J’ai remarqué, lorsque je fais de belles randos, que lorsqu’il y a de la montée raide, avec un beau dénivelé, je m’essouffle … vite.
D’où ma question :
Le souffle se « travaille »-t-il comme les muscles des cuisses ou des mollets ou bien avons nous chacun une capacité perso au départ.
Comment « améliorer » le rendement ou au moins quels sont les moyens pour ne pas que ça devienne pénible, que me conseillez vous ?
Car coté musculaire, j’ai acquis, en faisant du « foncier », de l’endurance, mais le souffle s’est peu ou pas amélioré.
Je précise que je n’ai jamais fumé de ma vie.
Merci de vos avis, expériences et conseils