c’est sans doute parce que tu penses cela que tu accepte si facilement le dopage dans ce sport
de toute facon, la seule facon d’eradiquer le dopage, ce sera de boycoter les produits des sponsors
Et vi, l’inversion des valeurs là aussi à laquelle nous contribuons par notre silence. Les électeurs, pôvres gueux, sont étonnés quand un politique est respectueux de son électorat. A nous de faire évoluer cela, justement, en réagissant et affirmant notre désapprobation, notre sentiment d’avoir été floué et qu’il y en RAS LE BOL !!!
Le tour de France est un évènement qui a une diffusion extrêmement large dans de nombreux pays ce qui en fait sa force et ce pourquoi les politiciens lui lèchent les bottes, mais ce qui peut aussi en faire son talon d’Achille et intéresser des organisations de protection de la nature aux méthodes un peu musclées. Si l’arrivée de l’étape est perturbée en plein direct , libre à chacun de rire ou pleurer, mais le site aura quand même été massacré. Souhaitons que toutes les bonnes volontés réussissent à faire abandonner ce projet débile.
Très bonne idée.
Voilà une menace qui peut faire l’effet d’un révolver sur la tempe de ces politiciens qui ne respectent pas la nature.
Ca laisse le temps de préparer des banderoles, et si le projet va jusqu’au bout, et bien on pourra faire la première bataille rangée CRS - écolos de l’histoire du tour de France.
j’ai surtout écrit que ce serait bien que la mauvaise idée d’un élu s’arrête avant bitumage. Mais si tu veux faire de La Planche un symbole, ASO t’offre l’exposition médiatique.
Oui, et c’est pour cela qu’il faut saisir immédiatement le tribunal de référé pour obtenir l’arrêt des travaux et le tribunal administratif pour le fond. Car pendant ce temps, les travaux continuent …
Europe Ecologie les Verts, en la personne de Michèle Durand-Migeon, vice-présidente du Conseil Régional de Franche Comté, déposera la semaine prochaine au TA de Besançon un recours pour exiger la suspension immédiate des travaux sur le site de la-Planche-des-Belles-Filles.
Dernières nouvelles de la Planche des Belles Filles : On ne rase plus, on dynamite !
On imagine pas ce qu’il faut mettre en oeuvre pour faire passer une centaine de vélos…
Souhaitant en savoir plus, c’est à dire connaître la position des différentes parties, j’attendais l’émission que vous aviez annoncée ici pour me faire une idée : « Ma région ça me regarde » sur France 3, le 29 octobre. Il était prévu un débat avec le Président du Conseil Général, M. Y KRATTINGER. Le journaliste annonca dès le début que celui-ci avait changé d’avis car « il estime que la présence sur ce plateau d’un représentant du collectif des Indignés de la Planche faisait enfler inutilement la polémique et cela ne faisait pas partie de sa stratégie de communication sur le Tour de France ». Gloups. Savez-vous si il a répondu à la lettre ouverte que le collectif des Indignés lui ont adressée le 24 octobre ?
L’émission constituant une éloge du Tour, la fin m’a semblé intéressante : le maire de Besançon après avoir souligné que le président voulait un « développement raisonné et raisonnable » pour le département argua que les départements dépensaient des millions d’euros dans le social et qu"on ne peut pas comparer à quelques 500 milles euros même si c’est une somme importante". A la suite Gilles Da Costa, président du Comité régional de cyclisme de la région (mais aussi directeur général des services du conseil régional de Franche Comté) insista bien que l’arrivée du Tour donnait une impulsion mais qu’il était nécessaire de construire après. En conclusion, si j’ai bien compris, la somme engagée devra être suivie par d’autres en vue d’un effet durable du Tour ?
En attendant le site est dynamité, normal l’hiver est si proche, la terre si dure déjà. Mais pourquoi sont-ils autant pressés ? Il me semble que dès le dépôt du recours d’Europe Ecologie au Tribunal Administratif (demain ?), les travaux devraient s’arrêter être suspendus, non ?
C’est quand même dingue de la part des décideurs de vouloir continuer « d’aménager » la montagne de cette façon à notre époque où, paraît-il, on a pris conscience des enjeux environnementaux…
Non, c’est le juge des référés qui fera droit ou non à la requête.
Sinon s’il suffisait de déposer un recours pour stopper une action, plus rien ne serait possible !
Il n’y a pas de mots assez fort pour qualifier ces monstruosités. les politiques se sont définitivement décrédibiliser. Mais n’oublions pas que c’est nous (enfin pas moi) qui les élisons. Il est clair que tant que l’on continuera à penser qu’il n’y a pas d’autres solutions pour diriger les affaires du monde que de désigner des représentants qui une fois élus font n’importe quoi, les choses ne pourront qu’empirer. les exemples sont légion. Alors oui il faut se battre contre ces imbécilités il faut crier hurler s’indigner alerter dénoncer, mais il faut surtout débusquer les vraies causes de tout cela et s’attaquer aux racines du mal. le fric, l’exploitation, l’atteinte à la dignité de l’homme et par voie de conséquence à la dignité de la nature.sans quoi nous risquons d’être éternellement confronté aux mêmes choses.
Ce n’est pas la politique qui est en cause car c’est sans doute la plus noble d’entre toutes les activités humaines dés l’instant ou elle est ce qui permet aux hommes de penser et de décider collectivement de leur vie présente et à venir. Ce qui n’a évidemment rien à voir avec ce que l’on ose nommer politique aujourd’hui et qui s’apparente plutôt à l’activité d’une association de malfaiteurs.
Cela étant, les électeurs/citoyens sont aussi responsables de cette situation par leur choix, leur inertie.
Après avoir assisté à plusieurs conseils de quartier à Paris, j’ai laissé tombé : les débats se focalisaient sur le manque de sécurité dû à la présence d’une bande sévissant dans une rue.
J’ai découvert, il y peu que la Mairie de Paris offrait la possibilité aux habitants d’interpeller le Conseil de Paris, par le biais de pétitions électroniques sur tout sujet relevant de la compétence municipale ou départementale. Il suffit de récolter 1% de votes soit 18 190 parisien(ne)s.
Voilà, très peu de pétitions, très peu de signatures. Mais Paris est une grande ville. La démocratie locale dans une petite commune me semble plus aisée à appliquer, je me trompe peut-être.
Pourquoi encore une fois faire l’amalgame cyclisme et dopage? Les autres sports sont tout aussi vérolés mais on ne trouve que ce qu’on cherche… Ne sois pas si naïf!! Avec les millions en jeu dans le foot, tu ne t’imagines quand même pas qu’ils n’ont que du Doliprane et des pastilles Valda en pharmacie?