Posté en tant qu’invité par Nicolas:
Statistiquement le risque est probablement réduit…
Mais une couche fragile pourrait peut-être en cacher une autre : une première surcharge fait péter celle du dessus, qui du coup protège celle du dessous, qui attend le skieur suivant la bouche ouverte???
De façon beaucoup plus concrète, après une cassure de plaque, il reste la partie au-dessus de la cassure qui n’a plus d’ancrage aval, ce qui réduit sa résistance si elle est suffisament pentue.
Et si la face en question est partie, c’est signe que les faces comparables ne demandent qu’à partir!
Donc, mieux vaut y aller dans la coulée si on n’a pas le choix, mais si on a le choix on peut aussi rentrer chez soi…