Pour les pentes et avalanches oui mais pour les crevasses?
Post à mammifères en montagne
Ouahhhh les photos de lièvre variable (et d’autres bestioles aussi) dans le livre
« Le lièvre invisible » éditions La Salamandre
« T’inquiète mon névé je te protège de la fonte. »
« Ah ouais t’as voulu me piquer ma petite amie? »
Oui hélas une belette ( et pas une hermine) .
Allez à moi de poser ma crotte.
Crotte de loup ? Massif de la sainte Baume proche Mazaugues (pas vraiment en montagne mais bon)
Vu aussi des lys martagon dans le coin toujours surprenant à cette attitude.
Un bouc et une chèvre, à priori sauvages, croisés il y a un mois sous l’Arche et l’Aiguille à Ancelle, côté Sapet
Les bouquetins sont en effet des passe-partout impressionnants, mais des fois ils se prennent de petites gamelles sur la neige Mes animaux favoris
D’après un copain spécialiste on ne peut pas déterminer sur photo avec certitude de quelle espèce de mulot il s’agit. Photo faite dans le Dévoluy
Rectification suite à la remarque de SQFP
Surtout si c’est pas un campagnol…
Tu veux dire que j’ai dit campagnol au lieu de mulot ? la force de la tradition
Edit : voilà ce que m’avait dit mon copain à l’époque de la photo (2021) :" En France il y a 3 Mulots : sylvestre (le + commun), à collier et alpestre. Ils sont quasiment impossible à distinguer en main en dehors de quelques spécimens au pelage et mensurations « caricaturaux »
Là ça va mieux oui Et, en effet, l’allure générale de nos mulots ne permet pas de distinguer les espèces là où elles se côtoient ; faut au minimum sortir le pied à coulisse, ou leur regarder les chicots, ou recourir à l’artillerie génétique.
(Pour nos campagnols, quand il y a un doute il est moins problématique de fournir une identification « probable », en recoupant répartitions connues + environnement de l’observation + morphologie)
Et lui, c’est un mulot ou un campagnol ? (vu non loin de Besançon)
.
Mulot itou.
Ma coloc
Elle cache ses deux petits faons au pied du cerisier ou dans un bosquet plus loin.
Un spectacle quotidien
ce qui se passe en montagne reste en montagne, cela ne nous regarde pas !
Sous le refuge du Pinet, Ariège. Décembre 2018. Empreinte plus large que mon pied (j’ai manqué de jugeotte pour faire la photo comparative).
surtout que ce jour là, mes propres pas marquaient la neige de la même façon : la neige ne s’était pas transformée entre le passage de ce plantigrade et moi au petit matin.
Ce matin, découvert dans le jardin ce petit mulot (ou campagnol ?)
Il y a quelques jours, on avait vu une crocidure, avec son museau tout pointu, mais pas d’appareil photo sous la main.
Pour ce qui est des mulots ou campagnols (il faudra que je révise les différences), il doit y en avoir tout plein, au vu des trous de galeries de partout.
Ils n’ont pas intérêt à nous manger nos patates et surtout les jolies salades apportées par un voisin, et qu’on a repiquées hier
Sinon quoi?
Sinon je leur mets des huiles essentielles de truc qu’ils n’aiment pas dans leurs galeries !
Na !