Invitation à la Mescla du Vercors

Posté en tant qu’invité par Laure:

Propriétaire du magasin d’escalade et d’un restau de la Palud. Voilà.
Mais il n’y a pas que du négatif à ça: en dehors d’un gros coup de pub pour la Palud en général,le rassemblement permet de faire vivre le village en arrière-saison…

Posté en tant qu’invité par rebeles:

mais ce gars est-il à l’origine du truc?

Je crois que l’ancien président des lagramusas, n’était pas tout blanc, il donnait tellement dans le bricolage et les arrangements perso qu’il n’a pas été rééllu;

Et puis c’est vraiment un truc local.

Pour presles ça fait un peu les gros d’à côté qui s’attribu ce qui leur manque par des manières « simplifiées »

Posté en tant qu’invité par rebeles:

vous auriez pu éviter escroc-montagne et patagronniasse…
je ne crois pas qu’il y aura beaucoup de grimpeurs dans cette farce, plutot des blaireau consommateurs entrain de s’extasier devant la mascarade horizontale qu’on appelle une via-cordata…
C’est bon pour les guides mais les grimpeurs sont les prétextes , uniquement.
Et puis Presles c’est plus vraiment Grenoble, on décentralise à la ville ?

Posté en tant qu’invité par alex:

Pour répondre à ta question, bien sûr qu’il y a quelquepart de la récupération. D’un autre côté, il faut voir que le village de Presles est un village d’agriculteurs et éleveurs qui subit les grimpeurs plus qu’autre chose : problèmes de stationnement, peu de retombées économiques car les gens rentrent souvent à la maison le soir, …

A Presles et Choranche, qui bénéficie du développement de la grimpe ? Peut-être les auberges et les boulangeries, sûrement pas le reste des locaux. Je crois que cela explique pourquoi le rapport avec les grimpeurs est ambigü : on veut bien qu’ils viennent et casser la croute à Choranche, mais on ne veut surtout pas qu’ils s’installent pour deux jours dans un champ. Car le champ, lui, appartient à un gars qui en a ras le bol des voitures dans le virage des buis et qui ne tire aucun bénéfice de cette fréquentation.

Donc il me semble qu’effectivement il y a de la récupération, mais que quelquepart pour les locaux c’est mérité ; d’autre part effectivement les grimpeurs ne sont pas franchement les bienvenus j’ai pu le constater ; enfin ça ne va pas résoudre les problèmes locaux, c’est sûr …

alexis

Posté en tant qu’invité par Christophe:

parce que tu pense qu’il y a beaucoup de grimpeurs qui habite à Presles?

Par ailleurs, crois tu réellement que le grimpeur de Presles n’est pas un consommateur?

Posté en tant qu’invité par Philippe:

Peux tu citer des exemples qui te font dire que les grimpeurs ne sont pas apprécier par les habitants de Presles.
Je suis vraiment surpris de ce propos car je grimpe à Presles depuis 1983 et je n’ai jamais eu à déplorer une quelquonque réticence des locaux.
Habitant maintenant à Presles ce genre de problème m’intéressent.

Posté en tant qu’invité par Philippe:

Tout les grimpeurs de Presles ne sont pas toujours des consommateurs. Pour preuve l’ensemble du rééquipement des rochers de Presles est l’oeuvre de bénévoles qui se sont investis sur la falaise avec l’achat du matériel grace à des subventions de différents services publics. Ceci à l’inverse du Verdon par exemple où chaque point posé rapportait pas de blé à un certain nombre de personnes.
Je crois savoir que l’Isère est un cas singulier dans son ensemble quant à la masse de travail d’équipement fourni par des bénévoles. Pour exemple les falaises de la cuvette grenobloise.
Jusqu’alors les relations entre les acteurs de la falaise de Presles sont restées sereines sans doute sauvées par cette abscence de lien pécunier à l’action d’équipement.

Posté en tant qu’invité par Christophe:

Tu as raison, j’aurais du dire que la « plupart » des grimpeurs de Presles était des consommateurs. Mais pas la totalité. Mes propos ne sont pas une critique à l’égard de cette consommation car pour Presles je fait partie des consomateurs. Mais c’était juste pour relativiser les propos de rebeles qui parle de blaireau consommateur alors que 99% des grimpeurs sportifs sont des consomateurs au même titre que les amateurs de via.

Pourrais tu expliciter tes propos sur le Verdon. Est ce que tu a voulu dire que des personnes sont payés pour ré-équiper.

Posté en tant qu’invité par Philippe:

Effectivement, la plupart des rééquipement faits dans le Verdon et dans cette région ont été rémunérés.
Ce qui n’est pas forcément un problème mais qui peux en engendrer pas l’intérêt lié à ces actions.
Le milieu des grimpeurs locaux du Verdon semble être animé de querelles dues à cela. C’est dommage.
Pour cela le cas de Presles ,d’une manière générale du département de l’Isère et des falaises autour de Grenoble, mérite d’être souligné.

Quant à la virée des Buis, le point de vue de rebeles nait à mon avis beaucoup plus de maladresses involontaires des organisateurs que d’une volonté de profit autour d’un événement . Pour ma part je me demande simplement si ce genre de fête un poil imposé a un intéret?

Si le bureau de guides de Grenoble veut créer un événement à l’instar des fête des guides c’est tout à fait légitime mais est-ce réélement un événement de
grimpeur ?