Posté en tant qu’invité par Michel F.:
Bonjour,
Nous projetons de faire la Grande Sassière (malgré les chutes récentes de neige) équipés crampons/piolet.
Quelles sont les difficultés/dangers à prévoir en conditions hivernales pour ce sommet ?
La sente le long du glacier est-elle à peu près évidente ?
Merci
Michel.
Avec la neige, tu ne verras plus la sente… Mais de toute manière l’itinéraire est évident : il suffit de suivre la large crête ouest jusqu’au sommet.
Si vous êtes bien équipés, pas de soucis pour faire la Grande Sassière en hiver. Le seul passage qui demande de poser les mains est la petite cheminée (I) qui permet de prendre pied sur la crête vers 3200 mètres. Paraît-il que cette cheminée est évitable par la gauche.
Posté en tant qu’invité par shearer:
Franchement …une cheminée!!!
Bon enfin ,si vous le dite…
Pour moi c’est pas une cheminée,tu montes un peu avec les mains quoi ,sur quelques mètres.
Posté en tant qu’invité par gouyou:
Aucun soucis pour monter à la sassière, simplement rester sur le fil afin de ne pas mettre pied sur le glacier… les piolets ne serviront pas, il n’y a pas de difficultés, ça se fait en vtt !!! (si,si)
Posté en tant qu’invité par ClaudeMD:
aucun soucis ok, mais vaut mieux quand même avoir son piolet
[quote=« ClaudeMD, id: 1440808, post:5, topic:127563 »]
aucun soucis ok, mais vaut mieux quand même avoir son piolet[/quote]
En effet, car la pente finale fait 35° environ, sur 200 mètres de haut, alors si la neige est dure mieux vaut avoir un piolet pour endiguer rapidement la glissade!
Jusqu’où la route est-elle dégagé?
Posté en tant qu’invité par gouyou:
En ce moment, jusqu’au barrage du saut, mais seulement jusqu’au hameau du franchet en hiver.
En VTT?! Pffff, un bon vélo de route fait l’affaire
Posté en tant qu’invité par Anonymous:
Surtout à la descente. A la montée, il est plutôt sur le dos 
Posté en tant qu’invité par AHauteville:
Pour être déjà allé à la Grande Sassière à cette époque, je pense qu’il vaut mieux parler de conditions automnales.
La couche de neige/verglas plus ou moins fine sur les éboulis de schistes de la pente finale m’a posé nettement plus de problèmes (même avec des crampons) que lorsqu’elle était couverte d’une ‹ vraie › couche de neige comme en hiver.