Posté en tant qu’invité par Double P:
Quand j’écris « 60 numéros », j’exagère volontairement. C’est ce que l’on appelle une figure de style (même si je ne prétends pas faire du style)…
Posté en tant qu’invité par Double P:
Quand j’écris « 60 numéros », j’exagère volontairement. C’est ce que l’on appelle une figure de style (même si je ne prétends pas faire du style)…
Posté en tant qu’invité par Double P:
Comme tu vois, c’est à toi que j’ai répondu, et non à Céline, car je trouvais ton conseil de documentation assez mauvais. J’espère, humblement, lui avoir fait ainsi économiser un peu de temps.
Pour le reste, pas mal de monde a répondu (souvent mieux que toi). J’avoue ne pas être en mesure d’aller beaucoup plus loin.
Posté en tant qu’invité par canard:
c quoi le haut niveau pour vous ? quelle définition vous en donneriez ?
Posté en tant qu’invité par Jibiji:
Le haut niveau, c’est quand on est très fort, soit dehors (en falaise ou bloc), soit dedans (en compète). Après, aux experts de fixer des cotations et des classements qui délimitent le haut niveau.
En athlé, c’est pas pareil : pour faire du haut niveau, on est obligé d’être compétiteur
En montagne, c’est pas pareil : pas de compètes, seules les réalisations comptent…
La grimpe, c’est comme le surf : Laird Hamilton n’est pas obligé de faire de la compète pour être reconnu comme un surfeur émérite.
Posté en tant qu’invité par canard:
Jibiji a écrit:
Le haut niveau, c’est quand on est très fort, soit dehors (en
falaise ou bloc), soit dedans (en compète).
Je ne suis pas sur que les profs de celine acceptent une definition aussi simpliste ! lol
Pour moi les grimpeurs de haut niveau sont soit défini par les diverses compétitions d’escalade (en difficulté ou en blocs ) => les 10 meilleurs francais par ex ; soit ils se distinguent par leur performances en falaise (donc 8b+ a vue ou 9a apres travail)
Bon c’est pas forcément mieux definis mais c peut etre plus claire !
Posté en tant qu’invité par pj:
j’ en côtoie pas mal dans les salles et quelquefois en falaise.
Pour moi les grimpeurs de haut niveau se définissent comme tel :
Leurs gestes sont déliés, ils étudient le crux qui suit tout en délayant tranquille, ils donnent une impression de facilité dans les pas les plus durs.
ne fatiguent jamais et … ILS SONT SIMPLES.
la cotation m’importe peu dés l’instant où ils me procurent ce plaisir des yeux.
Ils me font penser à ces gens du cirque.
De véritables artistes en quelque sorte.
Posté en tant qu’invité par merlin:
En escalade, il faut aussi être compétiteur car c’est la compétition qui définit le haut niveau. les réalisations sont plus l’esprit montagne (alpinisme).
La compet apporte un plus par rapport aux réalisations indépendantes. Elle amène un cadre où chaque personne doit pour réaliser une perf utiliser ce qu’elle possède en elle.
La grosse différence entre la réalisation de croix c’est qu’en compet, les perfs sont à vue. Sortir une voie, oui mais de quelle manière.(a vue, 1er essai, après travail, …toute l’année). Ce qui fait la différence entre grimpeur excellent et sportif de haut niveau c’est la facilité d’adaption à sortir la voie. Quand un sera au taquet et lui faudra 2 jours pour sortir la voie, l’autre la sortira au bout de quelques essais.
Bien souvent, les meilleurs en compet font les meilleures réalisations en falaises quelques années plus tard. D’ailleurs bien des mouvements clés pour réussir une voie en falaise se travaillent sur un pan.
L’analogie entre la grimpe et le surf n’est pas valable car en surf les vagues ne sont jamais les mêmes. Le surfeur est donc dans tous les cas dans du a vue. Ce qui fait la force d’un surfer c’est sa capacité à s’adapter à la difficulté.
Posté en tant qu’invité par Double P:
Beaucoup de choses contestables dans ton post.
Si l’on résume ton raisonnement, le moyen le plus pertinent de comparer le niveau de performances d’un groupe de grimpeurs, c’est de les faire grimper en compet’, à vue, sur des prises, des mouvements, mis en place et imaginés par un ouvreur. Un peu restricitif pour un sport aussi riche et complexe que l’escalade.
Tu parles de capacité d’adaptation, c’est un point intéressant ; comment, dès lors, exclure les performances en falaise, y compris après travail, des critères d’évaluation. D’accord sur l’impossibilité de comparer la réalisation d’une même voie après 3 essais ou après 3 jours de travail. Pour simplifier, ne retenons alors que les deux notions : à-vue, ou après travail (de 1 à 1000 essais). Tu verras que le niveau 8c après travail permet déjà de faire un tri.
J’arrête, on pourrait en écrire des tonnes sur la question. Mais quand même, je me demande ce qui te passe par la tête lorsque tu écris : « La compet apporte un plus par rapport aux réalisations indépendantes. Elle amène un cadre où chaque personne doit, pour réaliser une perf, utiliser ce qu’elle possède en elle ».
Posté en tant qu’invité par Nukem:
merlin a écrit:
En escalade, il faut aussi être compétiteur car c’est la
compétition qui définit le haut niveau. les réalisations sont
plus l’esprit montagne (alpinisme).
Dois-je comprendre que Huber, Sharma, Graham ou Nicole ne font pas de haut niveau et que Bollinger fait de l’Alpinisme ?
Pis bon, la difficulté de lecture dehors et sur des prises en résine n’est pas vraiment comparable. Je suis placé pour comparé je suis un handicapé de la lecture.
L’analogie entre la grimpe et le surf n’est pas valable car en
surf les vagues ne sont jamais les mêmes. Le surfeur est donc
dans tous les cas dans du a vue. Ce qui fait la force d’un
surfer c’est sa capacité à s’adapter à la difficulté.
C’était pas une analogie surf/escalade mais plutôt une remarque sur le fait que le haut niveau n’est pas synonyme de compétition en escalade comme en surf. Dire que les surfeurs sont à vue et que les vagues ne sont jamais les mêmes est un peu réducteur. Tu n’auras jamais 2 fois exactement la même vague mais les vagues sont trés typées en fonction du spot et du fond. à Pipeline tu sait que si tu rates le take-off tu prends la vague sur la gueule. à Jeffreys Bay tu sait que des sections vont fermer et d’autre ralentir.
Un surfeur peut être excellent sur un beachbreak de sable et nul sur des vagues de récif au même qu’un grimpeur peu être bon sur du calcaire et ne rien voir sur du granit.
Posté en tant qu’invité par Etienne de Valencienne:
les vagues sont trés typées en fonction du spot et du fond. à Pipeline tu sait que si tu rates le take-off tu prends la vague sur la gueule. à Jeffreys Bay tu sait que des sections vont fermer et d’autre ralentir.
Un surfeur peut être excellent sur un beachbreak de sable et nul sur des vagues de récif
Zyva, l’autre, comment qu’il embrouille, le Nukem d’Angouleme!
Tu peux pas parler français de choses que tout le monde il comprend, quoi, comme les bolts, les nuts, les friends, les jumars, les yaniro, les red points, toutça, quoi?!?
Posté en tant qu’invité par J2LH:
merlin a écrit:
En escalade, il faut aussi être compétiteur car c’est la
compétition qui définit le haut niveau.
Qui dit compétition dit résine… et moi qui espérait encore que la salle n’était qu’un ersatz de grimpe.
Posté en tant qu’invité par Nukem:
Etienne de Valencienne a écrit:
Tu peux pas parler français de choses que tout le monde il
comprend, quoi, comme les bolts, les nuts, les friends, les
jumars, les yaniro, les red points, toutça, quoi?!?
J’avais pas assez waxé mon thruster. Du coup aprés le take-off j’ai du allongé mon bottom turn. La galère j’arrive pile dans la section en close out. J’essaie de passer en floater, mais que dalle j’avait pas assez de vitesse pour sortir un bon aerial. en plus mon leash c’est cassé et j’ai du nager jusqu’à la plage
Posté en tant qu’invité par Etienne:
C"est beau comme du JL Vandamme!
Posté en tant qu’invité par Nukem:
Etienne a écrit:
C"est beau comme du JL Vandamme!
Flatteur va ! si tu te moque de mon maître à penser, tu v’aware ta gueule à la récrée.