Posté en tant qu’invité par rapha:
Thierry AVE je n’aurais pas dit mieux. Je suis de cet avis de plus je crois qu’il y a eu une discussion similaire une fois ‹ ‹ gay sur le mont blanc › › je crois.
[%sig%]
Montagne gay
Posté en tant qu’invité par nob:
Désolé, mais c’est de cette façon que l’on fait une le distingo entre homo et hétéro
Posté en tant qu’invité par spud:
moi j’avous avoir un penchant pour les refuges gay… je sais je sais c’est pas bien… mais imaginé toutes ces filles frustrés de voir tant de mec dans le refuge d’à côté… ça ne peut qu’ouvrir… de souvertures…
Thierry a en tout cas bien résumé, de plus le Mr, il est pas venu répondre… « postàlacon? »
Posté en tant qu’invité par pierre:
t’as l’air d’en connaître un rayon.
Posté en tant qu’invité par poil di gris:
Ben voyons…il y a des moutons,des chèvres,des cons de montagnards, encore plus con : des touristes et moi le loup.
Désolé il n’y a plus de place !
Un loup libre hors communauté caca boudin
Posté en tant qu’invité par Malthuser:
Salut les filles,
Me revoilou…
Je reviens de Norvege ou j’ai passé quelques jours avec un troll super sympa .
La lecture de vos commentaires m’a rendu trés trés gai ,pas encore tout à fesse gay .
Sans rancune ,vive les montagnards bien couillus et poilus .
Posté en tant qu’invité par jp:
ah le farceur!!!
mais au moins ça n’a fait que confirmer la pensée générale sur les communautarismes en tout genre(post sur la question il-y-a qque temps)
salut
Posté en tant qu’invité par alexandre:
Une agence sportive vient de voir le jour: 32eme parallèle
http://32emeparallele.free.fr/
Cette agence s’adresse à tous les gays, lesbiennes et hétéros sans préjugés qui veulent faire de la montagne. Le séjour d’inauguration a été un Cham-Zermatt en Juillet 2005. L’agence est née à partir d’une association gay basée sur Montpellier, « Chemin des Cîmes », reconnue depuis longtemps à la fois pour son dynamisme dans les activités de plein air (rando, escalade, vtt, canyoning…), et pour son ouverture: elle n’a rien d’un ghetto, certains membres fidèles depuis le début sont des hétéros purs et durs.
En réponse à ceux qui demandent « à quoi ça sert, une assoc gay d’alpinisme » et qui crient au communautarisme, voilà quelques éléments:
1- Le soir, au refuge, après avoir parlé météo, itinéraire et ampoules, les conversations débouchent inévitablement dans le meilleur cas sur « et toi, t’es marié? t’as des enfants? », dans le pire des cas sur des blagues homophobes. Quand on est le seul gay ou la seule lesbiennes du groupe, qu’est-ce qu’on fait? On dit rien et on passe pour l’associal de service, ou on dit tout et on jette un grand froid? Les mentalités sont peut être plus ouvertes qu’avant, il y a des guides à qui ça ne pose aucun problème, mais on peut aussi tomber sur de gros réacs qui ne vont plus vous adresser un mot (à part « corde tendue! »). Et quand vous reservez pour une course, vous pouvez pas exiger des compagnons de cordée certifiés « non-homophobes ». Avec une association gay ou gay friendly*, on n’a plus ce genre de problème, on peut être soi-même et parler librement.(Je précise encore une fois que je ne rêve en aucun cas de groupe « exclusivement gay »)
2- Quand on habite à Grenoble, c’est peut-être très facile de trouver des amis avec qui faire de l’alpinisme. Quand on habite à Paris, Bordeaux, ou n’importe quelle ville loin des montagnes, qu’on vit seul, que tous nos amis hétéros passent désormais leurs vacances en famille avec leurs momes, et que la plupart de nos amis gays préfère les tongs et Ibiza plutôt que les grosses et Albert 1er, c’est pas évident de se décider à partir tout seul pour 15 jours. Certes, on peut faire confiance au hasard et rencontrer des gens hyper sympas en refuge, mais on peut aussi se prendre une semaine d’orages, et rester comme un con bloqué dans la vallée. En partant en groupe, ca va encore. Seul, bonjour la déprime.… Une association gay ou gay friendly est alors un moyen pour permettre à des gens qui ne se connaissent pas d’organiser des sejours, en sachant qu’ils auront forcement certaines affinités. Et pour ceux qui pensent tout de suite au sexe, je rappelle que les nuits en refuge, sans douches, avec lever à 3 heures du mat, c’est pas vraiment les conditions idéales pour des ébats intimes.…
Vous voyez donc qu’il n’est question ni de ghetto, ni de « façon de mousquetonner gay », ni d’agence matrimoniale, mais simplement de permettre à des gens de se rencontrer pour partager une même passion, la montagne, en restant soi-même, sans risquer d’être jugés ou considérés comme des bêtes curieuses.
Ironie du sort, les gays montagnards seront toujours considérés comme des extra-terrestres … par les 90 % de gays qui auront passé leurs vacances en tongs à Ibiza !
- Pour ceux qui ne le connaîtraient pas, « gay-friendly » est le terme habituellement employé pour désigner les établissement ou les associations qui annoncent d’emblée que les gays sont les bienvenus au même titre que les hétéros, sans discrimination
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par alexandre:
En complément à mon précédent message, je te conseille de jeter un coup d’œil au site de la Fédération Sportive Gay et Lesbienne, il aura certainement d’autres renseignements.
http://www.fsgl.org/dynamic/fr/index.php
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par lescargotencoretoujours:
Quand je lançai le post « corde tendue », j’étais bien loin d’imaginer ces sous-entendus !
Mais je fréquente peu les refuges et jamais les clubs!
Je dis peut-être une bêtise , mais, sur ce site par exemple, il y a sans doute pas mal de filles qui seraient contentes de grimper avec des gays: pas de plan drague lourd, ce qui n’est pas rien!
Je dis cela, car plusieurs de mes amies ayant des copains homos m’ont sorti cette cerise sur le gâteau: « En plus avec eux, il n’y a pas d’ambiguïté. »
Bon courage en tout cas aux grimpeurs gays.
Posté en tant qu’invité par Phil:
tonio a écrit:
non tu te plantes, on ne peut pas rire de tout,
Desproges disait: « Mieux rire d’Auschwitz avec un juif que jouer au scrabble avec Claus Barbie »
surtout avec un
humour aussi creux
Pas « surtout avec un humour aussi creux » et pas « de tout » : il fallait écrire : « on ne peut pas rire avec un humour aussi creux »
CQFD