J’ai bien aimé les couleurs, comme une peinture pastel. Si quelqu’un sait ce que c’est ?
Post à insectes... et autres petites bestioles
C’est le Sphinx du tilleuil.
Un grand et beau papillon 
Je ne le connais que depuis quelques années où un beau mâle s’était posé sur la porte du chalet à Vallouise.
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Au milieu du chemin ça va, je suis toujours fasciné de les voir sans stress (enfin je sais pas, voir le roman « les fourmis ») traverser des routes comme aussi souvent la chenille du bombyx de la ronce…
Ça vit longtemps un crapaud ?
J’ai peut-être retrouvé mon crapaud prince charmant
En voulant nettoyer un coin en creux du jardin, dans lequel il y avait des restes de vieux cartons, j’ai trouvé un joli crapaud (ou une jolie crapaude ?) qui s’était fait une petite cuvette douillette creusée dans la terre, et s’était recouverte de feuilles mortes et vieux bouts de cartons.
J’ai laissé tranquille cette jolie bestiole (après photos quand même), je nettoierai ce coin plus tard.
…
Je te présente Roger, cette année il a failli se prendre un coup de fessou, il hibernait sous le compost, je savais pas…
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C’est important de laisser des coins pas trop nettoyés dans le jardin, pour permettre à certaines bestioles de passer la mauvaise saison à l’abri.
Par contre, j’aimerais beaucoup que le jardin soit moins accueillant pour les souris et mulots !
Adopte une couleuvre ?
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Elle va manger mon crapaud 
Ou alors faire venir un tracteur pour labourer tout le jardin : Dans le secteur, en moins de 5 minutes, au bruit du tracteur, il y a une foule de milans noirs et 1 ou 2 milans royaux qui arrivent ! Parfois ils se font avoir si le tracteur vient juste ramasser des rouleaux de paille. 
Actuellement à Vallouise. Vu 2 « serpents » aujourd’hui.
Le 1er n’est pas un serpent en fait, c’est un lézard sans pattes :
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Un très joli orvet (mâle à cause des décorations bleues)
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Et puis celui-ci, une couleuvre, à priori une coronelle lisse.
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Il faut vraiment que tout le monde prenne conscience de l’importance des insectes !
Ici, à 1200m, ils réapparaissent doucement suite à l’épisode de froid, mais encore bien peu, moins qu’il y a 3 semaines. Notre cerisier a été pollinisé au vu des quelques mini cerises, mais 1 pommier n’a rien suite à sa floraison.
Un cognassier et un pommier en fleurs attendent les butineurs croisons les doigts.
Les oiseaux avaient arrêté de visiter les nichoirs, ils ont besoin d’insectes pour se nourrir et nourrir leurs petits.
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Certes, mais il faudrait déjà trouver les causes de la disparition aussi rapide et importante des populations d’insectes. C’est pas très clair (pour moi du moins).
Déjà l’utilisation massive de pesticides et monoculture sur d’immenses champs doit bien aider à leur disparition.
Il y a quelques jours, en rando le long de la Durance, nous sommes passés le long d’un champ bien vert de pousses bien développées, sans l’ombre d’un autre type de plante : pas un bruit !
Juste à côté, un champ plus ou moins en friche de tas de plantes, certaines en fleur : ça bruissait et chantait (criquets, grillons…)
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Comme l’a bien dit Catherine, le mode d’agriculture toujours dominant…
Hier, j’ai passé ma matinée à observer une colonie de guêpiers d’Europe, de magnifiques oiseaux qui viennent chez nous de mai à août pour nidifier. Ils se nourrissent d’insectes qu’ils chassent en vol. En repartant, tout près de la colonie, il y avait un immense champ de blé au milieu duquel roulait un tracteur auquel était fixé une immense machine d’épandage, qui pulvérisait un produit… Le parallèle était trop criant…
Moins d’insectes, moins de nourriture pour les petits qui, juste un mois et demi après leur sortie du nid, devront faire le voyage retour vers l’Afrique où ils passent le plus clair de leur temps.
J’étais assez dégoûté par cette vision (l’épandage massif de pesticides) qui n’est qu’une des manières de courir à notre perte (en commençant par celle de la biodiversité)…
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C’est effectivement la première cause mis en évidence, il y’en a bien d’autre comme l’urbanisation. L’effet des espèces invasives n’est pas à oublié. Et n’oubliont pas la concurence artificielle est majeurs que l’on impose au pollinisateur en mettant des ruches partout.
Attention au discours, ce n’est pas parcque tu ne les connais pas qu’elles n’hexistent pas. Avant de formuler cela avais tu chercher à les trouver et les comprendre ?
Je crois que les scientifiques se posent aussi la question pour que cette disparition soit aussi massive, et qu’il y a peut-être d’autres causes en plus.
Nous les humains avons perturbé très fortement et rapidemment des milliers d’équilibres au niveau de notre planète, qui sont interdépendants.
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certes, mais ce n’est pas comme si c’était nouveau.
Il y a 5 ans, c’était déjà le cas. Et pareil pour les pesticides.
Pourtant il me semble (mais je ne suis pas spécialiste) que les pesticides les plus domageables sont de plus en plus interdits.
Tout à fait, il me parait évident que ces causes existent, mais je m’étonne qu’elles semblent si compliquées à mettre en évidence.
Il y a peut-être (surement) d’autres causes.
Mais on ne peut pas à la fois balancer des quantités importantes de pesticides efficaces dans la nature, et se demander pourquoi les insectes disparaissent.
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Les plus dommageables pour les humains.
Tous les insecticides qu’on utilise tuent efficacement les insectes, c’est leur but.
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Hélas… 
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