MAM & Sommeil

Posté en tant qu’invité par Geof65:

Je pratique pas mal de montagne dans les pyrénées (malheuresement on n’évolue que vers les 3000-3400 m). Quand je fais des bivouacs vers 2500-3000 je n’arrive pas à dormir, Je me sens trés bien mais je dort pas plus de 2h par nuit …
Y’a t il d’autre personne ki ont du mal a dormir en montagne
Y a t il un lien avec le MAM ?

merci

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Posté en tant qu’invité par Alain:

A cette altitude ce serait plutôt l’exitation de la course ou le changement de lieu qui peut être en cause. Ou des voisins ronfleurs. Le MAM en dessous de 3000 m je ne crois pas qu’on y soit sensible mais je ne suis pas medecin.

Bonnes nuits

Alain

Posté en tant qu’invité par strider:

un sujet qui s’en rapproche ici :http://alpinisme.camptocamp.com/forums/read.php?f=23&i=802&t=802

Posté en tant qu’invité par strider:

euh bien sur ne lis que le début du sujet car après c’est un peu HS comme souvent!

Posté en tant qu’invité par Agnès:

La sensibilité au MAM est très variable en fonction des individus. Chez certaines personnes, les premiers symptômes peuvent apparaître dès 2500m (c’est le cas d’un de nos amis avec qui on est parti au Pérou…) mais ce sont le plus sauvent des maux de tête plus ou moins importants, disparaissant après la prise d’aspirine.

Après, le fait de ne pas dormir en montagne a le plus souvent d’autres origines (cf. le fil de discussion indiqué).
Personnellement, je fais de la montagne depuis des années, et je ne me souviens pas avoir passé une nuit potable (disons, 4 heures de bon sommeil), que ce soit en refuge (même s’il n’y a personne, qu’il ne fait pas chaud et qu’il n’y a aucun bruit) ou en bivouac, avec ou sans somnifère… C’est comme ça ! On finit par s’y faire…

Bon courage quand même.

Posté en tant qu’invité par Geof65:

merci pour vos réponses
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Posté en tant qu’invité par strider:

Bien s’hydrater avec une boisson chaude ça aide pour un bon sommeil en bivouac.Au dela de 3000m les bivouacs deviennent difficiles vu le froid ou encore le manque d’air, donc c’est une question d’habitude mais souvent on est content de partir tôt, car les pensées de la course du lendemain nous prennent la tête et jouent de notre patience!