Posté en tant qu’invité par dodo:
Bonjour j aimerais bien commencer l escalade voire l alpinisme soft mais j ai une crainte s est les falaises : j ai peur des éboulements rocheux pour conter se phénomène j aimerai savoir comment se produit les éboulements(conditions thermiques particulières …) ,comment les éviter?
Posté en tant qu’invité par gegene:
tu peux essayer les incantations, des fois il paraît que ça marche…
Posté en tant qu’invité par slurp:
ben moi perso, on m’a dit :
« quand t’entends une pierre tomber, regarde où elle va. »
Mais voilà, quand il y a plusieurs pierres qui ricochent n’importe comment sur les parois, ça devient compliqué.
Alors, moi qui suis malin, je me suis recroquevillé, et j’ai mis les mains sur ma tête. Ce n’est qu’après quelques dixièmes de secondes que j’ai réalisé que j’avais un casque…
J’ai donc enlevé mes mains… et mis mon sac en protection, au péril de mon paquet de chips.
Pour le reste, je laisse les techniciens s’exprimer !
Posté en tant qu’invité par Charles:
Des précautions, tu n’en a pas 36000!
Maintenant, si c’est un éboulement de grande ampleur, il ne te reste plus que la technique de Gègène.
En haute montagne le gel permet de tenir les pierres, qui risquent de se déloger dès l’apparition du soleil sur la paroi
En falaise, des pluies abondantes peuvent déstabiliser des pans entiers.
Posté en tant qu’invité par dodo:
gegene a écrit:
tu peux essayer les incantations, des fois il paraît que ça
marche…
Ok je vois que j ai UN géologues de premier ordre la ; tu serais pas guide de hautes montagnes par hasard ?
Posté en tant qu’invité par dodo:
Maintenant, si c’est un éboulement de grande ampleur, il ne te reste plus que la technique de Gègène.
En haute montagne le gel permet de tenir les pierres, qui risquent de se déloger dès l’apparition du soleil sur la paroi
En falaise, des pluies abondantes peuvent déstabiliser des pans entiers.
Ok sa rassure et sa arrive souvent se très léger désagrément ?
Posté en tant qu’invité par gegene:
ben sans rire j’ai pris une fois un « gros ».
tu te colles au rocher et t’attend.
en redescendantr tu tues une vierge.
Posté en tant qu’invité par Charles:
dodo a écrit:
Ok sa rassure et sa arrive souvent se très léger désagrément ?
Tout dépend dans quel contexte tu évolues.
Si tu est dans une falaise sportive, c’est rare car elles ont été en général nettoyées et débarassées de leurs blocs instables, mais il n’est pas impossible que des cailloux voir même de grosses pavasses se cassent la figure (vu déja 2 fois)
En montagne c’est différent: tout peut arriver, certains coins voire même massif (oisans par exemple) son plutôt réputés pour être pourris.
Bref, il existera toujours des risques (comme en voiture et même si tu respectes le code de la route à la lettre)
Posté en tant qu’invité par David:
dodo a écrit:
comment les éviter?
Ben ça tu les éviteras pas en montagne. Si ton heure est venue, il n’y a rien à faire. Sinon faut se mettre au crochet.
Posté en tant qu’invité par Paul G:
Assez d’accord avec Charles, sauf sur un point : ne regarde surtout pas, de toute façon, tu n’as pas le temps de te barrer.
Plaques-toi contre la paroi, de préférence sous un surplomb si tu as le choix. Tu peux aussi utiliser le sac à dos pour t’abriter.
En dehors de ça, toujours le casque , et ne pas traîner dans les passages les plus exposés.
Posté en tant qu’invité par NicoG:
… et pour limiter les risques « à la source » :
Nicolas
Posté en tant qu’invité par le_sherpa:
Faire aussi très attention aux personnes qui redescendraient en rappel dans la voie, ou à proximité, c’est source très souvent de chutes de pierres. Quand tu ravales la corde ou que tu la lances ça peut entrainer des chutes de cailloux. Casque (même si il fait chaud, même aux relais même en rappel…), sac à dos et évitement des voies très fréquentées permettent de limiter les risques mais tu ne les feras jamais disparaitre.
Enfin bien penser à crier « pierre » si tu vois quelque chose tomber (même si ce n’est pas une pierre!!..)
Bonne grimpe! le rocher c’est le pied (la glace et la neige aussi)
Posté en tant qu’invité par Yann:
Je relance au sujet de la prévention des chutes de pierres.
Je viens de prendre un but au pied de « Soleil levant » (pin de sucre, Ubaye)
Cause : plusieurs chutes de pierre de la taille d’un poing à mon arrivée au pied de la falaise. Les chutes de pierres ont durée ½ heure, puis plus rien. Je me demande quelle peut être la cause de ces chutes de pierres.
Qu’en pensez vous ?
Yann
Posté en tant qu’invité par Paul G:
Je pense que sur un sommet sans neige ni glace, si les chutes de pierres sont régulières, c’est qu’il y a qq un, homme ou bête, au dessus.
Peut-être un dahu ?
Ces bestioles sont parfois maladroites, m’a-t-on dit…
Posté en tant qu’invité par Bubu:
Yann a écrit:
Je relance au sujet de la prévention des chutes de pierres.
Je viens de prendre un but au pied de « Soleil levant » (pin de
sucre, Ubaye)
Cause : plusieurs chutes de pierre de la taille d’un poing à
mon arrivée au pied de la falaise. Les chutes de pierres ont
duré ½ heure, puis plus rien. Je me demande quelle peut être
la cause de ces chutes de pierres.
Ben, comme d’hab : c’est la montagne qui se recoiffe rapidement en te voyant arriver, et qui laisse échapper qq pellicules…
Posté en tant qu’invité par Charles:
Bubu a écrit:
Ben, comme d’hab : c’est la montagne qui se recoiffe rapidement
en te voyant arriver, et qui laisse échapper qq pellicules…
Oui, enfin elle pourrait utiliser un shampoing antipelliculaire tout de même!
Style L’Oréal, pasque la montagne, elle le vaut bien non?
Posté en tant qu’invité par harmonik:
le casque est indispensable, mais face à un gros pavé, il ne restera pas grand chose de ton occiput! Quand c’est possible, il faut courir pour échapper à la mort.
Posté en tant qu’invité par harmonik:
en bas d’une voie rocheuse verticale, la rimaye est un endroit assez protégé (cf la Pierre Allain à la Meije)
Posté en tant qu’invité par harmonik:
Le réchauffement climatique semble augmenter les éboulements et chutes de pierres. Mi août, j’ai vu un rocher de 10m de haut se détacher ddu fil de l’arête du Tour Noir et basculer lentement dans le vide dans un vacarme assourdissant. J’étais tellement subjugué que le temps de dégainer l’appareil photo, il ne restait plus qu’un immense nuage de poussière…