Autre source, pour ceux qui préfèrent lire plutôt que regarder une vidéo :
Les trois premiers articles de cette loi doivent venir préciser le Code civil et rappeler aux parents qu’ "en tant que détenteurs de l’autorité parentale, ils doivent protéger l’image de leurs enfant s". Le sharenting peut en effet contrevenir au respect de la vie privée des mineurs. Depuis 1989 et la Convention internationale des droits de l’enfant, chaque mineur a le droit de « préserver son identité, son nom et ses relations familiales » . Il doit aussi être préservé des « immixtions arbitraires ou illégales dans sa vie privée » et les « atteintes illégales à son honneur et à sa réputation » . La Défenseure des droits dénonçait également, dans un rapport publié en novembre 2022, des violations de ce droit qui " restent en pratique communément admises" .
(NB : au-delà de cet extrait, je vous recommande la lecture de l’article en intégralité)