Le problème de ta façon de refuser de comprendre les risques d’un monde hyper-connecté.
Ah tiens, on n’en a pas encore parlé, de cette vaste foutaise du coronavirus, c’est assez lié, je te l’accorde. Et je le pense vraiment. Si on calmait un peu le jeu de l’hyper-connectivité et de l’hyper-information, on ne saurait même pas que cette petite petite maladie existe. Pas plus que ma dernière gastro… que j’ai oublié de communiquer sur les réseaux sociaux!
C’est toi qui veut défendre le fait qu’il soit possible de se connecter partout et en permanence. Après, le fait de prendre des béquilles pour nous aider à nous en sortir malgré notre médiocrité (je parle pour moi, et c’est vrai, j’ai un ARVA pour m’aider, par exemple). Ce que je ne comprends pas, c’est de vouloir à tout prix pouvoir communiquer en permanence. Il me semble que ça ne rajoute que de l’inconfort.

. C’est même ce qu’on apprend (apprenait???) dans les stages carto/orientation. Et je me souviens de mon dernier stage de recyclage d’encadrante en ski de rando, avec un brouillard à couper au couteau. On a tout fait à la carte et à la boussole (évidemment, en préparant avant les azimuts au refuge). Le guide du stage nous demandait de temps en temps où on pensait qu’on était et vérifiait avec son GPS (et en ce qui me concerne, je me suis pas mal débrouillée à ce jeu-là
). On a aussi utilisé la technique de la sonde et la bouteille plastique pour éviter les trous de neige ou les descentes trop raides.
, même s’il avait plus souvent l’habitude d’aller sur Nacamuli. (Même moi, très modeste pratiquante, et habitant loin des montagnes, j’ai dû faire deux ou trois fois cette descente