Motoneiges a la Feclaz c parti....snif

Posté en tant qu’invité par Thierry:

Effectivement les recours, ca pourrait être étudié, mais s’en charger perso, pas evident et je ne sais pas ou en sont les assoc.

Ce qui me fait un peu peur c’est qu’une fois la neige fondue ce soit les quads qui prennent le relais…

Posté en tant qu’invité par Thierry:

Assez d’accord, cf Valloire!

Parrait que ca veut dire vallée d’or (vallis aurea)…du temps ou les champs occupaient la vallée . Aujourd’hui ce pourrait etre vallgris (beton + moteurs)

Posté en tant qu’invité par Paul G:

Je suis assez d’accord avec tetof.
Un avis lors de l’enquête publique me parait 1000 fois plus efficace qu’un message sur ce forum.
Il me semble que ce n’est pas la première fois qu’on parle de ce projet. Je n’ai aucune sympathie pour les motoneiges, mais à partir du moment où on était au courant de l’enquête publique, si personne dans le coin ne s’est déplacé, c’est que finalement le projet ne devait pas être bien gênant.

Sinon, je serai très intéressé pour que « my ass » nous détaille ces exemples où l’enquête publique n’a servi à rien… Je ne dis pas que c’est l’arme absolue, mais il est difficile à un porteur de projet d’ignorer les remarque faites pendant une enquête. Beaucoup de projets industriels ont été bloqués ainsi (carrières, centres de stockages, etc…)

Posté en tant qu’invité par Fifth take…:

Je suis en Haute Tarentaise…et c’est monaie courante ici :frowning:

Posté en tant qu’invité par rando ski:

A Thierry le recours ne peut être une affaire individuelle sauf pour un particulier qui aurait un préjudice personnel provenant de la décision.
Par construction, le recours ne viendra pas des autorités qui ont approuvé le projet ou laissé faire (préfet, maire…) C’est donc ici l’affaire d’une association agréée, par exemple MW ou d’autres Pour ma part je leur ai envoyé un mail pour connaitre leurs intentions .

Paul G tu écris " si personne dans le coin ne s’est déplacé, c’est que finalement le projet ne devait pas être bien gênant" ta fausse démonstration relève du parfait syllogisme. Je t’ai connu plus convaincant dans tes analyses ;=).
Je serai d’accord avec toi pour dire que les palabres ne font pas avancer les choses et que ceux qui ne se bougent pas sont peu légitimes à se plaindre des résulats.
Mais repondre à une enquête n’est pas si simple que ça: il y faut des arguments un minimum pertinents
Comme dit plus haut une enquête n’est pas un référendum.

Posté en tant qu’invité par Francois:

Encore faut-il être au courant. Les enquêtes publiques, malgré leur nom, ne font pas l’objet d’une publicité débridée.

Posté en tant qu’invité par Paul G:

randoski : « Je t’ai connu plus convaincant dans tes analyses ;=). »

J’étais un peu ironique, je le reconnais.
Je parlais surtout des moyens d’actions. Dans ce genre de projet, il y a un moment pour s’exprimer. Le commissaire enquêteur fait un rapport à partir des remarques.
Ce n’est pas pareil s’il a 2 pelés, 3 tondus, ou plein de gens qui viennent se plaindre du bruit, par exemple…

Après, sur le plan perso, je préfère que les 4x4, quads, et autres motoneige soient bien cantonnées à des zones spécifiques. Ils peuvent faire vroum-vroum, tandis que j’éviterai soigneusement l’endroit.

Posté en tant qu’invité par Francois:

A ce sujet, il y a un édito dans le dernier MM.

Posté en tant qu’invité par Thierry:

Paul G a écrit:

…/…

Sinon, je serai très intéressé pour que « my ass » nous détaille
ces exemples où l’enquête publique n’a servi à rien… Je ne
dis pas que c’est l’arme absolue, mais il est difficile à un
porteur de projet d’ignorer les remarque faites pendant une
enquête. Beaucoup de projets industriels ont été bloqués ainsi
(carrières, centres de stockages, etc…)

Je connais au moins un exemple, qui j’imagine n’est pas isolé, et qui laisse penser qu’un lobbying efficace est plus utile qu’une complainte dans une enquète publique : le trajet du tgv dans le sud Drôme, où contre l’avis de l’enquête publique le conseil d’état a approuvé un tracé en zone de population relativement dense (et aussi zone à risque), pour épargner quelques vignobles. A l’époque le lobby des viticulteurs était défendu par Henri Michel, député du sud Drôme et accessoirement ami de François Mitterand…

Posté en tant qu’invité par Sixth take…:

D’ailleurs, c’est bien le but d’un assoss comme MW…de devenir un lobby important…qui ait un poids politique…tout de suite, on vous prends plus au serieux…parce que moi, simple pequin qui donne son avis dans une enquete publique…ben c’est pas gagne…

Les assoss ca sert aussi a organiser et a mobiliser…

Posté en tant qu’invité par rando ski:

Paul G " Après, sur le plan perso, je préfère que les 4x4, quads, et autres motoneige soient bien cantonnées à des zones spécifiques. Ils peuvent faire vroum-vroum, tandis que j’éviterai soigneusement l’endroit."
Paul, tu aggraves ton cas!!! ;=)

en matière d’environnement, on n’en est plus là, à une problématique du dérangement individuel (ça c’est l’écologie PDMJ : pas dans mon jardin )!

La question du jour est « un terrain de motoneige est il acceptable » et au cas particulier l’est il au revard dans les bauges . Si tu as une préoccupation d’envt ta réponse sera la même, que tu sois personnellement dérangé ou que tu ne le sois pas.

En l’occurence j’ai répondu que non en allant du plus particulier au plus général :
sur des motifs d’impacts avec une étude d’impact foireuse (disons tendancieuse), au titre de la loi sur les engins motorisés, au titre du classement des bauges en Parc naturel régional, et de manière supérieure au titre de notre constitution (charte de l’envt annexée à la constitution: et peu importe la pureté des intentions du père de cette chart et des ses parrains: c’est dans la constitution ) et au titre des engagements internationaux de la France (Kyoto) (remarque idem que pour la charte).

Quant aux engins motorisés qui seraient hors des terrains autorisés où ils doivent être cantonnés, ceux là seraient (sont) en infraction et verbalisables et tout le tintouin… Comme tu sais où on est sur ce point, tu as la démonstration qu’autoriser des terrains ne réduit en rien la pratique sauvage!

Posté en tant qu’invité par tetof:

Oui, mais je suis septique pour MW :

  • Manifester contre le bruit en prenant un téléphérique me fera toujours bien rire.
  • Ne parlons pas de la théorie de la « zone blanche » : PAS de TOPO. Alors que Francois Labande, garant de MW, n’est que l’auteur des topos quasi-exaustif sur l’Oisans et de la selection du Vallot sur le Mont Blanc.

Beaucoup de grand nom, beaucoup de comm mais questions résultats ?

Posté en tant qu’invité par pierre:

tetof a écrit:

MW :
http://france.mountainwilderness.org/index.php?action=afficher&rub=5&id=481&from=2

CAF
http://www.cafchambery.com/article.php3?id_article=2495

Eh, tetof, si tu me dis ça pour me faire honte, et bien …c’est réussi !

Posté en tant qu’invité par tetof:

Si tu veux bien m’escuser mais ce n’était pas mon but.

Je me rappele qu’au CAF de Chambery, beaucoup de gens étaient contre (2000 adhérents) mais au final très peu de personnes ont répondu à l’enquète public.

Posté en tant qu’invité par claude:

quelle honte, en représaille je pense que je vais boycotter les commerces de la feclaz quand j’irais faire du fond ( tant pis pour le chocolat chaud avant de redescendre). c’est malheureusement le seul moyen de pression dont nous disposons pauvres fondeurs ou raquetteurs trop peu dépensiers ; mais si tout le monde fait ca pourrait les faire réfléchir, on peut rêver…

Posté en tant qu’invité par gof:

Juste, c’est particuliérement pénible.
Mais d’un autre côté, chacun trouve son plaisir ou il peut. Je connais assez peu de randonneurs qui se rendent sur les départs à vélo. D’un point de vue pollution, je pense qu’ona pas de leçon à donner de ce point de vue.

L’essentiel, c’est que ces motoneige restent sur un parcours défini.

Posté en tant qu’invité par Pïerre:

gof a écrit:

Juste, c’est particuliérement pénible.
Mais d’un autre côté, chacun trouve son plaisir ou il peut. Je
connais assez peu de randonneurs qui se rendent sur les départs
à vélo. D’un point de vue pollution, je pense qu’ona pas de
leçon à donner de ce point de vue.

L’essentiel, c’est que ces motoneige restent sur un parcours
défini.

Effectivement je me rends en voiture aux départs des randos (souvent à plusieurs dedans) comme ceux qui vont faire de la motoneige mais au moins à partir de là et au cours de mon loisir le dégagement de CO2 s’arrête, donc à ce titre je me sens tout à fait le droit de dire quelque chose.

A part ça, j’ai lu le thread en travers mais il me semble que de toutes façons il y a une interdiction générale en France de l’utilisation des motoneiges à des fins de loisir hors de circuits dédiés à cette activité. Ces circuits doivent être de dimensions restreintes, bien délimités et il est du pt de vue de la loi et de la jurisprudence hors de question de créer un circuit de 100ha dans la forêt et de dire qu’il s’agit d’un circuit dédié à la motoneige.
A partir de là je ne vois pas trop ce qu’il y a à mettre dans une enquête publique… Ce circuit est complètement illégal au regard de la loi. Mai bon quand on sait qu’en pleins d’endroits des circuits complètement illégaux existent au vu et au su des autorités locales avec leur bénédiction, que faire ?

Posté en tant qu’invité par strider:

tetof a écrit:

Pour info l’enquete publique (je pratique regulierement) a recu
quelques reponses quand meme, meme si il est vrais, le temps
d’être informé, de reagir, de répondre , hop, c’est fini!

Je n’ai plus les chiffres en tête mais le nombre de réponse à
l’enquète public a été très faibles (de mémoire moins de 20).
Je prends les paris mais il y a aura plus de participants à ce
post que de réponse à l’enquète public.
Chercher l’erreur.

rien d’étonnant : bien souvent c’est le cas du grogneur passif : ses capacités à l’ aboiement, à la pleurnicherie sont bien souvent inversement proportionnelles à ses capacités à l’action, la prise en main, la gouvernance.

c’est hélas trop régulièrement observable (et c’est le même problème dans le débat sur le réchauffement clim)

sur le débat de l’efficacité de l’enquête publique, c’est vrai qu’elle arrive parfois un peu tard, notamment quand le projet est déjà bien avancé et que l’enquête arrive après une étude d’impact (demandée pour tout aménagement de ce genre) qui a été quelque peu baclée (soit par un bureau d’étude peu scrupuleux et/ou un commanditaire qui fait pression dans ce sens, soit parce que c’est trop précipité…un peu de tout en général)

il faut donc voir aussi l’étude d’impact, voir si dans le travail, tout a été bien pris en compte et que rien n’a été baclé.

Aussi l’enquête publique ne marche, comme dit Christophe, que si il y a suffisamment de réponses, pour avoir une certaine représentativité en terme de contestation : le commissaire enquêteur ne peut faire un rapport pertinent sur du « rien » ou « silence » même si le silence peut être interprété comme consentant ou réprobateur.
Si par contre le commissaire enquêteur fait un rapport sur une masse solide de témoignage et qu’il peut donc se permettre d’émettre un avis négatif, le recours au tribunal administratif marche. C’est à dire que l’enquête publique ne va pas forcément empecher l’aménagement mais les opposants peuvent utiliser l’avis négatif du commissaire enquêteur en recours au tribunal administratif et obtenir l’annulation de l’aménagement (ou l’arrêt de son activité si l’aménagement est déjà opérationnel)

reste cependant un problème, Christophe : les gens ont-ils été suffisamment informé qu’un registe d’enquête publique a été ouvert?
parfois il arrive que l’outil de l’enquête publique soit potentiellement efficace mais que les gens ne sont pas suffisamment informé de son existence pratique : lieu & horaire du dépot des réponses etc…
le manque de diffusion de l’information peut aussi être invoqué dans le résultat nul de l’enquête publique. C’est souvent le cas d’ailleurs.

Posté en tant qu’invité par scaraix aix les bains:

Pourquoi autant d’intolérance alors que la montagne est si grande.
Et quoi de mieux que d’aller faire de la raquette vraiment à l’écart de la civilisation alors que l’activité motoneige n’est finalement pas si loin de la route?
Il faut respecter le propriétaire du terrain qui depuis des années met (gracieusement) à la disposition de la communauté sa forêt pour que la population puisse faire de la raquette, du ski alpin (la piste bleue ou verte passe sur son terrain), du chien de traineau…
c’est comme ça que vous le remerciez bande d’ingrats amnésiques.
Je suis sûr que vous êtes plein intelligent que cela.
bonne journées à tous

Posté en tant qu’invité par JJB:

t’as qu’à prèter ton jardin devant chez toi
puisque tu sembles apprécier le voisinage de la moto quad neige de merde !!
tu verras ce que ça donne après usage
j’attends ??