « chemins » ou « sentiers » inaliénables, c’est à dire dont l’accès doit demeurer ouvert au public.
Je n’ai pas de statistiques sur la seconde catégorie, mais en considérant 1 + 2, les chemins traversant des pâturages doivent rester ouverts au public, dans leur immense majorité.