Posté en tant qu’invité par lionel:
Comment vous faites :
1 L’une contre l’autre ( pour ceux qui n’ont pas 2 mains Gauches et un strabisme divergent )
2 Sur le morceau de plastique qui est vendu avec les peaux ( mais j’ai l’impression que çà colle pas tres bien et que a terme , durée de vie moins longue des peaux )
3 En vrac dans le sac , ya plein de poudreuse …
4 ???
Merci de me donner vos conseils
Posté en tant qu’invité par Greg:
Salut,
Je pense que tu entends par peaux assymétriques peaux taillées ?
Dans ce cas, je peux te dire comment je fais sous les conseils d’un bon pratiquant.
Lorsque je replie, je fais comme si c’était des peaux droites, c’est à dire chaque peau sur elle même depuis le milieu. Ceci que je doive re-peauter ou pas.
Une fois rentré, je les déplie, les fait secher et ensuite je le colle l’une contre l’autre. Très bon pour la longévité de la colle.
Voilà, c’est ma méthode, elle me va bien.
Greg
Posté en tant qu’invité par Yann:
Idem et ça va très bien ; de toute façon j’avais balancé le film plastique pour les coller en croyant que ça faisait parti de l’emballage.
Posté en tant qu’invité par Balthazard:
option n° 2. Bon quand il vente fort, ça peut être assez désopilant ; tu te retrouves avec deux fanions battants d’1m60 qu’il faut accoupler l’un contre l’autre. Tu peux faire cela en collant au fûr et à mesure le film de plastique tout en décollant progressivement la peau du ski.
Option n° 2 qui t’évite notamment au petit matin glacial et blafard d’avoir à tirer comme un boeuf pour séparer tes deux peaux, enfin selon bibi…
Peut-être avec une durée moins longue de la colle sous les peaux, et encore c’est à vérifier.
L’option n° 1 me semble idéale pour les ébénistes, les poseurs de fibres optiques, les jamais fatigués, les je veux récupérer les miettes au fond du sac à dos pour de la chapelure.
Posté en tant qu’invité par Maurice:
Je plie chaque peau sur elle-meme par le milieu comme des peaux non-taillées, puis dans le sac à peaux. A la maison je les déplie pour les sècher. Une fois sèche je les colle sur le plastique, jusqu’ à la prochaine utilisation.
Ca marche bien comme cà… On peut acheter le film plastique dans le magasins si on ne l’a pas conservé.
Posté en tant qu’invité par Le Piu:
Mélange de tout ça… J’ai coupé le filet en 2 (donc 1/2 longeur de skis), je décolle l’arrière de la peau, je colle le 1/2 filet jusqu’à mi-peaux puis je décroche la spatule et je rabat la peau sur le filet.
A la maison, décollage, séchage et recollage peau contre peau (donc pas pliée, avec les 1/2 filets mis bout-à-bout)
Posté en tant qu’invité par rozenn:
J’avais jusqu’à présent opté pour la solution: recollage immédiat des peaux sur le plastique sur lequel elles étaient vendues. Pour une raison que j’ignore (le temps ou une réaction chimique provoquée par un stockage dans une zone restée longtemps en travaux avec solvants etc…), le plastique s’est subitement déterioré à l’arrivée de cet hiver et la colle des peaux avait tendance à rester sur ce plastique… Le plastique a carrément fini par se déchirer. J’ai donc pris l’option de recoller les peaux l’une sur l’autre. Je les fais sécher et je les stocke dans cette position. Or certains d’entre vous les décolle pour les faire sécher, avant de les recoller. Pour quelle raison? Moi, j’ai bêtement la trouille que la colle sèche ou récupère les poussières qui trainent par là (oui, parce que pendant qu’on est en montagne, on fait pas le ménage…)
Posté en tant qu’invité par orengo:
Les peaux l’une contre l’autre semble être une bonne solution si l’asssymétrie (entre l’arrière et l’avant) est très marquée. Bref si une grande partie de la colle reste à l’air libre une fois tes peaux pliées. Cependant, cela te fait 1,70 m de peaux à ranger (au fond du sac, de la cave ou ton garage).
Si par contre la courbe des peaux (qui logiquement suit celle des skis) est identique entre le patin et la spatule, je préconise l’option suivante : sans plastique.
Il faut bien sûr qu’une fois repliée (patin contre spatule) il reste très peu de peau à nu (colle non recouverte par l’autre partie de la peau). Car la colle à l’air libre sèche très vite.
J’ai bandonné l’option des plastiques, car si ils se déchirent durant une rando (plusieurs manip de peaux) laissant un bout de plastique collé sur la peau (cela m’est déjà arrivé), qu’il fait - 30° et qu’il y a un vent de folie, tu auras le plus grand mal à retirer le plastique récalcitrant (même avec un couteau suisse).
Bref, je colle les peaux en les pliant en deux (patin sur spatule), cela fait 6 ans que je fait cela avec la même paire de peaux et je n’ai jamais eu de problème. Pas de réencollage nécessaire, ni de décollage intempestif durant une rando.
Quand au stockage, mes peaux sont au garage, pendues à un clou par les anneaux en métal que l’on passe autour de la spatule.
Posté en tant qu’invité par Greg:
Pour le séchage de la colle, je ne pense pas qu’il y ait un quelconque risque. Du moment que tu ne les laisses pas trop longtemps. Généralement, je les laisse secher pendant 1h environ puis après, je les range dans le sac.
Greg
Posté en tant qu’invité par Oli:
Pareil, tout pareil et ca marche super bien (patin contre spatule).
Posté en tant qu’invité par Jipé:
J’utilise un morceau de plastique que je prends en sandwich entre les deux peaux. Le collage se fait relativement facilement même par grand vent. J’enroule la peau au fur et à mesure que je la colle sur le plastique, idem quand je renouvelle l’opération sur l’autre face du plastique.
Pour le, séchage, une heure en suspention dans la buanderie et ensuite dans le sac.
Posté en tant qu’invité par lagopede67:
Peau contre peau? Moi j’arrive plus à les décoller si je fais ça, je dois trouver des bras costauds pour me tirer d’affaire…