Oui.
Le jeu du livre
plutôt Oisans ou plutôt mont blanc ?
Plutôt Mont Blanc, comme la plupart des protagonistes parisiens de cette époque, mais quand même la Couzy / Desmaison à l’Olan !
Guido Magnone?
Non.
Vous me faites de la peine de ramer comme ça ! Voici un nouvel extrait qui devrait vous éclairer :
Un problème majeur en escalade artificielle, est celui de la qualité du rocher. […] Alors, tout est question de doigté et aussi de légèreté. Avec mes 50 kilos, j’étais gâtée et j’ai toujours accepté sans rechigner de m’engager dans les passages les plus pourris. C’était ma place toute désignée, surtout si l’enjeu était ma propre vie et celle de mon compagnon de cordée.
ah, B.A., tu es un coquin !!!
encore une femme alpiniste !
Du coup, si elle a fait l’ENS, ce n’était pas ULM, mais Cachan !
Et elle a été membre du GHM.
J’hésitais à demander si c’était une donzelle… flûte!
Catherine, je savais (j’espérais!) que tu serais la première à réagir !
Il n’y a pas eu beaucoup de femmes alpinistes de cette trempe à cette époque.
Nouvel extrait :
Cette nuit-là, bien réchauffés, je me rappellerai toujours les paroles de Lothar : « Te rends-tu compte que j’ai une usine, deux avions, les plus jolies filles du monde à mes pieds, et que je préfère dormir avec toi dans la merde de mouton ! » Il pouvait tout acheter, mais son âme n’était pas à vendre.
Nous avions commencé à faire cordée ensemble en mai 68, une époque que l’on n’oublie pas. Je venais d’être nommée professeur à la Faculté des Sciences d’Amiens, après avoir passé ma thèse.
Non, justement, c’est ce que je disais plus haut, elle n’est bizarrement pas au GHM.
Smone badier
Zian, le plus rapide pour La Dame de Pic !
J’ai un immense respect pour cette grande dame de la montagne.
Bravo Zian !
Alors là Bravo Zian
j’ai eu le plaisir de discuter avec elle il y a qq années et je m’étais fait la remarque en creusant un peu son parcours, que l’alpinisme de haut niveau faisait bien peu de place aux femmes alpinistes remarquables .
Bon, donnez moi un peu de temps, on va changer d’univers…
Je le disais plus haut, son palmarès (en toute discrétion dans un milieu à 99% masculin à l’époque), en parallèle avec son cursus universitaire et eu égard aux équipements et au matériel disponible, a tout pour remettre à leurs places les quelques pseudo-vedettes actuelles auto proclamées (je ne cite pas de nom, je vais m’attirer des foudres), qui n’hésitent pas à faire un plat de projets ou de réalisations qualifiés d’exploits, mais dictés par leur seule médiatisation et la mise en avant de leurs sponsors.
Une sacré grande dame !
Joli(e)!
Alors, voici donc…
" ce que vous avez appris la haut des merveilleux secrets de la montagne, gardez le pour vous. N’en dites jamais rien à âme qui vive."
Moi, cabochard, j’en ai fait un livre.
Bernard Amy - l’Alpiniste ?
C’est une ( belle) aventure qui se finit à la fois mal et tres bien…
C’est une fiction, ou une aventure réelle ?