Posté en tant qu’invité par Ni juge, ni partie(s ?):
[quote=« trève, id: 1676820, post:116, topic:147755 »]« Ni juge, ni partie » […] serait-il en train de nous ramener au sujet ?
[…]
Non la fin du temps des mots, elle ne peut être que violente assurément.[/quote]
Bah, c’est agaçant d’être deviné à ce point. D’être devinable, pour qui aimerait ne l’être point.
Je voulais bien sûr, pour ma dernière intervention, boucler sur le premier message de ce fil. J’aime bien l’idée du cercle. Il y aurait à en causer, du cercle … mais le goût manque, je crains.
Cette violence que tu décris, celle de « la fin des mots », c’est celle que j’ai ressentie au premier message. L’ayant décrite comme « insoutenable », cela m’a valu bien des ricanements, bien des sarcasmes, sur ce fil et ailleurs.
M’en fout : je m’efforce de n’être pas peiné par les ricanements, je sais bien à quoi m’en tenir avec eux !
Mais c’est bien comme tu le dis : au-delà des mots, il n’y a plus d’exutoire au chaos, plus d’alternative à la nature, plus rien qu’un champ de bataille.
…
… …
Pourtant, on pourrait avoir une autre idée, peut-être, où m’entraîne ma nature paisible et veule. Suggérée par l’idée du cercle, justement. Le monde de l’au-delà des mots ne pourrait-il être celui de l’en deçà ? L’aval des mots ne serait-il semblable à l’amont ?
L’aval et l’amont seraient-ils synonymes, dans une topologie des mots où leur sens serait contingent ?
Ne pourrait-il ressembler à quelque chose comme ça ?
Portez-vous bien.