Le port du casque

… et essayer d’expliquer pourquoi, allez.

quel dégrée d’obligatoriété pour le porte du casque?

0 - personne n’est obligé. vive la liberté!

1 - uniquement les motoristes. je veille pour eux.

2 - moto+cyclistes. ils ont la chance k je suis là.

3 - idem+grimpeurs. ces inconscients dangereux…

4 - idem+les alpinistes. les stats montrent que… (!?)

5 - idem+les randonneurs. la sécu est chère, quoi!!!

6 - tout le monde, même en ville. On ne sait jamais!!

Ca va pas ton « sondage ». Déjà il y a ce qui est obligatoire (le port du casque à moto par exemple) et ce que certains trouvent souhaitable comme le port du casque en escalade. On répond quoi quand on pense que c’est nécessaire en alpi mais pas à vélo ?

Pour ma part je pense que c’est à chacun de voir et dans ce que je pratique c’est casque en escalade la plupart du temps, sauf quand il fait trop chaud en couenne et que le risque de chute de pierre me semble faible (dans ce cas il m’arrive tout de même de mettre le casque avant de m’attaquer à une voie difficile). Casque en alpi mais je pratique très peu, pas à vélo ni bien sûr en rando.

1 le sondage n’est pas clair.
2 le sondage n’est pas objectif

m’enfin pour moi ca ne change rien ma reponse est :
[i]
Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désirs
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
[/i]
Liberté.

Paul Eluard

  • 1942 -

Ce poème provient du recueil intitulé " Poésie et vérité 42 "

Posté en tant qu’invité par Hugues725:

Moi je trouve surtout que le degré « d’obligatoriété » (sic) pour parler et écrire correctement le français devrait être beaucoup plus élevé qu’il ne l’est aujourd’hui.

C’est abracadabrantesque, il en faut de la bravitude pour écrire ça.

tiens, on dirait du Ségo :lol: