C’est très beau ces arbres !
Les conifères et résineux de nos montagnes
Après épicéa, cônes en bas, voici sapineau, cônes en haut !
Edit : ah oui, photographié ce week-end en face S de la Tête de la Cavale, vers 1000m, au-dessus de chez moi (Valbonnais, 38).
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Ah c’est marrant !
Les oiseaux se sont bien servis !
En tous cas, on voit que l’attache du cône est vers le haut, et bien solide !
Tu l’as photographié où ?
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On a aussi la couleur des aiguilles.
Les sapins (en France/Europe de l’ouest) ont les revers blanchâtres, d’où l’un de leurs noms en « sapin blanc ». Les épicéas c’est tout vert.
Une écorce gris-argentée pour les sapins (sapin blanc jusqu’au bout), rousse et tourmentée pour les épicéas.
je ne suis pas fan des moyens mnémotechniques, car on a dû mal à retenir les choses mais il faut en plus se souvenir d’une astuce par-dessus tout ça : retenir l’astuce, retenir la passerelle entre l’astuce et l’objet, retenir l’objet, se rappeler « de quoi on parlait déjà ? »
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Il y a aussi la disposition des aiguilles. Tout autour de la branche pour l’épicéa, à plat pour le sapin. Mais des fois je trouve que ce critère là n’est pas si évident peut-être sur des sujets jeunes.
Pour les moyens mnémotechniques je vais être un peu hors sujet mais yen a un pour les feuillus que j’ai toujours du mal à retenir : le charme d’Adam c’est d’être (hêtre) à poil.
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Pour différencier leurs feuilles la phrase est :
« Hêtre à poils Charme à dents »
C’est une autre version.
Ou c’est la seule et c’est moi qui ai inventé l’autre ?
J´ai toujours entendu celle de catherine. Elle est plus courte donc plus facile à mémoriser.
En fait, ces bandes blanches, ce sont les traces de ski des lutins !
Explication : la forêt est habitée par des petites créatures. Il y a des gentils lutins et des méchants trolls (un peu comme dans la vraie vie, quoi !). En hiver, pour pouvoir faire du ski sans être agressés par les trolls, les lutins ont trouvé judicieux, pour se cacher, de skier SOUS les aiguilles des sapins, qui sont plates. (Ça ne marche pas avec les épicéas, car les aiguille sont peu ou prou triangulaires). C’est donc pour ça qu’il y a 2 traces blanches sous les aiguilles des sapins !
(Désolé pour le HS, j’ai trouvé que cette légende va bien dans un site de ski de rando).
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Le charme d’Adam, d’être à poil 
Pour le mélèze, son premier critère d’installation n’est pas le sous-sol (et son acidité), il y en a plein dans les Dolo…
C’est avant tout l’hygrométrie, il n’aime pas l’humidité des Alpes occidentales, c’est pourquoi il est très présent dans les Alpes internes, et très peu (excepté des plantations) sur la bordure occidentale.
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Et il aime la lumière. C’est sûr qu’en fond de clues chartrousines prises par le brouillard la moitié du temps ça lui plaît moyen 
Et puis un truc que sans doute tout le monde sait il est pionnier c’est à dire qu’il s’installe en premier avant de se faire déborder par d’autres s’ils en ont le temps. Il est donc présent de façon naturelle là où la forêt est régulièrement rasée par l’avalanche ou de façon moins naturelle et qui se perd dans les zones sylvo-pastorales régulièrement « entretenues » par les éleveurs. Comme en bas de versants en Clarée mais aujourd’hui ce fonctionnement est trop compliqué l’élevage se fait en zones ouvertes.
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