Massif Français, auteur Français.
Pas le Cervin donc pas plus que le Mont Aiguille et le Pic de Bure
J’ajoute que Piolet-Cannes06 a sur le papier un gros avantage …
Le jeu du livre
Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:
Alpes-maritimes ?!
Oui mais pas pour le bout de caillou branlant dont il est question …
Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:
Ecrivain azuréen (du 06 quoi !) ?
Oui, mais pas spécialement écrivain (2 livres à ma connaissance), surtout alpiniste amateur avec une profession en lien directe avec l’activité alpine …
Grand ouvreur de voies dans les Alpes Maritimes …
Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:
Montagnes et alpinistes des Alpes Maritimes - Michel Bricola
??
[quote=« Piolet-Cannes06, id: 1649646, post:1286, topic:145106 »]Montagnes et alpinistes des Alpes Maritimes - Michel Bricola
??[/quote]
Non mais aucun doute que l’auteur cherché figure en très bonne place dans ce bouquin (que je ne connais pas).
Autre extrait sur une autre course non loin du clocher éphémère précédent :
« L’autre parti a commis une faute. Il s’est engagé sur la mauvaise rive du couloir et nous accorde ainsi, sans le vouloir, un sursis.
Nous calculons que, la cordée rivale se trouvant en ce moment vers 3300 mètres d’altitude, nous pouvons en deux heures, par le chemin mûrement étudié, - par notre» chemin -, l’avoir rattrapée, et, mieux encore, nous trouver en meilleure position pour la suite de l’escalade. »
Alpiniste vivant ?
Jean Vernet ou Karékine Gurékian et leurs « combats » avec le "bon"rocher oisannesque!!!
Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:
Bérhault ?
Bravo,
Il s’agit bien de Jean Vernet et les extraits sont issus de « Nos amis les cimes » Edition Serre 1987, un livre qui mériterait une ré-édition chez Guerin …
Jean Vernet a formé une forte cordée avec son frère Georges avant guerre, ils ont grimpé avec les Allain, Leininger(s), Charignon, Tourmayeff.
Ils étaient Niçois et communistes, ce qui leur valu la déportation à Dachau dont Georges ne reviendra pas.
Jean est devenu chercheur-géologue après guerre, il a continuer d’ouvrir des voies (avec Karékine Gurékian et Tiapa Langevin en particulier) jusqu’en 1965 et s’est éteint en 98.
Les lieux de pratique sont les Alpes Maritimes bien sur (La Cougourde en particulier) et l’Oisans (accessible en train) où ils sont de vrais spécialistes de la Barre des Ecrins (première de l’Arête rouge).
Autres premières célèbres : La Meije face Sud jusqu’à la vire du glacier carré (voie Pierre Allain), l’Arête Ouest du Pic sans nom.
Le premier extrait concerne le Clocher des Ecrins : celui s’effondre en 1929, 4 ans après leur première (et donc unique parcours à jamais) : il ne reste que 3 Chicots surplombant la Mayer Dibona.
Le second est issue du récit de la première du couloir Central au Pic sans nom où il rejoignent Lagarde, Ségogne et Dalloz pour finir à 5.
Dire qu’il n’a (n’ont) pas leur(s) page(s) sous Wikipédia …
Autre époque, autres personnalités qu’il convient de résurectionner!!! de temps à autre.
Bref, je me fatigue, et souhaite que d’autres prennent la suite de ce sympathique dialogue…Catherine , non…
Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:
[quote=« eric b, id: 1649674, post:1292, topic:145106 »]
Bravo,
Il s’agit bien de Jean Vernet et les extraits sont issus de « Nos amis les cimes » Edition Serre 1987, un livre qui mériterait une ré-édition chez Guerin …
Jean Vernet a formé une forte cordée avec son frère Georges avant guerre, ils ont grimpé avec les Allain, Leininger(s), Charignon, Tourmayeff.
Ils étaient Niçois et communistes, ce qui leur valu la déportation à Dachau dont Georges ne reviendra pas.
Jean est devenu chercheur-géologue après guerre, il a continuer d’ouvrir des voies (avec Karékine Gurékian et Tiapa Langevin en particulier) jusqu’en 1965 et s’est éteint en 98.
Les lieux de pratique sont les Alpes Maritimes bien sur (La Cougourde en particulier) et l’Oisans (accessible en train) où ils sont de vrais spécialistes de la Barre des Ecrins (première de l’Arête rouge).
Autres premières célèbres : La Meije face Sud jusqu’à la vire du glacier carré (voie Pierre Allain), l’Arête Ouest du Pic sans nom.
Le premier extrait concerne le Clocher des Ecrins : celui s’effondre en 1929, 4 ans après leur première (et donc unique parcours à jamais) : il ne reste que 3 Chicots surplombant la Mayer Dibona.
Le second est issue du récit de la première du couloir Central au Pic sans nom où il rejoignent Lagarde, Ségogne et Dalloz pour finir à 5.
Dire qu’il n’a (n’ont) pas leur(s) page(s) sous Wikipédia …[/quote]
Merci pour cet intermède culturel.
Posté en tant qu’invité par Piolet-Cannes06:
???!!!
[quote=« eric b, id: 1649674, post:1292, topic:145106 »]
Dire qu’il n’a (n’ont) pas leur(s) page(s) sous Wikipédia …[/quote]
le Mazenod "les Alpinistes Célèbres"ne s’y trompe pas et consacre un petit paragraphe à Georges Vernet. Je ne connaissais pas, merci.
pour un livre, il se doit d’être exhaustif, pour wikipédia c’est à chacun de créer une page s’il le désire
Bon, allez, je relance avec ceci
Le dos chauffé par le soleil et ballotté par les vaguelettes, il somnole à moitié derrière ses lunettes de soleil. Quand le bouchon disparaît soudain sous la surface, il sursaute comme un diable et par réflexe ferre aussitôt le responsable.
Pas vraiment d’idées…
Alpiniste ou écrivain
Yvon Chouinard ? :lol: