Posté en tant qu’invité par Hugues:
Des estimations montrent que un alpiniste est exposé à peu
près
a deux fois plus de
risque de mortalité en haute montagne que dans la circulation
routière.Je me pose la même questin que François. D’où provient cette
estimation ? Comment comparer le nb d’accident par km parcouru
aux nb d’heures passés en montagne ? Avec quel niveau de
pratique ? Etc… ?
Oui, ce serait intéressant d’avoir un minimum de détails sur ces « estimations ».
Personnellement, je considère que l’alpiniste (ou le randonneur à ski) est au randonneur pédestre ce que le motard est à l’automobiliste. Lequel motard a statistiquement 4 ou 6 fois plus (je ne sais plus exactement) de « chances » de décéder dans un accident de la route que l’automobiliste (12 fois plus même si on tient compte du kilométrage parcouru).
Les 2 pratiques (alpinisme et moto) sont loin d’être dénuées de dangers et dans un cas comme dans l’autre, l’imprudence, l’inexpérience, le manque de dextérité, la fougue, sont le plus souvent à l’origine de l’accident.