Prédispositions physiques et IMC?

Posté en tant qu’invité par Ben:

Bonjour,

Au-dela de l’entrainement que nécessite la pratique d’un sport, il est indéniable que des prédispositions physiques existent.
Un beau bébé de 90 Kgs pour 1.90m sera certainement plus à l’aise au rugby que dans un gros dévers à ceüse, et inversement pour un petit gabarit.

J’ai moi-même un IMC « hors normes », puisqu’à 15.7…
Jusqu’a maintenant cela a été pour moi un avantage en escalade, puisque je n’ai visiblement que des os et quelques rares muscles, cependant suffisants à me hisser facilement sur des portions ou les gabarits plus imposants ont du mal.

J’aimerais débuter dans l’alpinisme et me pose donc la question suivante :
Un IMC faible est il à priori un atout ?

Bien conscient que l’entrainement et la pratique sont le seul critère vraiment objectif, je m’interroge.

Un IMC de 15.7 (1.71m pour 46Kgs vous avez bien lu) serait il un avantage ou alors au contraire un incovénient.

Merci pour vos réponses !

PS : Pas la peine de me dire de manger plus, c’est dans la famille, nous tournons tous à un IMC de cet ordre, bien que nous soyons de bons mangeurs :wink:

Posté en tant qu’invité par jerome:

Je trouve ta question intéressante !!

Pour moi, il y a deux points qui pourraient être problématiques avec un IMC faible :

  1. A priori tu dois avoir un % de masse grasse faible donc une résistance au froid surement un peu inférieur à quelqu’un d’un peu plus « gras » donc mieux « isolé »…

  2. Les lipides sont un carburant intéressant lors des longues courses en haute altitude qui demande des efforts répétés.

Ce ne sont que des suppositions qui demanderaient à être vérifiées… sinon je pense que si ta musculature est suffisante, et bien ton IMC est plutôt un avantage.

Posté en tant qu’invité par Antoine:

Salut,
Pour moi, plutôt un avantage…
Moi-même, 1m82 pour 60 kilos…
Là où mes partenaires se sont gelés quelque chose, moi strictement rien (ma thyroïde fonctionne bien…).
Tu (nous) possèdes (ons) un rapport poids/puissance optimal pour l’escalade comme pour l’alpi (essentiellement glace en ce qui me concerne).
Bon début en alpinisme !

Posté en tant qu’invité par Proto:

j’y vois un inconvéniant avec un gros sac. Par exemple, si tu as 25 kg sur le dos et que tu pèses 46 kg le sac génère une augmentation de poids de plus de 50% ce qui est énorme …

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Dani:

Désolé Jerome… tu tombes dans deux des faux stéréotypes le plus répandus…
mais c’est pas grave… bcp de monde le fait… :slight_smile:

jerome a écrit:

  1. A priori tu dois avoir un % de masse grasse faible donc une
    résistance au froid sûrement un peu inférieur à quelqu’un d’un
    peu plus « gras » donc mieux « isolé »

Le suposé isolement de la couche de lipides n’est vraie que dans certaines espèces
ou celle-ci est vraiment importante, et encore… dans la plus part de espèces c’est le poil ou les plumes les isolants les plus importants.

Chez les humains personne n’est ni suffisamment gras, ni suffisamment poilu, pour
que ça aie un effet quelconque.

La résistance aux froid chez les humains vient donné plutôt

  1. du métabolisme basal, c.a.d les calories qu’on brûle sans rien faire… simplement parce qu’on est fait comme ça. Et qui est le plus grand déterminant de l’IMC !!! C.a.d, a priori des gens avec un IMC petit comme Ben c’est parce qu’ils ont un métabolisme basal particulièrement acceleré, et donc, comme Antoine le dit, plus résistants au froid.
  2. La termogenesis, plus active dans certains types de fibres musculaires, que dans d’autres. Les fibres de type I, qui contiennent grand quantité de mitochondries…
    Et là, c’est vraie… on peut les développer avec l’entraînement. sont les fibres de contraction lente, qui entrent en action lors de la marathon, ou du cyclisme, p.ex…
  3. Une bonne réseau de vaisseaux et une circulation en bonne santé.
  1. Les lipides sont un carburant intéressant lors des longues
    courses en haute altitude qui demande des efforts répétés.

Aie !! Vraie et faux… C’est vraie que lors de longs effort on brûle des lipides,
(fibres de type I ) tandis que lors d’efforts intenses quasiment pas (fibres de type II),
mais encore a) ils restent un percentage très petit du total d’énergie utilisé. Étant le star la glucose géneré au foie. b) les lipides accumulés en grasse abdominal sont tres difficilement mobilisables !!! Ceux qu’on brûle sont des lipides intramusculaires proche des mitochondries, qui ne contribuent quasiment pas au IMC… a l’inverse… les atletes de marathon, p.ex… qui sont si maigres… ont des muscles plein de lipides déposés autour des mitochondries prêts a être utilisés.

Alors… pour Ben… absolument pas de souci pour la pratique de l’alpinisme…
il y a plein de petits gabarits (Lafaille) ou de types bien maigres (Rebuffat) ,
qui ont été des stars de l’alpinisme…

par contre… un IMC comme le tiens est vraiment bas.
Si tu dis que tu est en forme et parfaitement capable de faire du sport d’endurance on n’a que a te croire… mais en principe, sans connaître la personne, un IMC de 15 mérite bien une visite au médecine , juste pour être sur que tout est ok, niveau métabolique.

Bonnes courses !!

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Ben:

Merci beaucoup pour ces réponses précises !

En ce qui concerne le froid, j’avoue être souvent plus frileux que les autres.

Dani, pour mon IMC il est vrai qu 'il est bien bas. Je ne suis cependant pas squelettique bien qu’assez maigre comme tu peux t’en douter. J’ai une ossature très légère ce qui explique en partie ce chiffre.

Mon médecin de famille qui me suit depuis ma naissance n’est pas affolé par cette valeur, ni les différents médecins que j’ai pu rencontrer (médecine du travail, médecin du sport …)

Pour proto, effectivement, cela risque d’être un handicap en cas de sac lourd. J’en ai deja fait l’experience lors de randonnées en montagne sur plusieurs jours, et j’essaye d’alleger au maximum mon sac (d’un autre coté, qui ne le fait pas ?..)

Encore merci et bonnes courses à vous !

Posté en tant qu’invité par jerome:

Dani tes réponses m’intéressent et me laissent perplexes :

Le suposé isolement de la couche de lipides n’est vraie que dans certaines espèces >ou celle-ci est vraiment importante, et encore… dans la plus part de espèces c’est le >poil ou les plumes les isolants les plus importants.

Chez les humains personne n’est ni suffisamment gras, ni suffisamment poilu, pour
que ça aie un effet quelconque.

Il semble que Lewis Gordon Pugh (recordman de distance de nage en eau glacée) ne soit pas de cet avis car il prend entre 10 et 15 kilos avant chaque tentative de façon à créer, je cite : « un embonpoint (qui) est un isolant thermique très efficace pour résister au froid polaire ». Lewis Pugh est suivi par Tim Noakes, un chercheur sud-africain dont la réputation et le sérieux ne sont plus à faire.

La résistance aux froid chez les humains vient donné plutôt

  1. du métabolisme basal, c.a.d les calories qu’on brûle sans rien faire… simplement >parce qu’on est fait comme ça. Et qui est le plus grand déterminant de l’IMC !!! C.a.d, a >priori des gens avec un IMC petit comme Ben c’est parce qu’ils ont un métabolisme >basal particulièrement acceleré, et donc, comme Antoine le dit, plus résistants au >froid.

Pour ça je suis d’accord avec toi sur le principe sauf que ce qu’on brule sans rien faire comme tu dis ce sont plutot des lipides… et si on augmente ce métabolisme basal pour faire face au froid on augmente l’utilisation de lipides dans un premier temps tout au moins…
Ensuite, si dans un premier temps la résistance au froid est plus importante, je ne le conteste pas, ce phénomène va être très couteux d’un point de vue énergétique. Ce qui, pour moi, suppose d’avoir des réserves importantes or un IMC très bas semble indiquer qu’il y a peu de réserves… (malgré tout, il serait encore plus intéressant d’avoir le % de masse grasse de façon à connaitre également la masse maigre de Ben)

  1. La termogenesis, plus active dans certains types de fibres musculaires, que dans d’autres. Les fibres de type I, qui contiennent grand quantité de mitochondries…
    Et là, c’est vraie… on peut les développer avec l’entraînement. sont les fibres de contraction lente, qui entrent en action lors de la marathon, ou du cyclisme, p.ex…

C’est une représentation plutot schématique de la contraction musculaire car celle-ci fonctionne sur un recrutement spatio-temporel lié à l’intensité de l’effort. Plus l’intensité de l’exercice est élevée, plus on recrute de fibres (I et II) même si au départ par souci d’économie le corps utilise préférentiellement les fibres I.

Par contre, je suis d’accord avec toi sur l’entrainabilité du système.

Aie !! Vraie et faux… C’est vraie que lors de longs > effort on brûle des lipides,
(fibres de type I ) tandis que lors d’efforts intenses quasiment pas (fibres de type II),

Pour moi, l’effort physique va puiser dans les réserves en glycogène ce qui va rapidement faire diminuer les stocks, ensuite les conditions extérieures (altitude, vent, etc…) vont nécessiter d’augmenter le métabolisme basal ce qui va également faire diminuer les stocks mais de lipides cette fois.

mais encore
a) ils restent un percentage très petit du total d’énergie utilisé. Étant le star la glucose géneré au foie.

Oui le foie génère du glucose mais il en fabrique à partir des lipides, c’est la néoglucogénèse.
Les lipides sont donc bien plus utiles que ce que tu dis à mon avis.

b) les lipides accumulés en grasse abdominal sont tres difficilement mobilisables !!!
D’après Péronnet (1983, 1992), au contraire :

" lorsqu’un muscle travaille, il ne fait pas maigrir la région voisine […]. Notez cependant que certaines parties du tissu adipeux vont avoir tendance à « maigrir » plus rapidement que d’autres : c’est le cas par exemple du tissu adipeux placé autour des organes abdominaux et thoraciques.
Au contraire le tissu adipeux accumulé sous la peau (dont le rôle d’isolant est important) a tendance à « maigrir » plus lentement…"

Ceux qu’on brûle sont des lipides intramusculaires proche des mitochondries, qui ne
contribuent quasiment pas au IMC… a l’inverse… les atletes de marathon, p.ex… qui >sont si maigres… ont des muscles plein de lipides déposés autour des mitochondries >prêts a être utilisés.

cf ci-dessus…

Que penses-tu de tout ça ?

Tes réponses étaient pertinentes, j’espère que les miennes te paraitront aussi intéressantes.

J’attends ton avis.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Dani:

jerome a écrit:

Que penses-tu de tout ça ?

Tes réponses étaient pertinentes, j’espère que les miennes te
paraitront aussi intéressantes.

J’attends ton avis.

Je vais essayer…
T’as bcp écrit… :slight_smile:

Il semble que Lewis Gordon Pugh (recordman de distance de nage
en eau glacée) ne soit pas de cet avis car il prend entre 10 et
15 kilos avant chaque tentative de façon à créer, je cite : « un
embonpoint (qui) est un isolant thermique très efficace pour
résister au froid polaire ». Lewis Pugh est suivi par Tim
Noakes, un chercheur sud-africain dont la réputation et le
sérieux ne sont plus à faire.

Intéressant… ça me fait réfléchir.
Je vaudrais savoir, « avant » c’est combien de temps ?.. parce que les dépositions
de graisse ne se font pas du jour a lendemain… et d’autre coté, 15 kg de lipides en une semaine est énorme, mais en un an, c’est rien…
Mais dans le cas concret de l’alpinisme, ou on est habillé avec plein de matos,
penses-tu que c’est comparable a la natation, et qu’une petite couche de graisse peut changer quoi que ce soit… ??

La résistance aux froid chez les humains vient donné plutôt

  1. du métabolisme basal, c.a.d les calories qu’on brûle sans
    rien faire… simplement >parce qu’on est fait comme ça. Et qui
    est le plus grand déterminant de l’IMC !!! C.a.d, a >priori des
    gens avec un IMC petit comme Ben c’est parce qu’ils ont un
    métabolisme >basal particulièrement acceleré, et donc, comme
    Antoine le dit, plus résistants au >froid.

Pour ça je suis d’accord avec toi sur le principe sauf que ce
qu’on brule sans rien faire comme tu dis ce sont plutot des
lipides… et si on augmente ce métabolisme basal pour faire
face au froid on augmente l’utilisation de lipides dans un
premier temps tout au moins…

Si tu sais comment faire ça on monte une biotech ensemble.
Le marché des traitements contre l’obesité est un gros gâteau.
Pas besoin de te rappeler l’échec de desacoplateurs de la chaîne respiratoire,comme le DNP. Il me semble que tu connais bien le terrain sur lequel tu marches… :slight_smile:
Mais si jamais tu veux prendre des idées d’ici et
souviens toi qu’elles sont déjà sous patente :slight_smile:

Ensuite, si dans un premier temps la résistance au froid est
plus importante, je ne le conteste pas, ce phénomène va être
très couteux d’un point de vue énergétique. Ce qui, pour moi,
suppose d’avoir des réserves importantes or un IMC très bas
semble indiquer qu’il y a peu de réserves… (malgré tout, il
serait encore plus intéressant d’avoir le % de masse grasse de
façon à connaitre également la masse maigre de Ben)

Tout a fait d’accord avec toi.

C’est une représentation plutot schématique de la contraction
musculaire car celle-ci fonctionne sur un recrutement
spatio-temporel lié à l’intensité de l’effort. Plus l’intensité
de l’exercice est élevée, plus on recrute de fibres (I et II)
même si au départ par souci d’économie le corps utilise
préférentiellement les fibres I.

A nouveau d’accord avec toi… mais, je ne pensais pas qu’on
allait m’exiger autant !! :slight_smile:

Pour moi, l’effort physique va puiser dans les réserves en
glycogène ce qui va rapidement faire diminuer les stocks,

Oui. D’abord le glycogène musculaire, après l’hépatique.
Et je reviens sur ça plus bas …c’est important.

ensuite les conditions extérieures (altitude, vent, etc…)
vont nécessiter d’augmenter le métabolisme basal ce qui va
également faire diminuer les stocks mais de lipides cette fois.

Oui… avec réserves… Je ne sais pas si c’est documenté une augmentation
de RMR (resting metabolic rate) pendant un stage prolongé en altitude, mais c’est
tout a fait prévisible… du a certains aspects de l’acclimatation… (accélération du rythme cardiaque, entre d’autres…).
Mais je doute fortement que pendant un week.end d’alpinisme aie aucun changement.

Oui le foie génère du glucose mais il en fabrique à partir des
lipides, c’est la néoglucogénèse.
Les lipides sont donc bien plus utiles que ce que tu dis à mon
avis.

Attention, là !!
L’épuisement de substrats va se faire dans cette ordre:
D’abord ATP disponible au muscle
après créatine phosphate au muscle
après glycogen musculaire,
après glycogen hépatique…

une fois celui-ci épuisé… là on est dans la merde…
soit on diminue drastiquement le rendement… typique image du cycliste que s’enfonse
a 10 km du col… soit si on arrive a continuer le même niveau d’effort peut y avoir des problèmes liés a la manque de glucose dans le cerveaux (perte de conscience étant l’extrême), dans les intestins (vomissements… etc…), …etc

long temps avant s’est déclenché la gluconéogènese dans le foie, en effet,
(et en mineure mesure dans les reins)
et là tu as juste… on dépense des lipides, et aussi des aminoacids ! (et donc proteines).

Mais l’apport énergétique des lipides a eux tous seuls est trop petit, et c’est pour ça qu’une fois la glucose dans le foie est finie on a une chute dans le rendement.

b) les lipides accumulés en grasse abdominal sont tres
difficilement mobilisables !!!
D’après Péronnet (1983, 1992), au contraire :

" lorsqu’un muscle travaille, il ne fait pas maigrir la région
voisine […]. Notez cependant que certaines parties du tissu
adipeux vont avoir tendance à « maigrir » plus rapidement que
d’autres : c’est le cas par exemple du tissu adipeux placé
autour des organes abdominaux et thoraciques.
Au contraire le tissu adipeux accumulé sous la peau (dont le
rôle d’isolant est important) a tendance à « maigrir » plus
lentement…"

ça c’est juste, et c’est du a la présence de plus de receptors beta-adrénergiques dans le tissu adipeux abdominal et thoracique que dans le tissu adipeux sous-cutané.
(Avis aux filles… !!! La cellulites est difficile a faire disparaître !!! :slight_smile: )
Je voulais dire en comparation avec la graisse intramusculaire, pas en comparation
avec d’autres types de tissu adipeux…

Et ce texte ne met pas en question le fait que le lipide intramusculaire est le premier a être dépensé. En fait l’entrée d’acids grasses du sang au muscle, est autre des facteurs limitants pour l’utilisation de lipides.
Un muscle entraîné, (un athlète entraîné), ce qu’il fait est garder plus de lipides dans les fibres musculaires et moins dans le tissu adipeux.
En fait c’est assez spectaculaire, parce qu’ils se placent juste autour des mitochondries, prêts a être utilisés.

j’ai essayé de te trouver une photo … mais je ne l’ai pas trouvée… mais regarde n’importe quelle photo au microscope électronique de fibres musculaires, coupe transversal, proche du disc-Z.

Bon… pour résumer…
je ne dis pas que pendant qu’on fait de l’exercice on ne dépense pas des lipides,
loin de là… simplement, et pour revenir a la question de Ben, que les lipides
n’ont pas bcp a dire pour la performance sportive en alpinisme, ni a niveau endurance (exemple:les maratoniens) ni a niveau force (exemple: les grimpeurs…), ni la combination des deux (exemple: cyclistes).

Bon… comme tu dis…
« Tes réponses étaient pertinentes, j’espère que les miennes te
paraitront aussi intéressantes. »

Amicalement…

Dani

Posté en tant qu’invité par jerome:

Je me doutais un peu de ta réponse !! :slight_smile:

Il y a beaucoup à discuter et comme tu dis je ne pense pas qu’on demande autant sur ce forum… pourrions-nous en discuter par mail ?

Jerome

Posté en tant qu’invité par alan:

Vous pourrait lire l’interview de Lewis Gordon Pugh (recordman de distance de nage

en eau glacée) dans le dernier ou avant dernier numéros du magazine sport et vie.
Mon avis, l’important un Imc faible avec la caisse:
la graisse c’est du poids en trop donc des dépense énérgétique supérieure à compenser par la condition physique,
Quelque piste:
la sensation de froid augmente telle avec l’effet de la fatigue?
Allez vite permet de sortir souvent dans la journée et de ne pas se geler dans un bivouac?
Comparaison du rapport poid/isolant des poignées d’amour et d’un habillement supérieur type polaire?
Effet de la transpiration dans le cas ci-dessus?
Je transpire pour ma part énormément et je n’est jamais foid dans l’action, mais mon humidité me donne froid par la suite, ma solution je me couvre et me découvre constament, (problème sa le fait pas encas d’ avalanches en chemise et carline)

Posté en tant qu’invité par Dani:

Avec plaisir…

Posté en tant qu’invité par Ben:

Jerome a dit :

Il y a beaucoup à discuter et comme tu dis je ne pense pas qu’on demande autant sur ce > forum… pourrions-nous en discuter par mail ?

N’hésitez pas à mettre un résumé de vos discussions ici, je trouve cela tres intéressant !
(la connaissance s’accroit quand on la partage)

Merci en tous cas pour la qualité de vos interventions.

Posté en tant qu’invité par goethe:

Idem.

Posté en tant qu’invité par Gruyere:

Tarata, pas de mail.

TOUT SUR LE FORUM

C’est ultra interessant

Posté en tant qu’invité par jerome:

Devant tant d’insistance je pense que nous ne pouvons que communiquer sur le forum n’est-ce pas Dani ?

J’ai un peu de boulot jusqu’à vendredi mais je posterai ma réponse (au dernier post de Dani) Vendredi AM ou ce WE…

Pour une fois qu’il y a des gens qui s’intéressent à la physio ne les décevons pas !!!