Mais enfin on sait tous que la sécurité en montagne ne s’apprécie pas avec une calculette à la main et des probabilités. Là c’est pour le plaisir de marquer le point, ou bien ?
Au-delà des métaphores à deux balles, ma vision se résume simplement :
• question probabilité tant que le risque est > 0 : soit ça part (pour moi ou pour un autre)… soit ça part pas, donc sur le moment je résume mes chances à 50/50 car je ne sais pas ce que l’avalanche va décider ni quand.
D’autant que si elle ne s’est pas déclenchée au énième passage avant moi, elle peut tout aussi bien le faire au suivant, ou les jours d’après comme ça s’est déjà vu.
• question quelles suites et quels dommages j’encours ( ? j’accepte) si ça part ? et c’est à mes yeux le plus important pour décider : type de neige, volume, obstacles, ensevelissement, etc…
Je laisse les champignon de la Beauce et les maths à qui en veut ! Bon ski