L’article du Daubé http://www.ledauphine.com/un-freerider-je-sais-que-c-est-risque-mais-je-ne-compte-pas-m-arr-ter--@/index.jspz?article=285784&chaine=25 peut laisser songeur.
Ca commence par :
« Dire que l’on aime le ski hors-piste à l’heure où le monde de la montagne porte le deuil de cinq skieurs n’est pas politiquement correct. C’est pourtant ce qu’assume Benjamin*, bientôt 25 ans. »
Et il est précisé dans l’article que le prénom a été modifié, une drôle de façon d’assumer.
Personnellement je trouve l’article en dessous de tout, propre à laisser croire au lecteur pas trop au courant que nos activités (qu’importe que ce soit du ski hors-piste ou de la randonnée) sont des activités de trompe-la-mort à la limite de la légalité « Je ne me considère pas comme un hors-la-loi ».
La mise en danger des secours est de nouveau évoqué en oubliant de préciser qu’en général les secouristes sont également eux-même des pratiquants et que cette la préparation des domaines skiables (damage, sécurisation) a fait au moins 3 morts en France cette année (un conducteur de dameuse et deux pisteurs-artificiers) et que donc les skieurs sur pistes mettent les employés des stations en danger.