Té trop sympa d’avoir fouillé, c’est chouette d’avoir un visuel sur le bin’s maintenant !
M’enfin ton calcul ne prend pas en compte que les p’tits plats que tu vas cuisiner, va bien falloir que tu payes les ingrédients et la cuisson aussi, du coup il te faudra peut-être quelques deux-trois années de plus pour que ça vaille vraiment le budget.
Le budget, certes, mais la « rentabilité », est-ce juste sur l’aspect financier qu’elle se joue ? Il paraitrait que c’est la « capacité à procurer un bénéfice ».
Du coup le bénéfice financier tu n’l’auras pas demain (voire même jamais, parce qu’imaginer que toutes tes machines tiennent plus de 15 ans, c’est optimisme !), mais t’en auras d’autres : arrêter de manger des plats tout prêts surement plein d’additifs et de trucs que tu ne contrôles pas, faire moins bosser les grosses industries, pouvoir choisir et savoir ce que tu manges, avoir un goût correspondant à tes attentes…
Bref, c’est juste pour aller jusqu’au bout du raisonnement hin parce qu’encore une fois c’était juste une question en l’air, mais la notion de « rentabilité » et de « bénéfice » ne peut se penser que sur un plan plus global, à mon sens…
Yep mais ça va être compliqué pour déshydrater le risotto ou le gratin dauphinois maison !
Et pour le coup on s’demandait (oui ça occupe du monde par chez moi c’te question !) si, lors du processus fait avec ton propre désydratateur (c’est plus rigolo avé une syllabe en rab), tu pouvais réhydrater et avoir un truc « humide » ?
Genre je fais mes tomates séchées, c’est validé. Mais jamais en remettant de l’eau je n’aurai la tomate revenue à la « normale », c’est juste un « autre produit », avec une durée de conservation certes plus longue, mais pour autant très éloigné de mon produit original, nan ?