Neige croutée

Posté en tant qu’invité par txom:

c’est bon les gars …et les filles. Je vois que tout le monde galère dans la croutée. Aprés ++ années de rando j’avais rarement trouvé aussi difficile mais bon, on est quand même descendu. Alors pour les demoiselles petits poids, je fais 1.71 pour 70kg, du bon basque, mais là la croute cassait facile. A+ les potes.

Posté en tant qu’invité par Pascal:

Denis V a écrit:

En plus, c’est dangereux en cas de chute. Blocage d’un
menbre…

Exact !
Il y a quelque années …
petite pente bien sympa sur croutée dure, un peu trop d’appui en sortie de virage (virage trop sauté), la croute casse, bloque le membre (la jambe pour être préci), et CRAC ! aie j’ai mal, fracture tibia + peronnet + cul dans la neige quelques heures + hélico …
Donc skier light, très light …

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par pierre:

Petite astuce utile dans les faibles pentes, les plus emmerdantes : mettez donc les peaux à la descente !
Oh, bien sûr, ça fait pas" top pointu de la glisse", mais on peut descendre avec plus de plaisir et moins de risque que par la technique traversée/bassine.
Ca suppose aussi que la croûte est suffisament fragile pour que vous restiez dessous, bien calé en position « sous- marin ».

De toute façon, dans ces situations, les idées les plus désespérées méritent d’être essayées, non ?

Posté en tant qu’invité par mimmo:

Je crois que le plus important c’est de ne pas y laisser un genou !!!
Si tu sents pas le virage traversée- conversion c’est efficace…
Après , c’est vrai qu’il faut « s’essayer ». Doser les appuis pour ne pas « casser » la croute par exemple ou bien choisir les "bons "endroits pour tourner (vision loin devant , couleur neige, accumulations ) bref y’a aussi de la ruse…adapter le virage à la pente, mais tjs penser à l’exposition , est-ce que je peux me prendre une gamelle à cet endroit ?
Courage tout s’apprend !

Posté en tant qu’invité par manu:

moi je dis rien de mieux qu’une croute au fromage à l’arrivée…

Posté en tant qu’invité par mimmo:

eh ! Manu tu descends ?

Posté en tant qu’invité par Robert:

Une technique non encore évoquée, valable en croûtée peu pentue: traversée (classique), et pas tournant vers l’aval, c’est à dire déplacer successivement un ski puis l’autre dans la (faible) pente puis dans le sens de la traversée dans l’autre sens.

Posté en tant qu’invité par Nicolas:

Pour les peaux à la descente, je trouve pas ça top : ça les fusille d’une part, et surtout ça empêche totalement de skier dès que la croûte devient un peu moins inskiable…

Pour le pas tournant ça peut marcher, mais c’est à réserver aux pentes très peu raides!

Pas encore de solution miracle non…

Bonnes bassines dans la croûtasse
Nicolas

Posté en tant qu’invité par alex:

c’est marrant comme un sujet à 2 balles fait papoter
moi c’est tendance bien en arrière , les genoux sous le menton biensur
pas trop de vitesse et quand les cuisses sont en ebullition et ben …
conversion

Posté en tant qu’invité par jean-mo:

Et pas de gros casse-croute dans le sac à dos non plus ! lol

Posté en tant qu’invité par txom:

eh gizon ! mon sujet à deux ballas ? ya des trucs qu’on partagent , nous .

Posté en tant qu’invité par bnhmmng:

moi c’est très simple dans neige croutée, je ne tourne pas… tout schuss !!!

Thierry

Posté en tant qu’invité par tetras:

Flexion extension flexion
C’est important de bien fléchir les cuisses enfin de virage, ça evite que les pied rest collés à la neige alors que ton corp part dans la pente. Il faut aussi répartir son poid sur les deux ski (contrairemen à un virage sur piste ou sur bonne neige).
Le stem est une vielle technique qui marche pas mal. C’est une technique compliquer à décrire avec des mots. Va chercher dans des bouquins.
Sinon, il parait que les nouveaux skis super larges aident beaucoup.
Dernier conseil : avoir des cuisses en béton.

Posté en tant qu’invité par Francois:

C’est quoi, exactement, le problème dans la neige croûtée???

Posté en tant qu’invité par Michel:

Il y a trois sortes de neige croutée :

  • la normale avec la croute en dessous.
  • la croutée, croutée… avec quasiment que de la croute (limite brulée quoi)
  • celle avec la croute sur le dessus (plus connue sous le nom de « neige Tatin »)

La premiere est assez facile à consommer, il suffit de laisser le fond de tarte si on craint pour sa ligne; c’est ce que font certaines jeunes filles. Les connaisseurs ne dégustent que le dessus, mais c’est un peu grossier parce que ça laisse des traces qui sont horribles pour ceux qui s’aperçoivent ensuite que la belle n’est plus vierge.

La seconde est réservée à des costauds aux dents solides. On peut aussi attendre qu’elle fonde pour la déguster : si la couche fondue est mince, c’est un régal de connaisseurs, dont il convient d’effleurer la surface. Mais cet état est généralement assez éphémère et les retardataires pourraient la trouver lourde et collante : une faute de gout quoi.

La troisième est la plus appréciée des fins gourmets. La question est de savoir la prendre en souplesse, ce que seuls les experts parviennent à faire. Il faut que la pénétration soit lente … mais aïe, aïe, attention aux dérapages verbaux, les modérateurs pourraient supprimer mon post. Il parait que Francois organise des stages spéciaux de formation pour bien la maitriser.
Inscription préalable au CAF GO obligatoire. Programme sur demande et en fonction des conditions.

Posté en tant qu’invité par Pierre:

Je vois que monsieur connait l’adage :
« Il n’y a pas de mauvaise neige, il n’y a que de mauvais skieurs ».

Je médite souvent cette forte pensée, du fond de mes bassines.

[%sig%]