Au final tous ces problèmes sont du au laxisme de certains éleveurs et bergers.
Laisser divaguer des chiens puissants, dangereux, jamais socialisés, ayant très peu de contact avec les humains et tarés, nourris au moyen de distributeurs de croquettes remplis une fois par semaine par l’éleveur lors de sa visite hebdomadaire, dans des parcs non délimités ou alors avec des clôtures inefficaces plantées à la va vite, on ne peut pas appeler ça faire son travail.
Il est possible de poser des clôtures anti loup qui permettent de se passer des patous, mais ça demande beaucoup plus de travail.
Un chien quel que soit sa race sa s’élève, ça se dresse et ça se socialise, et plus le chien et grand et puissant plus il doit être dressé. Dire que les chiens de protection ne se dressent pas, pour moi c’est un argument bidon pour cacher sa flemme et son laxisme.
La journée les moutons dans les enclos sérieusement posés, très bien électrifiés, des enclos pas trop grand, éventuellement un chien de protection ou deux à côté du berger et qui lui obéissent au doigts et à l’oeil.
La nuit les moutons dans des tout petits enclos, parfaitement clôturés, sans la moindre faille, et électrifiés avec un vrai courant qui fait vraiment très mal, les chiens de protection bloqués au sein de cet enclos et qui ne peuvent pas en sortir. Là le berger peut dormir la nuit.
Avec une configuration comme ça pas de pertes de moutons, aucune attaque sur les pratiquants de la montagne. Il faudrait exiger ça de nos autorités !
A Champéry ces derniers jours il y a eu un patou que la bergère recherchait, plus du tout avec les moutons. Et ce matin je viens de voir que deux bergers des abbruzes se baladent en liberté vers les habitations.
Après je ne dit pas, certains éleveurs et bergers font bien leur boulot, mais il y en a aussi beaucoup qui s’en foutent royalement.
Les attaques et morsures sur les pratiquants de la montagnes sont inadmissibles et doivent cesser.
Rien ne justifie que des personnes se fassent mordre pour préserver le gagne pain de quelques dizaines de personnes sous perfusion de l’état, c’est à dire subventionnées par l’argent qu’on nous ponctionne !