Le problème de ta façon de refuser de comprendre les risques d’un monde hyper-connecté.
Ah tiens, on n’en a pas encore parlé, de cette vaste foutaise du coronavirus, c’est assez lié, je te l’accorde. Et je le pense vraiment. Si on calmait un peu le jeu de l’hyper-connectivité et de l’hyper-information, on ne saurait même pas que cette petite petite maladie existe. Pas plus que ma dernière gastro… que j’ai oublié de communiquer sur les réseaux sociaux!
C’est toi qui veut défendre le fait qu’il soit possible de se connecter partout et en permanence. Après, le fait de prendre des béquilles pour nous aider à nous en sortir malgré notre médiocrité (je parle pour moi, et c’est vrai, j’ai un ARVA pour m’aider, par exemple). Ce que je ne comprends pas, c’est de vouloir à tout prix pouvoir communiquer en permanence. Il me semble que ça ne rajoute que de l’inconfort.