[justify]Merci Catherine. Je n’avais pas encore ouvert le cadeau de Noël que tu nous avais offert il y a déjà 6 semaines, mais aujourd’hui, je n’ai pas eu envie de prendre la voiture pour aller skier ou grimper, alors me voila une fois de plus devant ce foutu ordi, alors je me suis enfin décidé à faire honneur à tes réjouissantes créations.
Après les aventures avec JC* qui m’ont tant fait rire il y a quelques temps déjà, ce récit est bien différent, beaucoup plus porteur de peines et d’angoisses. Ces refuges, ces sommets, ces faces, ces couloirs, nous les connaissons par les récits des alpinistes-écrivains et par les articles des magasines. A moi, ils me semblent pourtant lointains. Et alors tu nous livres ton expérience, toi que j’ai rencontrée une seule fois, et j’ai soudain l’impression que ces lieux me sont non pas plus familiers, mais plus accessibles. Pourtant ton récit dément vite cette impression. S’ils sont accessibles, ils ne s’offrent pas facilement.
Que le jardin de Talèfre a du te paraître sublime! Y as-tu pleuré de bonheur et de fatigue, tu ne le dis pas?[/justify]
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