Mes stages initiation et Perf 1 et 2 avec l'école de parapente Haut les Mains de Barrême (04)

Il y a quelques semaines, je vous avais promis de faire un compte-rendu de mon stage, que dis-je de mes stages.

Stage initiation :

Après contact téléphonique, Haut les Mains m’avaient précisé qu’ils avaient plusieurs pentes écoles et aires de décollage aux alentours donc je me suis dit que c’était mieux. Cool
Arrivé deux jours avant, je vais faire un tour à l’école et je suis accueilli en mode familial. Tout le monde me dit bonjour, me fait la bise et m’offre le pot d’arrivée. Le lendemain, je vais faire un tour en moto vers Barcelonette et le soir rebelote, je passe à l’école. Ambiance cool trinquer
Le lendemain, rendez-vous à 8h pour les inscriptions et questionnaires, rencontre avec les autres stagiaires (on est 4 en init) et tour de table de présentation, attentes, passés sportifs, on se dévoile. Pierrick, l’un des formateurs nous prend en main, direction une pente école. Les bases avec la présentation d’une voile, des suspentes, la corolle, les commandes etc… Puis les recommandations, le tour de sellette, bref plein de vocabulaire nouveau et pas mal de galères avec les…fils ! L’après-midi, gonflage de voile. On court, on descend, on remonte, on fait son prévol à chaque fois. C’est pas évident et c’est dur mais on commence à sentir certaines choses…le soir on va voir les perfs faire leur attero (au début j’avais compris apéro !!)
Même chose le lendemain sur une autre pente école. Quelques automatismes arrivent même si j’ai encore du mal avec la prise de commandes. Par contre ma voile une P12 XS commence à se faire sentir et malgré les traces sur les bras (élévateurs), je suis fier de pouvoir faire des sauts de puce… dont un l’après-midi qui me fait crier de joie devant la caméra. A force d’abnégation , de conseils et de persévérance, la construction de l’aéronef est nickel, c’est juste au moment de la temporisation que je fais des erreurs, je freine trop, ou je ne me penche pas assez en avant sur la sangle ventrale. j’essaie de comprendre pourquoi (oui l’instructeur m’a dit que j’étais trop analytique) mais je sais comment je fonctionne. Si je ne comprends pas pourquoi, difficile de faire. On me dit de sentir plus la voile, de me fier aux sensations et effectivement, on me passe pour cela une mini voile, la Mini Gingseng plus difficile à gonfler mais qui me donnera plus de feeling. Dur de se remettre à une autre voile quoqiue je l’aime bien, deux pas en avant et elle se golnfle, c’est après que ça se corse pour la recherche de la portance alors qu’avec la P12 je sentais bien la voile me tirer vers le haut…le la sens plus se gonfler, tendre les suspentes…
Après moults tâtonnements, montées et descentes, Steph le boss nous dit qu’on est prêt pour voler ! Il faut juste penser au regard sur la porte de sortie, la position des mains, charger la ventrale.

Mercredi , c’esty la journée théorie sur le pourquoi du vol et des retours sur tout ce qu’on a vu notamment le prévol et puis on dissèque ce que sera notre premier vol, avec la PT8, PTS etc…le final, bref autant d’inconnues et bien des questions qui ne restent pas sans réponse grâce à la patience de Pierrick.
Malheureusement jeudi sera off car il pleut et l’école décide de transférer la journée à samedi pour ne pas qu’on perde la journée ! Rare pour être signalé non ? bravo bravo
Vendredi sera la journée des attentes, car le matin, seuls deux inits pourront décoller. J’ai es commandes en main mais soudain brise descendante et puis des gusts bref on doit ranger le matériel… Pas content J’avais le coeur qui battait à 180 et quelque part, je suis content de ne pas avoir décollé avec quelques anxiétés sur "que fallait-il faire ? tant de choses à penser…). Par contre, le soir, direction le Lâchens et là je suis fin prêt. J’ai tout visualisé. Les bras en W, chle regard au lin, charger la ventrale, temporiser, lâcher les avants, courir, s’éloigner du relief, monter dans la sellette, les virages à gauche et à droite. je suis prêt !! Malheureusement au lieu de faiblir, le mistral forcira et le soleil se couche avec des rafales à plus de 40 km/h et on doit ranger à regret. Entre temps on a vu les inits de l’UCPA faire leur vol : leur moniteur tient la voile, elle se gonfle, un pas et hop dans l’air; complètement différent de nous ! J’en ai même vu un décoller assis dans la sellette en rasant le sol… La méthode inculqué"e par Haut les Mains est certes plus fastidieuse mais finalement je me sens plus armé à faire face au vent, à être plus autonome, à sentir plus ma voile même si le grand vol ne sera que pour le lendemain…
Tout finit par arriver… je n’ai pas le temps de gamberger, on m’arrange la corolle et hop, je suis le premier à courir, la sellette me cueille (la video l’a prouvé), en fait j’ai juste senti les suspentes me décoller et la voile m’a assis dans la sellette sans effort. Au debriefing, j’ai vu que la position des mains était un peu haute, la course aussi, mais je n’ai pas attendu la temporisation et la voile m’a presque dépassé. Au lieu de la freiner un peu, j’ai ralenti et puis réaccéléré. Bref, c’était fluide mais pas top mais pour un premier vol, mais en gros bon déco : j’étais aux anges. On m’a juste dit que je n’aurais pas du me faire cueillir dans la sellette car assis, difficile de ré-atterrir en cas de problème. la suite du vol a été une douce euphorie : j’ai eu le temps d’admirer la voile, les suspentes, entendre le vent dans la voile, admirer le paysage et faire mes 8. Guidé par radio au décollage et à l’atterrissage, tout s’est parfaitement exécuté. L’atterro a été mis sellette, mis jambes car je n’ai pas su évaluer exactement à quelle altitude j’étais exactement. Mais pour un premier vol, j’ai même fait un 360 en toute sécurité. Ca aide la moto pour exécuter des virages et c’était génial comme vous devez vous en douter. Je n’ai qu’une envie, re-voler et apprendre, apprendre pour pouvoir voler en autonomie. La patience de l’impatience.
Au final, un seul vol, donc frustré par les conditions météorologiques mais cela fait partie de ce sport… Une école conviviale, familiale, qui fait tout pour que tout se passe bien. En sécurité maximum. Et pédagogie pour permettre l’autonomie et pas seulement « voler pour voler ». Cela a porté ses fruits, car je vais rempiler pour un deuxième semaine ! et j’aimerais bien en partant avoir le brevet initial. je rêve de 360, de fermeture de porte, de tangage, de roulis, de fermeture asymétrique, aux oreilles, de décoller face voile bref j’ai envie d’apprendre, de comprendre, de voler et mon objectif est de faire du cross, prendre des ascendances, des thermiques et voler de montagne en montagne. Le cours du samedi après-midi sur les brises de pente, de vallées, des vents météo, des trajectoires m’ont fait comprendre toute la beauté de ce qu’est voler. Merci à toute l’équipe de haut les Mains pour leur passion et patience, de s’adapter à chaque personne. Nous étions 4 inits avec 4 personnalités et capacités bien différentes et le résultat a été le même pour nous 4 : premier vol réussi sans problème et l’envie d’aller plus loin. Ce que j’ai aimé dans cette école c’est cette disponibilité et cette écoute. Ce que j’ai moins aimé ce sont les conditions météorologiques qui devaient être parfaites pour notre premier vol. Avec le recul de quelques heures, je comprends pourquoi ils n’ont jamais voulu nous faire prendre de risque alors que ceux de l’UCPA avaient volé par mistral assez fort. Sur le coup je me suis senti frustré mais après coup, je crois que leur philosophie est celle de longue haleine. Un peu difficile pour moi qui suis impatient d’en découdre de nature mais je comprends à quel point une école est responsable de ses élèves et ne joue pas au chiffre : nombre de vols sur le « contrat » par exemple. Alors je ne regrette pas du tout mon choix final. Et quand vous voyez que Haut les Mais décide de prendre deux 4*4 pour amener tout le monde à 1h30 pour essayer de voler, s’arrête à chaque atterro pour nous expliquer la porte d’entrée, le cône d’évolution, les possibilités de vent et d’atterrissages pour au final n’envoyer que quelques perfs, on sent aussi leur frustration autant que la nôtre. Mais l’ambiance dans les voitures était telle que les sourires, les blagues compensaient le reste. La qualité prime certainement la quantité. Au niveau du staff, Steph le boss et DE, Pierrick l’instructeur, Vivien, JB, Tom à la fois coach, chauffeur, vidéaste, photographe, conseillers, les mots justes au moment le plus stressant, Estelle et Lily les touches féminines nécessaires. Convivialité et entraide : j’ai senti que les perfs aidaient les inits à arranger la corolle, à placer la voile, à démêler les suspentes, à faire les tours de sellette, à plier la voile et à notre tour on essayait à la fin de les aider à ranger la voile. Ce n’était pas chacun pour soi, c’était un pour tous et tous pour un et ça n’a pas de prix d’apprendre un nouveau sport dans ces conditions humaines et logistiques.

Stage Perf 1 :
J’avais prévu d’enchaîner avec un premier stage Perf juste derrière pour valider les acquis dus stage Init, combler des lacunes et voler, voler tout en approfondissant des connaissances balbutiantes sans devoir attendre des mois, des mois et des mois. Le lundi matin, je me retrouve donc dans un groupe de 6 perfs qui ont largement plus d’expérience de vols que mon unique symbolique premier puisque la moins « capée » doit totaliser 20 vols et le plus expérimenté plus de 90 ! Je vais aussi profiter de leurs connaissances et devoir m’accrocher car leurs besoins sont nettement différents des miens. JB notre moniteur aura à coeur de personnaliser son enseignement théorique et les objectifs pratiques (exercices de vol) pour chacun d’entre nous et cela nous a tous rassurés. Tout le monde y trouvera son compte. Lundi matin un peu de gonflage sur une pente école (dos voile encore pour moi). Les acquis se renforcent dans le bon sens. Je sens ma voile bien mieux, je la sens réagir et ne suis plus un robot mais commence à percevoir ses réactions et ce que je lui demande. Les instructions de Pierre ce, l’autre formateur de la semaine précédente reviennent en force clairement établissements peaufine avec d’autres explications dont j’ai besoin pour analyser et comprendre et j’arrive même à gonfler sans problème pour m’amuser avec une autre voile, une autre sellette, une mini voile de 11 m2 bref de bonnes sensations en courant dans la pente. L’après-midi deuxième vol pour le jeune apprenant que je suis et immédiatement plus de plaisir car moins d’appréhension de l’inconnu. Je ne vous ferai pas le détail des 7 autres vols et sensations pour ne pas vous lasser mais chaque vol avait un objectif : tangage, roulis, oreille, virage dynamique, approche PTU sans guidage voix (mais le moniteur toujours prêt à installer intervenir au cas où), finale et atterrissage sans guidage voix aussi pour arriver petit à petit à une vraie autonomie tout en sécurité. Sécurité, sécurité :le maître mot de cette école qui ne me lâchera jamais si les conditions de décollage, d’atterrissage et de vols ne sont pas en adéquation avec le niveau et expérience de chaque participant. Frustrant mais rassurant. Et puis on apprend des autres aussi. Cette semaine à été encore plus bénéfique car j’ai pu affiner mes sensations de base, sentir ma voile, la piloter plutôt que me laisser aller, anticiper, rencontrer un thermique, ressentir une ascendance, des tangage et roulis, voler dans une confluence, prendre confiance et voir la satisfaction de mes moniteurs et instructeurs même si je m’en veux d’avoir raté un décollage, fini dans les buissons au décollage car je n’avais pas écouté l’ordre stop… Cela m’a appris à devenir un peu plus humble, respectueux et conscient du danger que peut représenter chaque phase non complètement intégrée. Mon genou s’en souvient encore mais cela m’a permis de gérer mes excès de zèle et impatience. L’école est devenue une grande famille qui soutient, encourage, regarde et qui transmet, passionné. Mon moniteur d’initiation me demandait des nouvelles de ma progression tous les jours et tellement appréciable de se sentir plus qu’un client, qu’un élève. J’ai passé le test théorique du brevet initial. J’attends avec impatience le résultat et puis il me reste à peaufiner les grandes oreilles, les ouvertures de porte dynamique et statique, le 360. Mon objectif : pouvoir gratter et rester plus de 30 minutes en l’air en toute sécurité, apprendre le face voile et sentir que mon pilotage s’affine, se précise, devienne sensible. L’ambiance chaleureuse et constructive, la pédagogie de Haut les Mains me convient parfaitement car je sais qu’ils me donnent les clés de l’autonomie sans mettre ma sécurité en jeu à aucun moment desséché patienter sur le déco et redescendre en 4*4. Mais c’est le prix d’une sécurité absolue. Et je les en remercie chaque jour. Je ne vous raconte pas les blagues, les barbecues et repas le soir, les verres ensemble à la fin de la journée, vous devez vous douter que cela ajouté à un côté amical et familial qu’un épicurien ne ne n’irait pas. J’ai eu beaucoup de chance d’apprendre à voler dans ces conditions techniques, humaines et passionnantes (et passionnées).

Stage Perf 2 : jamais deux sans …trois ! Je ne devais rester que 2 semaines à Barrême; mais j’y suis resté finalement 3. Au total 19 vols dont un vol biplace pédagogique avec un moniteur qui envoie un 360 face planète et une accélération de malade dont je me souviens encore. Qu’ai-je appris en 3 semaines ? qu’ai-je découvert ? Techniquement : prévol, premiers ploufs, voler dans le dynamique, prendre une confluence qui vous monte très haut, prendre et contrer des petits coups de tangage et roulis, faire du virage dynamique, faire les oreilles pour descendre, opérer 3 tangages, virage dynamique et ouverture de porte dynamique sans compter les approches en U ou en S, les atterrissages (plus ou moins sellette lol) J’ai acquis - grâce à l’écoute, la patience (il en faut avec moi !) de l’équipe de l’école plus de maturité, plus de sagesse, plus de déclics qui me font envisager l’achat d’une voile en B, d’une sellette, et d’un secours. Bref, petit à petit je deviens plus maître de mes émotions, plus carré avec mes vérifications. Le clou a été de voler 2 fois plus de 30 minutes, de faire une transition entre deux crêtes et de rester suffisamment longtemps pour finir de plier ma voile à la nuit tombante ! avec le regret d’avoir du descendre…
Je ne suis pas encore mentalement prêt à être totalement autonome sur n’importe quel site mais sur les lieux connus à être de plus en plus autonome , je crois. j’ai appris à dompter l’impatience qui me caractérisait et à respecter les humeurs de dame Nature. Prendre tous les paramètre d’aérologie du coin et réduire au maximum les imprévus sans prendre de risque qui pourrait d’additionner et provoquer une catastrophe. Je suis motard et on dit qu’un bon motard est un motard vieux, je pense que cela s’applique aussi aux parapentistes.
Il me tarde d’avoir mon propre matériel et de continuer à travailler les décos (je n’ai pas encore fait de vrai face voile autre qu’en pente-école), les atterros pour prendre un maximum de plaisir en l’air, chercher et trouver des thermiques et monter, monter… un bien beau sport complet qui demande rigueur et discernement

Voilà c’était un peu long mais mes 3 premières semaines de nouvelles sensations et nouveaux acquis valaient bien cela.

12ème vol : exercice du matin :

http://www.youtube.com/watch?v=AtjpP8DJyHg

Posté en tant qu’invité par M@atthieuAussi:

Super vidéo, très sympa. C’est vrai que c’est beau vu de là-haut. C’est cher aussi (le matos). Dirais-tu que l’investissement en temps et en compétences est du même type quantitativement que pour la grimpe ou l’alpi ?

Au niveau argent, si tu veux acheter une voile d’occasion il faut compter environ 1000 € minimum (révisée et à 80 % de sa vie), sinon une voile neuve coûte environ 2500-3500 € selon les modèles etc… je parle de voile EN A ou EN B (pour débutants et parapentistes en progression. A cela il faut ajouter un casque (aux alentours de 100€), une sellette (d’occasion à partir de 300 € et en neufs ça monte jusqu’à 800 € et plus selon les modèles neufs, les marques, etc… reste le parachute de secours (certains ne l’achètent pas de suite… hum) aux alentours de 400-600 €.
Donc tu vois que l’investissement matos est très important par rapport à l’escalade (je ne connais pas pour l’alpinisme).
Au niveau du temps, je pense que l’on peut goûter aux joies du parapente très vite. J’ai pris un stage en école mais si tu as des amis moniteurs ou instructeurs, pourquoi pas… en 2 jours de pente école, tu peux faire ton premier grand vol le troisième jour. Il y a voler et voler : faire un plouf de 5 minutes ou de 30 minutes et plus c’est totalement différent et cela nécessite aussi des compétences un peu plus larges me semble-t-il.
Au niveau compétences enfin, par rapport à l’escalade, on grimpe dès la première séance du 4 quelque chose, du 5a/5b la deuxième séance voire plus si bonne technique immédiate (on ne tire pas sur les bras mais on utilise les jambes). par rapport à ce que je vois toute l’année avec des étudiants qui s’initient, il me semble que le parapente peut être plus immédiat sans avoir besoin de physique extraordinaire (les plus de 90 kgs peuvent voler !!). Pour progresser en parapente, il faut être préparé à affronter des conditions de plus en plus difficiles (ça bouge alors que d’en bas on a l’impression que tout est calme). En escalade, si on ne peut pas ou plus on redescend (en moulinette).
Je pratique les deux activités et je trouve que cela se complète au niveau du mental : on doit être dans l’instant présent, tout le temps. J’en ai bavé en juillet dans une 6a+ dalle et grande voie de surcroît. en parapente, tout allait bien et quand ça bougeait j’essayais de garder mon calme. Par contre je pense que si avec mon petit bagage de 19 vols, je décidais de décoller dans des conditions sans rapport avec mon niveau, je pense que je pourrais vite baliser si j’étais ballotté comme un fétu de paille dans le ciel immense.
L’escalade m’a l’air quand même moins dangereuse si on a un bon assureur.
En résumé lol, je dirais que l’investissement en temps et compétences est moindre en parapente au début. Après se battre contre une roche immobile (même à la cotation largement supérieure à son niveau max) et contre un thermique qui ne pense qu’à t’éjecter toutes les secondes, il n’y a pas photo, l’investissement temps / expérience pour le parapente me semble plus long.

Sympa la vidéo !
Les moniteurs ont l’air top :slight_smile:

Oui ils le sont :wink:

Je suis tombé sur t’as vidéo ou le pghm viens te chercher après t’etre mangé un arbre, pourquoi es tu resté si proche du relief sa se voit meme à la vidéo et il y à l’air d’y avoir un attéro envisageable plus bas

Si tu veux en savoir plus, va faire un tour sur le forum du chant du vario, notre ami M@tthieu y anime des débats pour le moins virulents (mais fort amusants) depuis des mois et des dizaines de pages.

Ok je vais aller voir sa :lol:

Posté en tant qu’invité par XaviCat:

Oh là, là… vous faits l’aterrisage avec les fesses??? Les profs vous enseignent ça?? C’est trés dangereux pour ta colonne vertebrale. Dans mon école on nous a interdit, ça.