Posté en tant qu’invité par Nicolas:
Jean-Christophe a écrit:
Personnellement, je n’ai pas envie de me casser les pieds dans
une neige hyper soufflée…
Mais l’hypersoufflée béton craint souvent moins que la fraiche à peine frittée, non c’est pas simple ces sujets-là… ;o)
Il existe des cartes (militaires ou de gestion des risques…)
ou les coulées ont toutes été recensées, il serait interessant
de les mettre à disposition des skieurs, cela pourrait apporter
des outils d’aide à la décision supplémentaires.
Eh ben non…
Ces cartes pourraient éventuellement renseigner le skieur sur les risques d’avalanches naturelles mais dans ce cas-là il ne sortirait plus du tout!
Elles ne couvrent a priori PAS DU TOUT le risque d’avalanches accidentelles.
Il faudrait peut être faire débuter les randonneurs dans le
Couturier, comme ça on serait sûr de les repêcher dans la
rimaye (il suffirait d’y placer un bon gros filet de pêche)
Ouh ben à parler du Couturier, ça me rappelle justement le stage guide qui s’est fait ramasser au début de la calotte, vers aout 1963 je crois??? Comme quoi les certitudes, en matière d’avalanches…
« Dubito ergo sum » comme disait René Desplanches…