Montre GPS

Un GPS en randonnée est aussi utile qu’un tire-fesse en ski de rando. Parfois on peut être content de l’avoir mais ça ne devrait pas devenir une règle.

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Ben
à te la péter au quotidien à la machine à café (t’as vu ma grosse montre jeanine ? moi je suis un montagnard…et d’ailleurs ca te dirait d’aller tirer un coup à l’hotel après le boulot ?)
A te la péter en uploadant ta trace sur des sites genre strava (t’as vu jean pierre ? Je te mets 45 secondes sur la montée à la Croix de Chamrousse)

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tu peux utiliser strava avec ton téléphone, pas besoin de montre.

Perso j’utilise ma montre pour enregistrer la trace GPS (avec Garmin), ça permet de ne pas utiliser trop la batterie en le faisant sur le téléphone.

Accessoirement, ça donne l’heure sans avoir à sortir son téléphone.

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La question m’intéresse, parce que j’y connais rien. En ski de rando, mon smartphone est en mode avion (pour ne pas perturber le DVA). Une montre GPS peut-elle interférer avec (contre, en l’occurence…) un DVA ? Si la réponse est non, ça pourrait être intéressant, non ?

Vu que je ne connais personne qui fait ça, j’espère que c’est une légende urbaine …

On m’a dit la même chose des gants chauffants

Curieux comme comparaison, personnellement je ne vois pas du tout le rapport…

Comme je randonne principalement dans des coins que je ne connais pas ou très peu, je peux difficilement me passer de carte (enfin on peut mais c’est un autre jeu auquel je ne joue pas)

Je trouve que les cartes papiers sont les objets les moins pratiques que j’ai eu à utiliser : il faut les acheter à l’avance (à distance en ce qui me concerne, pas d’autre possibilité), on est toujours forcément (loi de l’emmerdement maximum) à la limite entre deux ou trois cartes donc ça multiplie les achats, dès qu’on passe à l’étranger, en Italie notamment, les choses se compliquent.
Et je ne parle pas des changement de plan de dernière minute où on s’aperçoit qu’on a pas la bonne carte…

A l’usage sur le terrain les cartes papiers sont, je trouve, pénibles à manipuler, à ranger (il y a bien l’option de la pochette qu’on met au cou mais qui est insupportable à ski) en particulier quand il faut jongler avec plusieurs cartes.
Et l’âge venant, il faut sortir des lunettes pour pouvoir la lire ce qui augmente encore fortement la pénibilité de la chose.

A coté de ça on a inventé les smartphones = une bénédiction : on peut y mettre toutes les cartes que l’on veut, empiler les couches ( couleurs de pente notamment ), un écran de 5 pouces à 6 pouces est suffisant pour s’orienter sur le terrain et pas besoin de lunettes.

Une fois qu’on a ça et que ça convient bien, il suffit d’appuyer sur le bouton « activer gps » et on a sur la carte le point où on se trouve et la trace qu’on a parcouru.
Alors certains trouveront que « ce n’est pas du jeu » mais d’autres comme moi trouvent par ailleurs suffisamment d’intérêt à la rando pour se priver de ce jeu là.

Bien sûr il y a des limites et des contraintes (pannes, problème de batterie, très grand froid < -15 / -20, manipulation avec les gants) mais avec un peu d’organisation on s’en sort très bien.
Et comme la plupart du temps tous les membres du groupe ont un smartphone également, ça fait autant de solutions de secours pour peu qu’on ait anticipé les choses. Et si l’un deux doit appeler les secours il aura des infos précises à communiquer même si il n’a pas suivi de près la navigation.

Bien sûr la carte papier reste un bel objet, sympa pour avoir une vue d’ensemble (encore qu’un grand écran de 24’ à la maison fait bien l’affaire de ce point de vue)

Et pour ce qui est de la montre GPS je trouve ça beaucoup trop petit pour remplacer un carte papier (possible juste en dépannage ou sur un parcours ou dans un coin qu’on connait déjà)

A chacun sa voie et ses plaisirs…

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Ca ne sert pas à grand chose.

Le téléphone doit être dans le sac (= loin du DVA) et éteint.

oui

Au départ d’un hors-piste avec un groupe de 4 personnes équipées, le guide nous a fait faire le test. C’est assez concluant. Mais les interférences agissent jusque 50 cm max ; donc si tu as le dva dans la poche de pantalon, et le smartphone dans le cerveau du sac, ça doit passer. Pour plus de sécurité (vu l’état dans lequel je pourrais être, mon sac itou, sous une avalanche), je préfère garder le smartphone en mode avion. La recommandation est de garder le téléphone en mode avion - et non éteint - pour ne pas perdre de précieuses minutes lors d’une recherche et appeler les secours.

Sinon, tu peux avoir l’info su Skipass.

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