Posté en tant qu’invité par eric b1:
Oui mais c’est aussi vrai pour le CAF.
Je suis également d’accord, si la fédé représentait correctement ses adherents mais pour moi ce n’est pas le cas (position vis a vis des secours payant totalement nulle, pratiquants vus comme des touristes, obsession des performances quantifiables par la compétition, abscence totale de reconnaissance envers les équipeurs bénévoles qui sont hors la loi …).
Bref la fédé est en train de tourner complêtment le dos à la tradition montagnarde.
Donc dans ce contexte, lui payer une licence c’est être assuré certe mais aussi lui donner un poid qu’elle ne mérite pas.
Donc je trouve légitime de comparer les prix bruts et finalement conforme avec sa propre vision de prestataire de service !
Le plus drôle c’est qu’en tant que président de club FFME je vais la prendre la licence
Les valeurs de mon club ne sont pas forcement celles de la FFME et en tout cas on peut toujours esperer que la FFME va bouger si le nombres de licences baisse : ce qui n’est pas le cas aujourd’hui puisque l’augmentation des licenciés, lié à l’explosion du nombre de pratiquants en SAE, légitime ses positions.
Dernier point, à la dernière rencontre avec la direction de la FFME, le binome presidentiel était tout etonné que les clubs FFME acceptent des adhérents qui ne soit pas licenciés.
Pour eux le milieu de la montagne doit être considéré comme une entreprise de service : avec au tout début une direction générale, puis des département, des succursales et enfin des clients.
Pour moi au contraire, il y a au début des gars qui pratiquent, pour le faire de facons moins fermé il se regroupent en club, pour avoir plus de poid les clubs se fédèrent et elisent un representant.
Eric