Posté en tant qu’invité par Nechalla:
Stéphane a écrit:
« Die Herausforderung (le défi) » de Reinhold Messner. 1ère
ascension de l’Everest sans oxygène avec Habeler est vraiment
prenant aussi.
Meme en VO non sous titree ??
Posté en tant qu’invité par Nechalla:
Stéphane a écrit:
« Die Herausforderung (le défi) » de Reinhold Messner. 1ère
ascension de l’Everest sans oxygène avec Habeler est vraiment
prenant aussi.
Meme en VO non sous titree ??
Posté en tant qu’invité par Hervé:
premierement je ne suis pas le Hervé qui veut faire payer les fondeurs. suis ptet d’accord sur le fond mais pas sur le ton employé dans son post…
Ceci étant précisé, je rajouterai à la liste des Terray, Bonatti, lachenal, Simpson…
1 Naufrage au Mont blanc de Yves Ballu
2 Nadir d’Anne Sauvy
apres, vous aurez envie de lire leurs autres ouvrages.
3 Docteur Vertical de Cauchy
Bonne lecture
Posté en tant qu’invité par Floops:
Dans un autre genre :
Accident à la Meije (Hoebecke),
La réponse des hauteurs (Libris),
Socio-anthropologie de la haute-montagne (L’Harmattan)
Posté en tant qu’invité par Alain:
J’ai aimé moi aussi Les conquérants de l’inutile / Terray et
A mes montagnes / Bonatti
Il y a de très bons romans de Frison Roche, aussi.
Et le livre de Russel sur le Vignemale…
Posté en tant qu’invité par Pelic:
Bonjour,
Outre l’excellentissime site de Daniel Masse déjà cité, je tiens à signaler l’existence de mon modeste site, consacré pour partie aux livres de montagne et d’alpinisme.
Cordialement,
Pelic
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par jc:
Le recit d’alpinisme est un genre tout particulier.
Avec le recul, je suporte de moins en moins les épanchements littteraires ( souvent bien lourds) de Terray ou rebufat.
Il n’est pas donné à tout le monde de trouver les mots justes pour rendre l’action. Trop de descriptions tue l’enchainement des évennements, et il est bien évident qu’une bonne connaissance des voies est le minimum requis pour vraiment apprécier ces livres et pouvoir lire entre les lignes. De même, la modestie stupéfiante de la pluspart des auteurs voudrait qu’on ai tous une idée de ce que grimper ou faire de la montagne veut dire, histoire de bien se rendre compte du poids de leur mots.
Desmaison est excelent pour son style précis et simple. On revit très bien les ascenssions, l’écriture est directe et physique, mais laisse largement place l’imaginaire (pour peu qu’on connaisse bien les paroies dont il s’agit) et au final je garde de ces recits plutôts apres un souvenir très visuel.
342 heures ds les grandes jorasses et la montagne à main nues.
Bonatti. (Montagnes d’une vie). Pour la beauté de son étique, son l’engagement total, et l’équilibre de sa prose. Il y a chez Bonatti une dimension en plus…
(En bonus j’ai beaucoup apprécié également « Nanga parbat, la montagne nue » de Meisner, et le livre D’Heckmair sur sa première à L’Eiger.)
Sorti en 2013 « Ma voie » du formidable Rheinold Messner est un bouquin que j’ai particulièrement apprécié. Il ne parle pas uniquement de montagne mais on s’en fiche car on lit aussi ce genre d’ouvrage pour le style et la philosophie de l’auteur.