Posté en tant qu’invité par Raoul:
J2LH a écrit:
Oncle Bill a écrit:
Lors d’une avalanche de plaque, la couche fragile est
emportée
par l’avalanche. Si la couche fragile se situe au sol, c’est
le
cas actuellement avec les gobelets sous environ 60 cm de
neige,
une fois l’avalanche déclenchée il ne reste presque que
l’herbe
(c’est arrivé deux fois hier à Courmayeur).Je peux t’assurer que quand ça m’est arrivé il n’y avait pas de
sous-couche, la couche était récente et c’est tout simplement
parti sur de l’herbe couchée.
Non, c’est vrai ?
« c’était clairement une accumulation due au vent, donc une
plaque à vent. »« une plaque à vent c’est simplement une accumulation plane de
neige par le vent. »Ca c’est la définition même de la plaque à vent, pas une
généralisation.
Ouais, ça doit être ça, quoique, faut voir.
« Une telle plaque reste dans le manteau jusque la fonte dans
le
sens ou elle représente toujours une surcharge même si ell
peut
se transformer et peut rester un danger pendant plusieurs
semaines. »Je dis 4 choses :
- Une plaque à vent reste dans le manteau jusque la fonte,
c’est une généralisation si tu veux mais cette plaque, elle ne
va pas s’envoler donc elle reste.- une plaque à vent représente une surcharge, je veux bien
admettre que là aussi c’est une généralisation mais je ne vois
pas comment une couche supplémentaire ne pourait pas être une
surcharge.- Elle peut se transformer, ce n’est pas une généralisation
(elle peut…)- Elle peut rester un danger, idem que la phrase précédente.
Exact, ça fait bien 4, le compte est bon, bravo Jtruc