La voie verte qui reliait Bourg d’Oisans aux Gauchoirs et ensuite se raccordait au pont des Ougiers sur celle de Venosc/ Bourg d’Arud a aussi ėtė en partie emportėe par le Vėnéon après le passage à gué du Buclet. Et a priori, elle ne sera pas refaite. Il ne reste plus que des morceaux de bėton dans le nouveau lit bien ėlargi du Vėnéon.
Intempéries du côté de La Bérarde et Saint-Christophe
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Donc, priorité à la bagnole. Rien de bien nouveau.
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En même temps tu devrais essayer d’expliquer aux locaux qu’on reconstruit la piste cyclable avant la route.
Je prends des popcorn une bière, et compte combien de secondes tu vas tenir.
Qd bien même je fais pas mal de vélo, j’ai tout de même compris que j’arrivais a pédaler sur une route alors que l’ambulance, le bus … était en difficulté sur certaines pistes cyclables.
La priorité n’est donc bien évidemment pas à la piste cyclable dans la situation du Veneon.
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J’ai dit qq chose de faux ?
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La priorité n’est pas aux bagnoles mais à un axe de circulation permettant à l’ensemble des moyens de circuler, et donc voiture, camion, mais également vélo, trottinette etc …
Il n’y a rien de choquant. Ce serait même stupide d’essayer d’imposer AUJOURD’HUI la mobilité douce de l’extérieur dans le contexte actuelle.
La route pour monter à la Bérarde, il y a bien pire à vélo versus motoreux. C’était même plutôt une route sympa avec relativement peu de trafic automobile.
Qt à l’article de MM, avec son aide de 3 k€ pour acheter des vélos cargos électriques … pas certains que cela soit la demande actuelle des locaux. Le vélo cargo électrique en montagne en hiver sur la neige … il va falloir être fort. J’ai déjà fait un fémur en pédalant sur la neige.
Je suis totalement favorable à sortir les voitures des touristes de ces vallées, de limiter le trafic automobile partout en France. Mais, il faut également savoir choisir ses combats et son heure.
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Comme pour n’importe quel véhicule… Non ?
Depuis plusieurs décennies, plus personne ne circulait l’hiver sur cette route - y compris le chasse-neige - et pas en raison de la route elle-même, recouverte de neige ou pas. Entre St-Christophe et La Bérarde, la route était menacée par 21 couloirs d’avalanche. Ça donne moyennement envie, même avec le plus costaud des ratracks…
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La priorité est ėvidemment la route surtout pour les habitants permanents qui pour beaucoup travaillent å l’extérieur de la vallėe, notamment en hiver. D’ailleurs, les habitants de la Danchère et des Gauchoirs peuvent de nouveau accèder en voiture chez eux depuis ce week end, le pont des Ougiers ayant rėouvert après 2 mois de travaux.
La voie verte de Bourg d’Oisans à Venosc permettait d’ėviter les lignes droites de la rd 1091 et de la D530 lå ou les voitures sont les plus nombreuses et roulent vite. De toute façon vu comme le Vėnėon a élargi son lit et rongé les abords de la d530, il n’y aura plus de place pour refaire une voie verte entre la rivière et la route. Une bande cyclable sur la route sera déja pas mal.
Il y a des habitants permanents å Prė Clot, 3 km après le chef lieu de Saint Christophe et le dėneigement s’arrête là. Plus loin, ce ne sont que des résidents secondaires.
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Ne pas oublier non plus que les habitants permanents ont besoin des touristes. Je connais bien peu de grimpeurs et d’alpinistes qui montent ou seraient disposés à monter à vélo pour camper à La Bérarde, il faut être réaliste.
Pour limiter les risques sur la route de La Bérarde et réduire la circulation, le plus simple serait déjà de revenir aux plages horaires réservées à la montée et à la descente, comme avant. Ensuite, on peut aussi revenir à l’interdiction d’accès aux gros camping-cars.
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Oui soit ça soit un système avec des navettes comme à Nevache.
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Dans la navette, on emporte ce qu’on peut porter. A Névache, le dernier camping se situe au départ des navettes… On n’est pas dans la même configuration.
Cela dit, la question des navettes est à considérer aussi car elles limitent l’utilisation de la voiture pour aller au départ des courses ou des randos, quel que soit le lieu d’hébergement dans la vallée.
Oui bon à deux (ou à plusieurs) avec des gros sacs duffel ça le fait quand-même. C"est un peu chiant, surtout au retour quand on est rincé après la course. Mais l’inconfort ça fait aussi parti de la pratique de la montagne!
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1000 m de dénivelé depuis Bourg d’Oisans. J’attends de voir combien d’intrepide alpinistes modernes vont les faire à vélo en portant le matos nécessaire pour une classique facile comme la Pierre-Alain, avec bien évidemment la tente, de quoi manger sur plusieurs jours et les 2kg de cadenas pour sécuriser le vélo.
J’ai comme un doute et je fais moi même de la mobilité douce avec plus ee 6000 km de vélo en 2024.
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La on parle des navettes (à partir de Bourg d’Oisans ou St Christophe), pas du vélo.
Les navettes, c’est toujours sympa qd tu finis en pleine nuit et qu’il faut remonter a la Bérarde. Sous-entendu, j’en ai jamais vu et ai tjrs fait le taf en stop. 
Les navettes en France, c’est juste pour chercher le pain et faire semblant de faire qlq chose.
Passé 22h, je n’ai même pas de train pour rentrer chez moi le samedi soir depuis Lyon (sur la ligne Lyon Chambéry Grenoble). La navette a la Berarde (le trou perdu) pour 3 pelos alpiniste est donc une belle blague.
Si tu fais 200 km en voiture pour aller à Bourg d’Oisans (car c’est impossible d’y aller rapidement en TC), ce n’est pas 25 km de plus qui vont changer ton bilan carbone.
La Chartreuse est le massif Alpin le plus proche de Lyon mais impossible d’y aller en TC direct. Ensuite tu regardes les horaires du 1er train arrivant le dimanche matin à Chambéry et tu comprends que c’est impossible d’aller en TC a la journée en Chartreuse. Étant un peu un violent sur le sujet, je bricole en train + vélo + trail. Mais il faut déjà être « un peu » sportif et aimer les grosses journées.
La mobilité, c’est du lourd. Le citoyen n’a pas d’autres choix que de faire avec le peu qui est disponible.
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Il s’agirait de prendre la navette avec une tente « camp de base » de 3 ou 4 kilos, un réchaud, la popote, des vêtements de rechange, de quoi se laver, les duvets et les matelas, la bouffe… Et, cherry on the cake, le sac de montagne, la corde, etc. Le mode vacances n’est pas comparable au mode « week-end ».
Ou alors, on décide que La Bérarde ne sera plus un camp de base, mais un lieu de passage. Les retombées touristiques pour les vallées seront alors bien limitées parce que la durée de séjour le sera forcément.
Sinon, on peut aussi revenir au mode écolo du XIXe : monter ses affaires avec une caravane de mules. Mais ça sera réservé à un petit nombre.
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A une époque, j’avais regardé les connexions en train jusqu’à Grenoble, puis car jusqu’à Bourg d’Oisans et finir en navette. C’est quasi impossible sur un WE pour de l’alpinisme. Ca reste compliqué même sur 3 jours à cause du retour. En alpinisme, c’est classique de finir de nuit à la Bérarde.
J’avoue avoir du mal à comprendre les réflexions sur l’infaisabilité d’une navette, en se basant sur les usages/données d’avant la catastrophe. Si la solution retenue est une route dont l’usage est limité aux véhicules des locaux (permanents et/ou saisonniers), aux vélos, et aux navettes, on peut raisonnablement penser que ces dernières seront drastiquement réorganisées, en nombre, en plages horaires et en fréquence, au regard de leur importance pour assurer la fréquentation touristique nécessaire à l’économie locale.
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Techniquement, il n’y a jamais rien d’infaisable.
J’ai juste expliqué que j’avais regardé pour de l’alpi sur un WE à la Bérarde en TC, c’était quasi impossible sur un WE.
En France, même sur des grosses lignes concernant beaucoup de monde, les TC sont tout pourris. Par exemple, le 1er TER arrive à 10h15 à Chambéry le dimanche matin en été, et de mémoire 11h en hiver. Il y a une option en bus qui arrive à 9h50 mais qui triple le temps et la distance. Bonne chance pour se promener en montagne.
Je ne crois pas un instant que ça puisse s’améliorer significativement au fond d’un cul de sac perdu de l’Oisans, avec une activité économique proche de zéro. A fortiori parce que le soucis est également en grande partie en amont. Si c’est pour mazouter jusqu’à Saint-Christophe puis transporter sur 6 km les touristes en navette en juillet et août, c’est juste de l’affichage.
Surtout qu’il n’y a jamais eut beaucoup de trafic sur cette route ! Les 6 km entre Saint Christophe et la Bérarde ne vont pas changer la face du monde, à fortiori si une route est reconstruite pour permettre à une navette de passer.
Ce n’est pas Chamonix, la Maurienne ou la Tarentaise. C’est un cul de sac avec moins de 1 000 personnes les 2 gros WE de l’été.
Je ne crois pas un instant qu’une navette sérieuse sera mise en septembre, juin … et encore moins en semaine.
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Actuellement les navettes estivales Venosc/ Saint Christophe sont gratuites et financėes par la comcom de l’Oisans, tout comme les navettes qui circulent dans les autres vallėes au dėpart de Bourg d’Oisans vers Besse, Allemont/Vaujany, col d’Ornon.
Peut ětre que la commune de Saint Christophe trouvera les moyens de financer une navette Bėrarde avec des plages horaires plus importantes au dėpart de Venosc ou Bourg d’Oisans ( ou Grenoble…
)
En tout cas, ce n’est pas la comcom Oisans qui favorisera plus le Vėnéon et la Bėrarde que les autres vallėes de son territoire de compėtence. Une aide exceptionnelle a ėtė attribuėe cette annėe mais l’Oisans ne se limite pas å la Bėrarde et au Vėnėon et il y a aussi des besoins ailleurs.
D’autant plus que les touristes qui sėjournent å Bourg d’Oisans en ėtė ne sont pas spėcialement interessės par la Bėrarde surtout qu’il n’y aura plus rien à part un champ de ruines. Pour les randonnėes, il y en a des plus attractives avec des lacs ailleurs dans l’Oisans.
La navette la plus fréquentėe autant par les locaux que les touristes, reste celle d’Allemont å Venosc via BO qui circule aussi l’hiver pour relier les télécabines de Venosc et de l’Eau d’Olle. Cet ėté c’ėtait un cas å part avec une navette distincte et des horaires plus réduits pour Venosc et sans remorque Vtt.
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