Ça change de ce qu’on a l’habitude de voir dans le genre.
Tu pourras ainsi espérer être un peu mieux accueilli ici que ce qui est d’habitude réservé aux annonces du genre.
Globalement, ce qui te seras surtout recommandé ici : rejoindre un club. Et autre recommandation fréquente : commencer par un stage UCPA pour découvrir.*
De mon expérience personnelle (c’est comme ça que j’ai appris) :
J’y rajouterai (et au risque de déplaire à certains…) : éplucher et potasser toutes les ressources théoriques (sur les techniques, les risques, la gestion de course etc.) que tu trouveras, blogs, vidéos, livres, (même articles wikipédia… ça peut donner quelques infos de base pour mieux comprendre par la suite) et ici-même les nombreuses discussions sur le forum… avec un regard critique… Car on trouve beaucoup d’informations très utiles, et aussi un certain nombre de conneries…
Même en suivant des formations, ça permet d’apprendre et de comprendre (tellement négligé…) plus vite.
Et pour ce qui de l’évolution globale pour pratiquer en autonomie : escalade en salle, puis également en falaise, puis également en grande voie, puis également en trad (pas très fréquent en France honnêtement mais bienvenu), combiné à de la randonnée sur des itinéraires de plus en plus techniques (il y a de la marge pour progresser en terme de difficulté : il y a des T5-T6 qui vaudraient quasiment AD en alpinisme…), combiné à un apprentissage et mise en pratique des techniques spécifiques à l’alpinisme (corde tendue, utilisation du piolet, cramponnage, glacier (et encordement adéquat)…), le tout progressivement (très progressivement). Avec ça, tu auras un bon bagage pour l’alpinisme estival et finiras par en faire sans t’en rendre compte comme Mr. Jourdain fait de la prose
Pour le reste, je laisse d’autres plus au fait te répondre (notamment sur les clubs).
Et tu peux aussi lire les nombreux sujets du genre déjà présents sur le forum (une autre réponse qui te sera beaucoup donnée…) — même si il est vrai que la recherche du forum ne fonctionne pas si bien que ça…
Un dernier petit conseil pour la route : ne jamais hésiter à renoncer. Personnellement, je dois faire demi-tour (ou réchapper) avant l’objectif prévu sans doute plus de la moitié de mes sorties en montagne… C’est pas un problème, pas un échec, plus un apprentissage, et partie intégrante de la pratique. Un bon alpiniste est un alpiniste qui sait renoncer
*Déjà confirmé par la première réponse arrivée avant la mienne