Grenoble, c’est la ville universitaires au centre d’une agglomération de 450 00 habitants, avec ses avantages et ses inconvénients.
Parmi les avantages l’ambiance, la possibilité de rencontres sympas, le réseau associatif, les équipements culturels et sportifs, les terrasses de bistro, le tram et le réseau de bus qui permettent de vivre en semaine sans voiture si on ne fait pas des trajets pendulaires avec la banlieue plus ou moins proche. Au milieu d’une série de massifs alpins chacun avec leurs particularités. De Grenoble, on sort en montagne à la journée, y compris à la Bérarde aux beaux jours 
Parmi les inconvénients, la pollution chronique due à la situation au fond d’une cuvette, les embarras de circulation aux heures de pointes si l’on commet l’imprudence de vouloir circuler en voiture individuelle, le bruit nocturne souvent insupportable en centre ville lorsque on prétend dormir avant 1 ou 2 h du matin, et un climat continental, plus froid l’hiver et plus chaud l’été que les villes proches. Le coût du logement est un peu plus élevé que dans la plupart des autres villes françaises de la même taille, effet de l’apport constant de chercheurs et cadres français et étrangers à haut pouvoir d’achat.
Pour aller loin, TGV, et aéroports avec bus directs à la gare SNCF.
J’ai jamais vu un-e Grenoblois-e partir ailleurs pour se rapprocher de la montagne, sauf pour vivre en altitude avec un projet professionnel. Perso j’y vis en bascule avec mon village-station de Maurienne, mais je n’y met pas les pieds de l’été, période où l’on est en alerte à la pollution la plupart du temps.
Dans la taille en dessous y a aussi Chambéry, qui a la particularité d’être au centre d’un réseau de pistes cyclables pratiquement unique en France, y compris à l’intérieur du centre ville (ce qui n’est pas le cas de Grenoble) et à proximité du lac du Bourget (bain, voile). Nettement moins cher que Grenoble ou Annecy (à Annecy ou Bonneville, nombre de postes existant de fonctionnaires de catégories C ou B sont chroniquement non pourvus à cause du prix du logement).