Hélicoptère pour erreur d'itinéraire !?

Posté en tant qu’invité par Jean-François C.:

J2LH a écrit:

Edelweiss a écrit:

Le problème est que c’est un mavais exemple à suivre.

Quoi ? Appeller les secours ? Qui te dit que c’était un appel
abusif ?

On n’appelle pas l’hélico sauf en cas de danger de mort.
Rien ne dit que c’était le cas,

Rien ne dit le contraire.

ils pouvait donc faire demi tour.

> Il semblerait que non sans se mettre en danger de mort.

Rappelez vous Vincendon & Henry !

Quoi Vincendon et Henry ? lls n’ont pas appellé abusivement les
secours il me semble. Ou alors remettrais-tu simplement en
cause l’utilisation de l’hélicoptère pour les secours en
montagne même quand il y a danger de mort ?

Rien ne dit dans le texte qu’ils risquaient de se mettre en danger de mort !
Ils ont descendu en rappel les Rochers Whymper trop bas, jusqu’au glacier qui était dans un « état désastreux » d’après eux, mais ces rochers peuvent peut-être se remonter, même si ce n’est pas un itinéraire recommandable : quand on se plante, on essaie de se rattraper.
Ce qui est grave, c’est que si on lit l’article rapidement, surtout un débutant ou un néophyte, on comprend :
« on se plante d’itinéraire, on se trouve devant un glacier dans un état désastreux, eh bien, on ne se pose pas de questions, on appelle l’hélico, plutôt que d’essayer de voir comment on peut s’en sortir ».
Pour une revue qui fait oeuvre « d’éducation » à la montagne, il aurait fallu expliqer pourquoi c’était justifié !

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Jean-François C. a écrit:

Pour une revue qui fait oeuvre « d’éducation » à la montagne, il
aurait fallu expliqer pourquoi c’était justifié !

D’accord pour ça.

Posté en tant qu’invité par PGHM:

qui de vous était sur les lieux au moment de la décision de l’appel aux secours organisés?
qui connait l’état physique des alpinistes a ce moment?
qui sais l’heure qu’il était au moment du declenchement de l’alerte?
qui connait les conditions météorologiques sur place au moment des faits ?

je ne pense pas que les journalistes de MMG n’ai pas reflechit avant d’appeler les secours! l’appel a surement été fait en connaissance de cause et c’est la mission du PGHM de porter assistance aux personnes des leur appel ! il vaut mieux redescendre des alpinistes meme si leur appel n’est pas justifié que les laissé en perdition et de les redescendre le lendemain pour leur dernier voyage !

philippe ! ancien du PGHM de la bérarde

Posté en tant qu’invité par Jean-François C.:

Le journaliste était sur place au moment des faits mais il a relaté les faits de telle sorte qu’une lecture rapide de l’article laisse penser que la solution en cas de difficultés consécutives à une erreur d’itinéraire est l’appel à l’hélicoptère.
Ecrivant dans un magazine consacré à la montagne, il aurait dû expliquer pour quelles raisons il avait appelé les secours.
C’est un problème de journalisme, pas de secours !

Posté en tant qu’invité par Francois:

Avant de déblatérer pour ou contre, il faudrait peut-être se renseigner sur les circonstances exactes de l’affaire.
Ces circonstances ne sont pas développées dans l’article en question, ce qui peut laisser supposer à un lecteur non averti que l’hélico est la solution dans tous les cas de perte d’itinéraire.
En ce sens, c’est bien un problème de journalisme, pas de secours.

Posté en tant qu’invité par typloum:

Edelweiss a écrit:

Ce qui va certainement occasionner la facturation des secours
dans un avenir +/- proche.

Pas aussi simple que ça.

Aujourd’hui des gens appelle les secours pour une entorse !

C’est plus ce que c’était hein, dans quel monde con vit hein, ouhlalala…

Ces journalistes si c’étaient des alpinistes ils ne
devaient pas appeler les secours.

Le meilleur pour la fin, allez au revoir

Posté en tant qu’invité par gaston:

Je suis d’accord avec la formule de JFC : « c’est un problême de journalisme, pas de secours ».
Encorre une mise au point à demander à MMG dans leur prochain n°.