Posté en tant qu’invité par strider:
fabrice a écrit:
D’ailleurs ce terme de randonée alpine est assez ennuyeux et
flou, oar exemple, si on va sur un glacier débonnaire mais avec
quelques crevasses on dira rando alpine mais si pépin, faire le
moufflage et compagnie… ça devient vite technique!
Donc pour moi, la technicité d’une course regroupe les
difficultés rencontrées mais également celles potentiellement
rencontrables. Voilà mon avis.
hé ben voilà plus de besoin de débats…suffisait de dire que les choses sont relatives…le dôme des écrins est catalogué de F mais on dirait plutôt parcours glaciaires classique car le glacier est un milieu changeant et évolutif donc porteurs de difficultés ici sous forme de dangers potentiellement rencontrables, crevasses, chutes de séracs, plaque à vent…c’est comme les corniches du Liskam c’est une vrais difficulté de bien savoir les courtourner, ça se joue à peu d’espace donc c’est difficile d’évaluer sur le terrain même si ce n’est pas une effort physique dure, il n’empêche, c’est une difficulté…donc les cotations ça passe après le sens du terrain donc on les mets dans la poche…certaines course AD m’ont causé bcp moins de souci que des courses F…et on voit que les guides s’impliquent tout autant dans l’une et dans l’autre…la plupart des accidents sont en terrain dits faciles mais avec des difficultés (donc dangers) potentielles…donc la cotation est un gros piège ainsi que les qualificatifs superflus style rando alpine, rando glaciaire, alpi classique, alpi extrème…tout ça c’est du langage un peu cafisant mais ça vaut pas l’intuition (car on ne voit pas tout) et la connaissance sensible du terrain qui évolue sans cesse…
Pour la rando alpine, je pense plutot à des sentiers escarpés
avec des passages sans chemins ou on met un peu les mains mais
sans réels passages glaciaires.
oui en gros c’est ça : l’obiou en aout par exemple…la rateau d’aussois