10ans de tergiversation pour en arriver á un refuge qui n’a pas d’eau courante, un petit balcon, des toilettes bouchées rapidos, trop de lits par rapport aux places assises. Que dire de la surface allouée aux gardiens et les guides: un réduit.
J’admire ce couple si gentil qui se plie en 4 pour ses hotes et qui sert des omelettes d’une taille jamais vue. Comment vont-ils maintenir leur motiv’ ?
Pendant ce temps lá, Méribel inaugure aussi le refuge du Saut… avec chambres, terrasse, salle de lecture (sic!) et connexion internet.
http://www.ledauphine.com/montagne/2014/09/07/meribel-inauguration-mardi-du-refuge-du-saut
Too much? En tout cas on pouvait lle faire.
Que l’on conserve le dortoire/refectoire si parpiculier de l’Aigle, c’est bien mais qu’on rende la vie pénible á ceux qui s’occupent de nous, ca me semble un échec.