Présentation : "Pour des assises de l'alpinisme et des activités de montagne."

Très bien, merci pour cette précision nécessaire. C’est un avis que nous avons déjà entendu et nous en prenons bonne note.

mais qui êtes vous pour juger qu’une précision est nécessaire ou pas ? parce qu’elle vous a rassuré ??

Concrètement, quel est le rôle de l’OPMA dans ce débat :

  • l’animer ?
  • juger de la pertinence des avis ?
  • confronter vos propres idées à celle des forumeurs présents sur c2c, et argumenter quand ces derniers ne sont pas en phases avec vos points de vue ?

Parce que là, on a l’impression que si on ne pense pas comme le membre OPMA, il faut se justifier. C’est quoi cet observatoire partisan ?

Nécessaire parce que non exprimée au départ.

Il ne faut pas se méprendre, je ne rejette pas tous les cadres mais les structures qui sont déconnectées de la base. En devenant DTR raquettes au CAF il y a quelques années je pensais pouvoir faire un lien entre les pratiquants et la fédération mais j’ai assez vite compris que ce serait impossible parce que confronté à un refus de dialogue de la part des responsables de la commission sport de neige de la FFCAM.
Un exemple : qui parmi les responsable d’activité dans un club FFCAM connait le nom du DTR dont il dépend ? Est-ce qu’il ne serait pas normal que chaque responsable d’activité, pour ne pas dire chaque initiateur puisse facilement communiquer avec son DTR ?
Il serait très simple d’installer un dialogue entre la fédération et les pratiquants, les ordres du jours et compte-rendus de réunion devraient être connus des pratiquants qui devraient pouvoir faire remonter leurs avis. Mais quand un responsable de la formation d’une commission refuse de discuter autrement que par téléphone avec les DTR de cette commission alors que des échanges par mail (ou mieux bien sûr mais…) permettraient à chaque DTR d’être au courant on comprend vite qu’il y a un gros problème.

Bien sûr que je me prive et que je ne balance pas tout.

Ca c’est sans surprise, on ne peut émettre un avis auprès des responsables de la FFCAM que quand ils sont d’avance d’accord avec nous.

Ben tiens, je n’avais même pas lu ta réaction avant d’écrire la fin de mon message précédent :confused:

Juste pour rappel, l’OPMA n’est pas la FFCAM.
Le comité de pilotage des futures Assisses n’est pas la FFCAM.

Pour être allé à plusieurs réunions de l’OPMA, je peux vous assurer que l’objectif est simplement d’inviter au débat le plus large possible sur les pratiques de la montagne, l’alpinisme en particulier.

On peut ne pas être d’accord avec ces assises ou avoir un point de vue extreme sur les évolutions actuelles de nos pratiques. Mais, je ne voie pas bien le lien entre une critique des dysfonctionnement interne de la FFCAM et le rejet de ces assises.

Ces assises constituent une occasion d’exprimer tous les points de vue sur l’évolution des pratiques de la montagne (l’alpinisme en particulier). Y compris les points de vues critiques sur le rôle de des fédérations dans cette évolution.

ah oui, là, c’est sur, ça ouvre le débat… la question n’était pas pourquoi tu (vous?) la juges nécessaires, mais de quel droit.

et plutôt qu’une phrase laconique, j’avoue que j’aimerais bien qqes réponses sur :

[quote]D’ailleurs, parlant de ça, ce serait peut être bien d’enrichir un peu la page contributeur « OPMA ». Quand c’est juste pour annoncer des choses, des événements, etc, etc, juste le nom de l’organisme, ça me dérange pas.

Par contre, là, il y a une vraie « argumentation » que l’on sent venir d’une personne unique. Est-ce la parole de l’OPMA et un propos concerté ? une personne ayant droit de parler au nom de ? un petit malin qui c’est amusé à créer un compte ? (même si je doute de la dernière hypothèse, vu la manière de répondre, on dirait que c’est qqun à qui la supposée critique à retourné les tripes, vu que direct, ça part sur une discussion en one to one, avec des supposition sur le passé de la personne qui discute).

Je trouve cette façon de faire, si elle relève de l’OPMA, fort peu courtoise, et surtout, très maladroite. C’est vraiment concerté et « labellisable » OPMA ce type de réponse ?[/quote]
et

[quote]Concrètement, quel est le rôle de l’OPMA dans ce débat :

  • l’animer ?
  • juger de la pertinence des avis ?
  • confronter vos propres idées à celle des forumeurs présents sur c2c, et argumenter quand ces derniers ne sont pas en phases avec vos points de vue ?

Parce que là, on a l’impression que si on ne pense pas comme le membre OPMA, il faut se justifier. C’est quoi cet observatoire partisan ?[/quote]
On sent une mobilisation pour répondre à une supposée critique, et là, pfft, plus rien sur des questions qui semblent quand même importantes.

En clair, je veux bien que l’on me fasse causer, mais j’aimerais savoir :

  • que/qui représente le membre « OPMA » ?
  • est-ce que l’OPMA anime juste ce forum, ou il y prend part avec une position déjà définie ?
  • Et ce, par quel biais ? des individus intervenant en leur noms propre, le membre OPMA, d’autres personnes ?

Si on veut faire causer des gens, il me semble que la moindre des corrections est de se présenter et de poser clairement le cadre. merci d’avance.

[quote=« Christ@phe, id: 1043103, post:26, topic:97989 »]Juste pour rappel, l’OPMA n’est pas la FFCAM.
Le comité de pilotage des futures Assisses n’est pas la FFCAM.[/quote]
Mais si j’ai bien compris l’OPMA n’est pas indépendant de la FFME et de la FFCAM.

Ce qui sonne d’ailleurs un peu bizarrement, comme si l’alpinisme était la principale activité de montagne alors qu’on ne compte finalement que très peu de journées x participants et qu’il s’agit d’une activité presque marginale.

moi non plus, je comprend pas trop ce mélimélo.

Exprimer un avis sur un supposé dysfonctionnement d"une fédé est très bien, et doit être écouté. Par contre, c’est la confusion qui s’instaure qui me surprend. Ça à pourtant été clairement annoncé qu’il n’y avait quasi aucun lien :

Malgré que sur le site en lien, on trouve :

Peut être que l’aspect très « en dehors », ou « de haut » que donne l’OPMA vis à vis du pratiquant de base que je suis ne joue-t-elle pas en sa faveur ? Et donc un peu un des travers remonté par J2LH sur les instances du CAf, ce qui expliquerait un rejet « en bloc ». Un peu l’écho du tous pourri pour les politiques.

Bon, faut avouer aussi que le lien externe sur l’OPMA, en début de sujet, est hébergé sur le site du CafGo, pour un truc censé être indépendant, au dessus, et à l’écoute, ça fait un peu tache… ça fait un peu biaisé dès le départ…

Sinon, je l’ai peut être loupé, mais une présentation sur les forums de l’opma, ses membres, ses financements, etc, etc… cela aurait pu être bien.

Quand on vient faire causer les gens, se donner la peine de faire une présentation plus « propre » sur le lieu de la conversation aurait pu donner plus envie et éviter qqes confusions… Mais j’ai peut être loupé cette nécessaire introduction au débat ?

Pour ma part, je sens surtout une discussion qui part en live parce qu’il y a eut une incompréhension sur quelques mots.

elle part, c’est déjà bien, non ? ça montre déjà pas mal de chose je trouve, si on lit entre les lignes.

L’OPMA est un observatoire. Il ne prend pas parti, il n’a pas d’avis. Il enregistre et je suppose que in fine, il pondra ,une synthèse.
Et justement, s’il y a des bisbilles avec la FFCAM ou la FFME (ou autre chose), c’est l’occasion ou jamais de s’exprimer.

J2, je ne suis allé qu’à 2 ou 3 réunions de l’OPMA en 5ans. Mais, je peux t’assurer que Paul Keller, Bernard Amy, Bruno Pellicier, Christian Trommsdorff, Bernard Vartanian et bien d’autres, ne sont pas des sous marins de la FFCAM ou de la FFME.

Chacune des grandes structures de la montagne françaises est représentée à l’OPMA. A ce titre, il y a un représentant de la FFCAM. Mais, tu fais un mauvais procès à l’OPMA et au comité de pilotage de ses assises qui n’ont pour objectif que de permettre à Tout le monde de s’exprimer sur l’évolution de nos pratiques. Par définition, l’OPMA n’est qu’un observatoire.

Comme souvent, de fil en aiguille ça a dérivé.

Tout à fait d’accord, c’est pourquoi la nature de l’intervention dans ce post de l’OPMA en tant que tel, sauf détournement de pseudo et alors il faut le dire, va à l’encontre de cette neutralité. Pourtant, cette neutralité est indispensable à l’OPMA pour asseoir sa crédibilité auprès de tous les pratiquants.

Salut à tous,

Quelques mots pour éclairer la situation.

Les questions qui ont été posées après la réponse faite par OPMA à J2LH sont à mon sens légitimes. Si je n’avais pas été membre de l’OPMA, j’aurais posé les mêmes suite à ces interventions. Le pseudo et le compte OPMA sur C2C sont accessibles à n’importe quel membre de l’OPMA. Ils ont été créés dans le seul but de pouvoir poster des informations relatives aux activités (parution de la Lettre de l’OPMA, organisation de journée d’études etc…). Faute de moyens (en réponse à l’une des interventions sur le financement de l’OPMA, son budget est aux alentours de mon budget montagne personnel…), il nous a semblé que l’accessibilité de ce pseudo et de ce compte à tous les membres de l’OPMA pourrait faciliter la circulation de l’information. Il s’avère qu’ici ce pseudo a été utilisé par un membre de l’OPMA pour exposer un point de vue personnel. Cela ne me semble pas acceptable et, après discussion avec la personne intéressée, je crois que cela ne se reproduira pas.

En revanche, la discussion qui a suivi cet incident m’apparaît comme une contribution à la discussion relative à la préparation des Assises. Elle aborde en effet la question du sentiment qu’ont les pratiquants à l’égard des institutions censées les représenter. Or ce n’est pas une question mineure. Manifestement une partie (combien…?) des pratiquants ne s’y retrouve pas. Or il ne faut pas oublier que lorsque qu’un préfet envisage un arrêté d’interdiction, lorsqu’un parlementaire élabore un projet de loi, lorsqu’un parc règlemente l’équipement sur un territoire, s’ils ne passent pas outre une discussion (parfois il est vrai purement formelle) avec les pratiquants, ce n’est pas avec vous ou moi qu’ils discutent mais avec ces institutions que sont les fédérations. Ce qui pose un problème dès lors que vous ou moi ne nous sentirions pas représentés par ces institutions… Le problème est-il celui de toute organisation censée représenter des individus et qui, passée une taille critique, et aidée par certains modes de fonctionnement, n’écoute plus sa base? Est-ce qu’une nouvelle fédération liée à l’alpinisme serait une solution? Ce sont des questions à débattre. Ce que j’ai personnellement essayé de signifier par mes précédentes interventions sur ce forum c’est que la réponse, qui était la mienne au début, qui consiste à dire que tout ce que je revendique c’est qu’on me foute la paix, est difficile à tenir longtemps : on peut craindre qu’il arrivera un moment où cet espace de liberté sera réduit à un ensemble vide.

Les Assises de l’alpinisme veulent s’emparer de ces questions.
Ces Assises ont été conçues à l’initiative de l’OPMA qui a pour cela crée un « groupe de préparation des Assises » (dont la liste des membres doit prochainement figurer sur le blog des Assises [http://assisesdelalpinisme2011.fr/]. Il rassemble des gens d’horizons divers, des professionnels, des amateurs, des jeunes, des… moins jeunes, des alpinistes connus, d’autres non (pour la parité, faudra revenir!). Parmi ces personnes, certaines ont un pouvoir médiatique ou institutionnel plus fort que d’autres et il faut voir là non pas la main mise des institutions ou des média sur ce groupe de préparation mais plutôt l’inverse : ces personnes ont un certain pouvoir pour diffuser des idées auprès des médias ou des institutions. Ce qui réunit toutes ces personnes, outre la montagne, c’est qu’elles ont la volonté de réfléchir et d’agir. Elles ont toutes un avis personnel et ces avis ne sont pas uniformes. Nous avons cherché, dans la rédaction du texte de présentation des Assises, à trouver les éléments qui pouvaient, dans cette diversité, être communs (un long moment de conciliation!). J’aurais envie de dire, mais cela n’engage que moi, que le principal élément commun qui m’est apparu dans les discussions du groupe de préparation des Assises, qui n’est certes pas des moindres, est que si ces personnes peuvent accessoirement réaliser en montagne une performance sportive, leur conception de l’alpinisme n’est pas celle d’une performance sportive (je ne sais pas si cette idée est très claire…!). Il y a aussi sans doute, toujours selon moi, quelques valeurs communes sur ce que l’alpinisme peut avoir de bon pour un individu.

Tout ceci pour préciser la posture à la fois de l’OPMA, de ce groupe de préparation et plus largement des Assises. L’idée est d’inciter les gens à débattre, à réfléchir et de recueillir ces opinions, quelles qu’elles soient. La première partie des Assises (avril 2011, Grenoble), organisera des tables rondes où les divergences de point de vue seront non seulement possibles mais recherchées. Au final, il ne s’agira pas de faire une simple synthèse comme un rapport qu’on range ensuite dans un placard. Il s’agira bien de formuler des revendications, l’expression de points de vue, de choses à défendre qui sont globalement partagées par cette chose très floue que par facilité de langage on appelle « la communauté des alpinistes » (mais justement, qu’y-a-t-il de commun?) et, de fait, de réfléchir aux moyens à mettre en place pour pouvoir les défendre.

Est-ce plus clair…? :rolleyes:

Posté en tant qu’invité par Henri Balmain:

L’origine est historique, il se trouve que plusieurs des membres de l’OPMA de départ étaient tout simplement déjà et par ailleurs membres du CAF-GO (Grenoble Oisans) et qu’en attendant d’avoir un site propre il a été trouvé commode d’être hébergé par le club (rappel http://www.cafgo.org/spip.php?rubrique80) de même qu’il est commode de tenir des réunions à son siège (les réunions de préparation des assises ont lieu à la mairie de Grenoble)

Je cherche actuellement un graphiste parmi les étudiants de madame pour faire qq chose de joli pour cet automne dans le cadre de leur cursus, mais si il y a des compétences pour avancer sans attendre ce délai, ce serait bien volontiers :wink: Cela permettra d’avoir un site autonome.

Par exemple Georges Elzière était alors président du CAF-GO, et il est devenu ensuite président de la FFCAM
Personnellement, le hasard a fait qu’à Autrans j’ai suivi Paul Keller à table où se trouvait la plupart des membres du futur OPMA, et qu’il m’a alors proposé d’être leur conseiller juridique, en précisant bien que je n’étais pas membre à part entière faute de notoriété alpines et de représentativité
Comme je me tâtais, le président d’alors de la FFME , Robert Paragot, m’a dit textuellement « t’es à la FFME ? Alors vas-y, tu me représentera !!! » Il va de soi que depuis Autrans je n’ai évidemment jamais rendu compte de quoi que ce soit à mon « mandant », dont j’avais fait la connaissance à cette occasion :lol: Je n’en ai d’ailleurs jamais fait état auprès de qui que ce soit avant ce jour tellement c’est folklorique :lol:
En fait ce sont Daniel Taupin (depuis mort en montagne) et Gilles Rotillon qui étaient alors investis dans la FFME sans la représenter, Daniel faisait même plutôt entendre une musique un peu différente et pour tout dire assez marginale dans cette instance.

Ceci pour dire que le lien avec les institutions fonctionne bien comme l’a dit Rozenn, de l’OPMA vers les institutions, et pas l’inverse. Il n’y a pas de « représentants » des institutions à l’OPMA, mais dans le cadre de la composition par cooptation, il est veillé à avoir des gens d’un peu tous les secteurs, et si possibles un pluralisme de générations et de pratiques. Rozenn assure brillament la parité :rolleyes:

[quote]Sinon, je l’ai peut être loupé, mais une présentation sur les forums de l’opma, ses membres, ses financements, etc, etc… cela aurait pu être bien.

Quand on vient faire causer les gens, se donner la peine de faire une présentation plus « propre » sur le lieu de la conversation aurait pu donner plus envie et éviter qqes confusions… Mais j’ai peut être loupé cette nécessaire introduction au débat ?[/quote]

Le financement est essentiellement constitué par les abonnements à la version papier de la lettre de l’OPMA, certains étant des abonnements de soutien d’institutions diverses et variées. C’est pas grand chose, heureusement que le développement d’internet nous a permis de faire des économies substantielles :slight_smile:
Le Caf-Go nous prête une rubrique de son site sous SPIP et quelquefois ses locaux

Quand aux gens … en dehors de ce qui est sur le site provisoire sur celui du CAF-GO il faudra attendre le site définitif, mais certains comme Paul Keller appartiennent à l’histoire de l’alpinisme, d’autres sont bien connus dans le milieu même s’il représentent des générations plus vraiment actives en première ligne, d’autres sont dans des fédérations sportives exerçant leurs activité dans le milieu montagne, randonnée pédestre, spéléo, etc)

Henri Balmain henrinours@gmail.com

Tout à fait, l’exemple que je prends toujours est celui de la taxe raquette largement rejetée par les pratiquants mais les dirigeants du CAF ont dit qu’ils ne s’y opposeraient pas. Comment se sentir représenté dans ce cas ?

L’alpinisme n’est pas grand chose dans l’ensemble des activités du CAF et de la FFME. Combien de membres de ces fédérations font réellement de l’alpinisme et avec quelle, j’imagine que ça doit faire dans les 10% et si on considère ceux qui font plus de 5 sorties alors ça ne doit pas dépasser 5%. Les grosses activités sont la randonnée pédestre, la randonnée hivernale à ski ou raquettes, l’escalade ; l’alpinisme n’est pas grand chose en comparaison. Votre nom « Pour des assises de l’alpinisme et des activités de montagne » pour moi ça sonne un peu comme « Pour des assises du BMX et des activités cyclistes » ou « Pour des assises du lancer de poids et de l’athlétisme ». Ca sonne faux.

Posté en tant qu’invité par Henri Balmain:

La montagne hivernale autonome à raquette ou à ski est de l’alpinisme, car elle nécessite dans sa pratique de tenir soigneusement compte du milieu constitué par la montagne enneigée.

Autrement assez d’accord avec ton constat, encore que la distinction randonnée/alpinisme est peut-être largement franco-française : « Tour » désigne les deux en allemand, et c’est ce mot qui a donné « touriste », dont au sait qu’à l’époque de l’âge d’or de l’alpinisme c’était le client du guide :wink:

D’ailleurs l’AMM est un diplôme d’alpinisme dans la terminologie officielle française, probablement parce qu’ils ont la raquette dans leurs prérogatives.

Merci à Rozenn et à Henri pour leurs éclaircissements.

Je m’interroge toujours sur le A de OPMA et sur le sujet même des assises. L’alpinisme ressort clairement comme une activité de montagne à distinguer des autres. Il semble que cela résulte d’une part de l’origine des créateurs de l’OPMA et des promoteurs des assises, et d’autre part de leur notoriété : ce sont des alpinistes qui tiennent à faire ressortir des spécificités de l’alpinisme. Ce n’est pas une critique et ils méritent le respect pour leurs engagements, mais néanmoins ils ne représentent qu’une partie des activités de montagne, et probablement pas ou plus la plus importante au titre du nombre de pratiquants. Comme on peut trouver des spécificités plus ou moins fortes à chaque activité de montagne, cette distinction apparaît artificielle et non justifiée. Ce pourrait d’ailleurs être l’un des premiers constats de l’observatoire des pratiques.