Posté en tant qu’invité par P’tit Bouchon:
J’ai des bâtons télescopiques leki avec une mousse sous la poignée (je ne sais pas comment ça s’appelle ??) Le problème est que cette mousse est descendue et que je n’arrive pas à la faire remonter (j’ai choisi ces batons exprès pour la mousse 
. Si quelqu’un a une solution…
Posté en tant qu’invité par çarhigolpahici:
C’est pourtant pas compliqué de faire remonter la mousse. Généralement, ça remonte tout seul.
Posté en tant qu’invité par çarhigolpahici:
Mille excuses pour mes conneries, P’tit Bouchon, mais c’est plus fort que moi. Je ne peux pas m’en empêcher…
Posté en tant qu’invité par cecile:
hé, p’tit bouchon, j’suis allée à la pisbac hier!!!
Posté en tant qu’invité par Bubu:
J’ai eu le meme probleme avec mes Leki, mais au bout de 3 jours seulement, voyez quand je dis que je suis trop lourd 
En fait, c’était en ski et dès que la mousse est mouillée(surtout si de l’eau se glisse sous la mousse), elle glisse très facilement. Le problème est pour la remonter après la descente, durant laquelle on ne s’est pas appuyé dessus et où elle a eu le temps de sécher au soleil en position basse…
Je l’ai remouillé pour la remonter (il faut faire entrer de l’eau sous la mousse progressivement par le haut), puis je l’ai collée après séchage: cyanolite sur le 1er cm du haut, on ne peut pas en mettre plus bas sans l’abimer.
Au bout de 3 ans, la mousse commence a se déchirer de la portion collée, je recollerai de la meme façon la partie non collée lorsqu’elle sera complètement désolidarisée de la partie collée, mais je trouve que ça a été une bonne solution, car ça devenait embettant de s’appuyer sur la mousse et de glisser de 15cm, alors qu’on était éprouvé sous le soleil, les mains transpirante… et lorsque ça glissait, on se fatiguait plus, et on transpirait plus, et la mousse glissait plus…
Posté en tant qu’invité par cecile:
bon je veux pas être contrariante mais les batons téléscopiques est-ce vraiment utile? une bonne paire de bâtons légers c’est tb en général.
Posté en tant qu’invité par Bubu:
Si, c’est utile pour avoir des batons de 145cm à la montée et sur le plat à la descente, de 137cm dans des pentes de 40° à 45°, de 135cm dans des pentes de 46° à 50°, et de 133cm dans des pentes de 51° à 55° (là faut avouer que je n’ai jamais eu besoin de les régler à 133cm…).
Le top serait des batons qui puissent de plus se régler à 150cm pour les scéance de skate et pousse-batons pour revenir des vallons de Belledonne Nord sans que le loup n’ait remarqué ta fatigue… ça existe, mais c’est cher.
Mais il est vrai que des batons non télescopiques peuvent etre intéressants…
Posté en tant qu’invité par P’tit Bouchon:
« hé, p’tit bouchon, j’suis allée à la pisbac hier »
Ah? Ben moi ch’uis allée faire une rando (circuit col du Morétan-lac sup. de Morétan-Col du Vay, magnifique!)
« les batons téléscopiques est-ce vraiment utile? »
En rando, c’est vrai que c’est pas forcément nécessaire, par contre en alpinisme (marche d’approche…), c’est pratique de pouvoir les « ratatiner » pour les mettre sur le sac au début des « hostilités ».
Posté en tant qu’invité par Robert:
« voyez quand je dis que je suis trop lourd :-) »
« de 135cm dans des pentes de 46° à 50° »
Et quand brutalement il passe de 135cm à 1m sur le premier appui du premier virage d’un couloir un peu « chaud »? Non merci je préfère un bâton classique et tant pis pour les pinaillages de longeur.
Posté en tant qu’invité par cecile:
D’accord avec bob. le bâton télescopique est un engin traître. forcément il a été conçu ainsi. je préfère une bonne paire de bâtons, simples et légers. pas de surprise au moins.
Posté en tant qu’invité par Jeff:
Je viens de faire le TMB avec des téléscopiques, 215kms, 10300m de dénivelé, ils n’ont JAMAIS cédé sous mon poids (pourtant légèrement surchargé, pondéralement parlant !).
Mais je ne les règle qu’une fois le matin, c’est vrai. Je crois que c’est la succession de fermeture/ouverture qui génère ces problèmes…
Moralité : je fais bien de la fermer…!
Posté en tant qu’invité par Robert:
Mais, Jeff tu parles de rando à pieds et je suis d’accord; moi je parle de ski.