Posté en tant qu’invité par strider:
il y a les irréductibles du thermomètre qui nous disent que la température c’est la valeur de référence coute que coute…
et puis il y a le corps humain, la sensibilté au froid qui réagit différemment suivant la forme, le métabolisme , le moral et les individus etc…
et puis il y a le vent qui sème la pagaille dans la dialectique entre le corps et le froid extérieur.
chaque année on a de drôles d’histoires de gelures alors que le thermomètre donnait des températures raisonnables (de l’orde de 0°C à -10°C) et que globalement la personne était suffisamment équipé pour cette température…mais curieusement on n’évoque pas toujours assez que cela se produit souvent en cas de jour à forte circulation athmosphérique(rafale, tempête etc…)
pour ceux qui en ont fait l’expérience sur le terrain, le froid et le vent ont une action combinée en montagne qui forme, en quelque sorte, une boucle de rétroaction positive (pour le froid, c’est à dire diminuant la température):
laissez en juger par cette estimation générale de JJ. Thillet, qui varie un peu suivant les individus et leur sensibité au froid:
bref de quoi faire réfléchir les gens, sur la relativité des températures en altitudes…
[%sig%]
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