Posté en tant qu’invité par Jean-Luc L’Hôtellier:
!Lui même a écrit:
Nouveau sujet (…polémique) pour les détracteurs du septième
degré facilement accessible…
Allons bon, ce n’est plus le 6a qui est facile maintenant c’est le 7. Pour avoir un niveau de 7a il me semble qu’il faut être capable de passer du 7b/7c après travail ce qui bien sûr est facile.
« historique » et donc incontestable (j’ai vécu ces années là ):
- Le 8a et même le 8b (la rose) furent des cotations réalisées
avant les SAE (ce qui fait tomber les arguments de tous les
mecs qui parlent de X séances par semaines pour arriver à qq
chose…
Pas besoin de SAE pour s’entrainer plusieurs fois par semaine.
- Ce niveau fut atteind par des garçons qui étaient étudiants
Donc avec le gros avantage d’être jeunes.
D’après toi si des mutants motivés peuvent passer du 8, n’importe qui peut passer du 6a. Va faire un tour dans les clubs où la compétition est anecdotique, tu vas voir que quand tu passes du 6a tu es déjà considéré comme un bon grimpeur et que de nombreuses personnes ne grimpent qu’en moul sans pour autant s’ennuyer.
C’est peut être ce qui manque (la motivation) à ceux qui
peinent dans le 6a et qui sont allergiques à mes affirmations
dans un précédent sujet.
Non, il s’agit d’une motivation différente. Pour moi l’escalade est avant tout un loisir de montagne, la notion de performance passe loin derrière le plaisir de grimper et de découvrir.
Allez que
les mauvais et les aigris s’en donnent à coeur joie et me
parlent en retour du plaisir du casse croûte au pied d’un 4C
… en admirant les oiseaux et le paysage!
J’adore … sans eux je me sentirai moins « supérieur » :-)))
Je me demande qui est aigri si pour toi avoir un niveau passe avant la convivialité.