Pourquoi?

Posté en tant qu’invité par Utopie:

La recherche de l’éxploit en montagne est la chose la plus inutile de l’un de ses conquérant.
Pourquoi allons nous là haut?
Pourquoi la plus part s’emprese de raconter leur périple?
Pourquoi le but ultime n’est plus la recherche simple, mais seine, du plaisir?

Une chose, vive les survivants, l’exploit c’est de revenir.

Posté en tant qu’invité par Emmanuel:

Pourquoi dis-tu ça ? Pour ma part, c’est bien le plaisir que je recherche en montagne…

Posté en tant qu’invité par Amoureux de la montagne:

Et si pour certains, le plaisir se trouvait dans le fait de réaliser des exploits? Le fait de raconter un périple veut peut-être dire que tu t'es tellement fait plaisir qe tu veut communiquer cette joie aux autre!!! La recherche du plaisir est inérante au type de pratique, un collant pipette se fera plaisir à 1300m/h, un débutant à 200m/h. 

Il est vrai que la recerche de l’exploit n’est peut-être pas le meilleur moyen de revenir entier, cependant si jamais personne n’avait voulu faire d’exploit, ou aller plus loin, repousser ses limites, l’alpinisme n’en serait pas ou il est aujourd’hui!

Les risques existent, ceux qui partent le savent, maintenant à chacun de savoir ou sont ses limites et de ne pas les franchir qu mauvais moment…

Bonnes courses

Posté en tant qu’invité par Utopie:

La plus part des sujet traité par la presse sont des périplesde plus en plus difficile, les jeunes qui lisent ça se sente obligé d’aller toujours plus haut, toujours plus dure, toujours plus de risques.
Les recit moderne ne décrivent plus des ligne magique mais des ligne à risque

Posté en tant qu’invité par Emmanuel:

D’accord avec Amoureux de la montagne.

Et en ce qui concerne la presse, il ne faut pas s’attendre à ce qu’elle raconte mon ascension de la Grande Sassière de samedi dernier, ça n’intéresse personne ! Par contre, Lafaille qui va faire je ne sais quel 8000 en himalaya, a beaucoup plus de chances d’intéresser les lecteurs. Non ?

Posté en tant qu’invité par MutantX:

Eh oui, je suis de retour après de long mois d’absence ! Normal me direz-vous, j’étais en effet dans la face sud de l’Annapurna où je tentais la première descente en trotinette. Comme vous vous en doutez, j’ai eu pas mal de pépins lors de cette expedition : A cette altitude, ma trotinette (pourtant une MBK) était gelée comme un sunday du McDo, impossible de la toucher sans y rester coller… Enfin bref, tout ça ne fut pas bien facile. Normal, c’est un exploit. Les médias vont sans doute relater mes aventures dans leurs pages, mais je n’y vois aucun mal. Lorsque j’ai débuté l’alpinisme à vélo au Mont-Ventoux, tout le monde s’en foutait. Aujourd’hui, je suis un héros pour bon nombre de jeunes premiers ! Alors Utopie, ne fait pas de démagogie, sache que la montagne est un exploit à elle seule, et lorsque tu auras mon vécu sur cette Terre, tu pourras nous faire la morale. MutantX.

Posté en tant qu’invité par Emmanuel:

clap clap clap !

Posté en tant qu’invité par vespa:

et en rollers tu crois que çà pourrait intéresser nos chers medias? :wink:

sinon je retiens les « collants pipette » excelllent!!! :-)) vu que je suis plutôt surpantalon gourdasse!!

l’essentiel c’est peut être bien de se retrouver soi même là haut! et d’en revenir!

Posté en tant qu’invité par Amoureux de la montagne:

De toute façon quand tu t’y connais dans un sujet et que tu entend comment les journalistes en parlent tu fais des bons de 10m devant ta télé. Mais c’est vrai qu’ils vendent du rêve, et qu’il y a certainement à redire sur leur façon de le vendre. Le tout es t de garder la tête froide, et que ce n’est pas si grave si l’on ne fait jamais de courses en TD ou ED, mais qu’une course en AD peut-être super jolie, et n’est déjà pas donné à tout le monde…

Posté en tant qu’invité par Nostradamus:

Tu te poses trop de question.

Posté en tant qu’invité par bibi:

Lis-donc le bouquin de Lionel Daudet « La montagne intérieure ». Tu comprendras que tes aventures n’appartiennent qu’ à toi et toi seul, quelle qu’en soit l’étiquette: F- ou ABO+…