L'éthique des barbapapa

Posté en tant qu’invité par chapi chapo:

Excellent livre que celui ci.
Il est question de la première ascension de l’Eiger par un des protagonistes.
A revoir ensuite, 7 ans au tibet, le même personnage. Changement de vie, changement d’ambiance.
Ou l’inverse plutôt.
En des temps vaniteux, la motivation orgueuilleuse triomphe. Non sans dégats.
Puis l’ambiance change, il faut faire artif, puis directe, puis directissime, puis libre, puis dry tool, puis urban et bientôt post traumatique.
Plus nombreuses que la famille précitée, les éthiques semblent inconstantes, en tout cas, passées une décennie, moribondes.
Vous avez tous l’air de vous entendre sur « l’éthique », pourtant chacun charge ce mot de « son » sens.
Non?

[quote=« chapi chapo, id: 976326, post:1, topic:95291 »]Vous avez tous l’air de vous entendre sur « l’éthique », pourtant chacun charge ce mot de « son » sens.
Non?[/quote]
???
Je ne comprends pas. On s’entend ou on ne s’entend pas ?

C’est évident que l’éthique est inconstante. Elle dépend de l’air du temps.

Posté en tant qu’invité par el pitaoui:

L’éthique appliquée se déduit notamment de l’éthique normative, à travers la façon d’établir les codes de déontologie, en tenant compte des règles de droit, des théories du contrat social, ou d’autres types de critères (États-Unis). L’éthique normative ne peut cependant avoir comme ambition de baliser la résolution des problématiques dites « régulières », soit celles pour lesquelles pré-existe une règle. La résolution de problématiques dites « irrégulières », là ou la norme est inexistante, muette ou insuffisante, doit s’appuyer sur des valeurs claires et praticables; ces valeurs doivent faire consensus à l’intérieur de la société ou de l’organisation.

(citation tirée de Wikipedia) .

Il n’y pas d’éthique en montagne puisqu’il n’y a aucun consensus sur la manière de « pratiquer » la montagne .