G.p.s

Posté en tant qu’invité par Pierrot:

Mon hésitation pour l’acquisition d’un G.P.S. vient du moment où je suis partit pour l’achat d’une montre altimétre(environ200€) . 1ér prix d’un G.P.S Summit.munie d’un altimétre/boussole environ 300€+70€ de cable pour P.C, c’est tentant…Bien sur vient aprés Garmin Vista, cartes intégrés et mémoires libre de 24mo(au fait,à quoi sert cette mémoire libre, peut-êtreà charger des cartes via un P.C.???) mais qui lui tape tout de méme à 450€ avec cable intégré.
Oui ,bien sur il faut toujours le doublé de cartes et boussole tout de même!!!
Petites question aux utilisateurs: faut-il recaler l’altimétre d’un G.P.S. ou ce derniers ce recale il de lui même automatiquement???.
Oui, je sais, je pourrai le demander au vendeur, mais je me méfie de leurs arguments de vente, rien de tel qu’un avis de bon utilisateur.@+

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Tiptop a écrit:

Si on considère le GPS comme un gatget (et dans la majeure
partie de cas, je suis bien d’accord), pourquoi ne pas
considèrer l’alti comme un gatget aussi !? Parce qu’il est plus
fiable ? Ce n’est pas vraiment le cas sur les informations
qu’il donne.

L’erreur ne dépasse pas 20m avec un alti correct.

Parce qu’il est indispensable ? Ce n’est pas
vraiment le cas en comparaison de la carte et de la bousole.

Le terme indispensable n’est pas judicieux à mon avis, si il est indispensable c’est pour utiliser certaines méthodes d’orientation. Ne pas avoir d’altimètre ne permet pas d’utiliser certaines méthodes mais ce n’est pas pour ça qu’on ne va pas s’en sortir.

Ce qui est gênant avec le GPS, à part l’autonomie restreinte des modèles actuels, c’est qu’il propose des méthodes qui ne sont plus basées sur l’observation et que si on pense comme moi que l’orientation et la recherche de l’itinéraire font partie du jeu le GPS est un moyen artificiel qui peut diminuer l’intérêt de la course.
Qu’est ce qui est le plus intéressant dans le contexte d’un loisir de montagne ? S’orienter en utilisant des méthodes d’observation ou régler définitivement le problème de l’orientation en utilisant un moyen artificiel ? Apprendre à s’orienter ne fait il pas tout autant partie du jeu que d’apprendre à poser un relais ? Mais évidement… le GPS peut sauver des vies.

J’ai en réalité beaucoup de mal à m’imaginer utiliser prioritairement le GPS pour m’orienter et à me baser sur des chiffres pour trouver un point enregistré à l’avance plutôt que d’utiliser l’observation, la carte, la boussole et l’alti pour repérer l’itinéraire. Je vois le GPS, qui semble plus complexe à mettre en oeuvre que des méthodes classiques bien maîtrisées, comme une solution de secours mais pas comme la façon normale de s’orienter en rando.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Francois a écrit:

… dans ces conditions, mise à part l’aspect « joujou avec de
l’electronique », je ne vois pas trop l’intérêt du truc.

Il y a des situations où carte, boussole et alti sont insuffisants ou du moins leur utilisation reste hasardeuse. Et comme par hasard ces situations sont celles où les problèmes ne se résument pas à des problèmes d’orientation mais également a des dangers liés aux conditions météo ou tout simplement à l’endroit ou tu poses le pied.

D’un autre côté tu as l’effet pervers du GPS, un sentiment de sécurité qui peut pousser a des imprudences. Quand tu te fais surprendre par le brouillard sans GPS tu es plus incité à faire demi-tour que si tu as un GPS.

Posté en tant qu’invité par Stalker:

Pierrot a écrit:

Mon hésitation pour l’acquisition d’un G.P.S. vient du moment
où je suis partit pour l’achat d’une montre
altimétre(environ200 €. 1ér prix d’un G.P.S Summit.munie
d’un altimétre/boussole environ 300 € +70 € de cable
pour P.C, c’est tentant…Bien sur vient aprés Garmin
Vista, cartes intégrés et mémoires libre de 24mo(au fait,à quoi
sert cette mémoire libre, peut-êtreà charger des cartes via un
P.C.???) mais qui lui tape tout de méme à 450 € avec cable
intégré.

Pour le même prix je pars en Thailande. Mais bon, on peut toujors rester à la maison pour rentrer des waypoints…

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Jerome:

Pierrot,

Pour info je possède un Vista et je veux bien te le laisser à 320 euros avec les cartes.

Evidemment c’est cher mais avec ça tu n’as plus besoin de SUUNTO, tu peux aller n’importe où dans ta ville sans te perdre. Tu peux grâce aux cartes trouver les restos sympas, les hôtels du coin et il t’y emmène. Tu as l’alti le baro, les cartes marines, la carte de ta ville.

Sincèrement le GPS ne sert qu’à 5% en montagne. C’est un achat que tu ne regrettes pas, surtout le Vista qui est vraiment fabuleux RIEN à voir avec le jaune.

Avec internet tu as maintenant accès à la traduction adresse - point GPS

Je veux d’ailleurs m’en acheter un plus puissant.

Le GPS c’est un super outil de sécurité mais en fait on s’en sert partout et entre une SUUNTO à 200€ et un Vista y a vraiment pas photos.

N’hésite pas si tu fais un choix.

Posté en tant qu’invité par gi:

arretez tous de delirer c est pas possible de comparer un gps et un alti, c est comme si vous hesitiez entre les pompes et le sac a dos avant une course!
bref ca depend de ce ke vous faites, perso je l utilise de moins en moins en montagne, mais je m eclate avec en velo (y a une petite base de donnee installée dedans, c est extremement bien adapte au cyclotourisme)
l autre utilisation ideale hormis le temps pourri c est un endroit vraimment paumé ou vous n avez pas de carte precise
perso je trouve ke sortir un alti en montagne c est vraimment une perte de temps, de concentration, et c est une insulte au chef de course (sauf si le plan vire vraimment a la galere, et dans ce cas c est plus a rapprocher du matos de securite comme le telephone gsm)

Posté en tant qu’invité par Popol:

Gus a écrit:

Je possède un GPS Garmin mais pas le modèle le moins cher car
effectivement prendre le modèle de base n’a aucun intérêt. Il
faut pouvoir intégrer des cartes et là cela devient
effectivement intéressant .

En fait mon GPS, je m’en sers tout le temps mais paradoxalement
il me sert peu en montagne. En alpinisme le chemin n’est pas
forcément un gros problème et une carte et une boussole
suffisent sauf les jours où l’on n’y voit rien et là il peut
vraiment vous sauver la vie.

En fait le GPS il me sert tout le temps en voiture (pourtant il
est prévu pour de la rando) pour mémoriser l’endroit ou j’ai
garé ma voiture, pour me souvenir du super coin paumé où j’ai
passé la nuit, pour ne plus me poser de question quand je vais
voir des amis le soir en banlieue et pour trouver un resto en
plein Morvan.

Pour moi entre une SUUNTO et un Garmin ben je garde le Garmin.

en montagne c’est probablement pas tout le temps nécessaire
sauf le jour … en revanche pour le reste c’est vraiment utile
mais SURTOUT n’achetez pas le Garmin jaune.

Une des questions posées par Pierrot est « le gps devient-il indispensable tant pour une randonnée qu’une course de neige ? »
Tu nous dis qu’il faut un gps avec cartographie intégrée pour une utilisation en voiture.
Soit, mais ce n’est pas le sujet.
Pour une utilisation en randonnée glacière en été et surtout en hiver, je maintiens que le gps garmin jaune (geko 101) est plus que suffisant.
Pour cette utilisation, pas besoin d’enregistrer des routes, quelques points suffisent pour se repérer : refuges, sommets, cols, etc.
Ca ne dispense pas d’avoir carte, boussole, et altimètre puisque le gps
peut te donner une valeur d’azimuth mais il te faut quand-même le viser avec la boussole.
De plus il a été dit que le gps peut ne pas fonctionner parce que tu ne capte pas de signal satellite dans certains endroits escarpés donc une boussole indédendante du gps est nécessaire.
Quant à l’altitude, point n’est besoin de recaler le gps car elle est calulée par l’appareil en fonction des données des satellites.
Mais il faut savoir qu’elle est souvent imprécise. Si tu captes trois satellittes tu n’auras qu’une position horizontale. Avec quatre satellites tu auras une altitude impécise. Avec cinq satellites et plus tu auras l’altitude à quelques mètres près.
Un altimètre barométriques indépendant te donne aussi des indications sur la météo à venir, ce que ne fait pas le gps.
Pour ma part je ne m’en sert qu’en randonnée à ski et il m’a bien rendu service plusieurs fois lorsque j’étais perdu dans la tourmente sur glacier (Argentière, Aletsch, Fieschergletscher).

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Popol a écrit:

De plus il a été dit que le gps peut ne pas fonctionner parce
que tu ne capte pas de signal satellite dans certains endroits
escarpés donc une boussole indédendante du gps est nécessaire.

Elle est d’autant plus intéresssante qu’un GPS peut tomber facilement en panne et que ce ne sont ni le poids, ni l’encombrement ni le prix d’une boussole qui justifiraient de ne pas en avoir une. La boussole étant souvent bien plus pratique à l’usage que le GPS.

Quant à l’altitude, point n’est besoin de recaler le gps car
elle est calulée par l’appareil en fonction des données des
satellites.

Et puis tu as ta position sur la carte, l’altitude qui n’est d’ailleur plus une information primordiale, tu la lit directement sur la carte.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

gi a écrit:

perso je trouve ke sortir un alti en montagne

Un GPS tu veux dire.

c est vraimment
une perte de temps, de concentration, et c est une insulte au
chef de course

En général c’est moi le chef de course, et si tu veux vraiment parler de l’alti et non du GPS ça ne me gêne pas que d’autres en possède dans le groupe, au contraire.

Posté en tant qu’invité par Mag:

Totalement d’accord avec Popol.
J’ai acheté un Garmin jaune Geko 201 récemment et en suis tout à fait satisfaite. Je continue d’utiliser carte, boussole et altimètre (mécaniques, pas de risque de panne !) en traçant au mieux les azimut si nécessaire…
Mais si la course choisie est potentiellement délicate pour s’orienter (grande étendue glacière sans pt de repère), et/ou si je suis responsables d’autres personnes, je prends le GPS au fond du sac. C’est pas un problème puisqu’à ma connaissance le Geko 201 est un des + léger et petit. En plus, je me suis arrangé pour que ça soit les mêmes piles que lampe frontale et DVA (ARVA)… donc j’ai en général un jeu de piles neuves.
Donc, si vraiment les azimuts avec les instruments classiques ne suffisent plus, et que je me suis paumé, il me reste une chance. Et là, pas besoin de carte intégrée. Il suffit

  • que le GPS me donne les coordonnées (par ex. CNS) ou je suis, et j’y repère sur la carte papier
    -ou, si j’ai rentré un point, par ex la cabane, il me donne la direction à suivre pour y aller, et je continue à la boussole
    La fonction enregistrement de la trace, sur un trajet où je reviens
    par le même chemin, me semble interressante aussi.

Pourquoi payer + cher et porter + lourd et + volumineux ?

Cet avis n’engage que moi
A+
Mag

Popol a écrit:

Pour une utilisation en randonnée glacière en été et surtout en
hiver, je maintiens que le gps garmin jaune (geko 101) est plus
que suffisant.
Pour cette utilisation, pas besoin d’enregistrer des routes,
quelques points suffisent pour se repérer : refuges, sommets,
cols, etc.
Ca ne dispense pas d’avoir carte, boussole, et altimètre
puisque le gps
peut te donner une valeur d’azimuth mais il te faut quand-même
le viser avec la boussole.
De plus il a été dit que le gps peut ne pas fonctionner parce
que tu ne capte pas de signal satellite dans certains endroits
escarpés donc une boussole indédendante du gps est nécessaire.
Quant à l’altitude, point n’est besoin de recaler le gps car
elle est calulée par l’appareil en fonction des données des
satellites.
Mais il faut savoir qu’elle est souvent imprécise. Si tu captes
trois satellittes tu n’auras qu’une position horizontale. Avec
quatre satellites tu auras une altitude impécise. Avec cinq
satellites et plus tu auras l’altitude à quelques mètres près.
Un altimètre barométriques indépendant te donne aussi des
indications sur la météo à venir, ce que ne fait pas le gps.
Pour ma part je ne m’en sert qu’en randonnée à ski et il m’a
bien rendu service plusieurs fois lorsque j’étais perdu dans la
tourmente sur glacier (Argentière, Aletsch, Fieschergletscher).

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Robert:

Je crois qu’il y a confusion sur les divers avis:
C’est évident que le Gps n’est pas indispensable et qu’on s’en passe très bien 99% du temps. mais comme dit Catherine sur le plateau des Rouies, du Trient, sur le Dôme du Goûter, ou sur les grands plateaux quels qu’ils soient ET DANS LE BROUILLARD il devient instrument de sécurité car rapidité égale sécurité. Si le waypoint du refuge est déjà rentré on aura vite fait de le retrouver parce que la tangente à la courbe ça prend un certain temps et c’est d’une précision toute théorique. Si le waypoint n’est pas rentré ça permet instantanément de se situer sur la carte. Il faut bien sûr gérer l’alimentation et c’est pour ça qu’il vaut mieux un alti et une boussole indépendants

Posté en tant qu’invité par Dom:

Je pensais un peu comme toi, jusqu’au jour où … au beau milieu d’un raid, nous avons été pris dans un brouillard parfait à l’approche d’un col débonnaire mais bien large d’où nous devions redescendre par l’une de deux combes glacières, de configuration similaire au départ, puis inaccessible pour la première (pente et crevasses sur non visibilité) et acceptable pour l’autre. Ben, j’ai quelque peu changé d’avis ce jour-là … redoutable, le GPS !
Je pense, qu’en raid, un GPS pour le groupe, c’est une bonne idée, à la réserve que l’outil demande un sérieux entraînement et qu’il est utile de prévoir deux jeux de piles (un qui reste au chaud en réserve pour le jour où …) pour un raid.

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Robert a écrit:

Si le waypoint du refuge est déjà rentré on aura vite fait de
le retrouver parce que la tangente à la courbe ça prend un
certain temps et c’est d’une précision toute théorique.

Surtout sur plateau.

Posté en tant qu’invité par Michel:

Bonjour à tous,

Dans le domaine maritime, le GPS est devenu un instrument incontournable de navigation, bien que les instruments « traditionnels » (compas de relevemùent, Gonio, compas) sont d’une précision qui n’a rien à voir avec celle des boussole et altimetre dont les alpinistes disposent.
La raison est simple : moyennant d’avoir PREPARE sa navigation (waypoints), on passe ainsi plus de temps à naviguer dehors qu’à la table à cartes : c’est quand meme beaucoup plus sympa et c’est aussi plus sûr (beaucoup plus sûr). Confort et sécurité.

Alors pourquoi pas de GPS en Montagne ? En montagne, la plupart du temps, on n’a pas besoin de se positionner PRECISEMENT (je veux dire à 15m pres) parce qu’on évolue A VUE. Or en mer, évoluer à vue, c’est comme circuler sur un glacier enneigé sans corde : le danger est INVISIBLE car sous l’eau. Par contre, en montagne, en cas de brouillard, TOUT change : on a besoin de connaitre sa position parce que certains points de passage (goulets, ponts de neige, col, sommets…etc) ou d’arrivée (refuges, …) sont incontournables. On peut jouer à les trouver avec CBA (carte, boussole, alti) mais cet exercice reste TRES aléatoire. Il m’est ainsi arrivé de ne pas parvenir à rejoindre le lac du Crozet (en montant heureusement !) !! Le GPS est un instrument de sécurité comme la couverture de survie, l’ARVA, la corde sur glacier : ça ne sert que toutes les 250 sorties et encore… Avec ça, chacun fait ses choix.

Généralement, quelques (5 ou 6) points critiques sont suffisants sur une course. Pour un raid, ça peut donner 30 à 40 points, un peu plus si on prévoit des réchappes. Le défaut de l’absence de connection PC est qu’il faut « rentrer » ces points à la main avec une interface qui est le plus souvent déplorable, ce qui induit des risques TRES Importants d’erreur.
Avec IGN Rando (cartographie au graphisme assez dégueulasse) sur PC, il faut 5 mn pour rentrer un raid de 6 jours.
C’est un peu comme le téléphone GSM, évidemment ça ne passe pas partout, mais personnellement j’en glisse toujours un éteint dans mon sac (au fond)… en espérant ne jamais en avoir besoin.

La Montagne est un Monde de liberté,

Michel,

Posté en tant qu’invité par Hugues:

Michel a dit:

« Par contre, en montagne, en cas de brouillard, TOUT change : on a besoin de connaitre sa position parce que certains points de passage (goulets, ponts de neige, col, sommets…etc) ou d’arrivée (refuges, …) sont incontournables. On peut jouer à les trouver avec CBA (carte, boussole, alti) mais cet exercice reste TRES aléatoire »

Le « TOUT change » et le « TRES aléatoire » me paraissent excessifs même si je reconnais qu’une bonne purée de pois bien épaisse rend l’orientation très difficile en ski de randonnée. Mais en procédant calmement on y arrive quand même (j’ai toujours réussi sans trop de mal sauf une fois en descendant du Mont Vélan pour remonter à la cabane de Valsorey, mais dans le groupe un imbécile, en nous entrainant vers une fausse piste, avait presque réussi à nous déboussoler complètement)

En tout cas le GPS ne donnera jamais la position des ponts de neige (à part ceux que tu auras éventuellement enregistrés au passage à la montée en vue de la redescente, mais en cas de traversée ce n’est pas possible).

Posté en tant qu’invité par J2LH:

Michel a écrit:

Alors pourquoi pas de GPS en Montagne ?

A mon avis le problème ne se pose pas comme ça mais serait plutôt de savoir si il est judicieux d’utiliser le GPS comme principale méthode d’orientation. Il me semble qu’en utilisant le GPS on est dans la situation inverse, avec une visibilité correcte l’orientation est plus longue avec le GPS et c’est une méthode qui n’est plus basée sur l’observation, c’est domage parce qu’on se prive d’une partie du jeu.

On peut jouer à les
trouver avec CBA (carte, boussole, alti) mais cet exercice
reste TRES aléatoire.

Ca dépend de la situation, il ne faut pas condamner la méthode dès que le brouillard se lève.

Il m’est ainsi arrivé de ne pas parvenir
à rejoindre le lac du Crozet (en montant heureusement !) !!

C’est rater un éléphant dans un couloir ça non :wink: ? Enfin, je ne dis pas que j’aurais fait mieux mais pour ce qui concerne le lac du Crozet il me semble que le relief est suffisament marqué pour que l’indication de l’altimètre soit pertinente à utiliser. Je suppose quand même que c’était en hiver.

Le GPS est un instrument de sécurité comme la couverture de
survie, l’ARVA, la corde sur glacier : ça ne sert que toutes
les 250 sorties et encore… Avec ça, chacun fait ses choix.

Tout à fait.

C’est un peu comme le téléphone GSM, évidemment ça ne passe pas
partout, mais personnellement j’en glisse toujours un éteint
dans mon sac (au fond)… en espérant ne jamais en avoir
besoin.

Ca ne peut pas faire perdre de temps.

Posté en tant qu’invité par Michel:

Hugues a écrit:

Le « TOUT change » et le « TRES aléatoire » me paraissent excessifs
même si je reconnais qu’une bonne purée de pois bien épaisse
rend l’orientation très difficile en ski de randonnée. Mais en
Je persiste et signe TOUT change et il m’est arrivé de me perdre donc « TRES aléatoire ».

procédant calmement on y arrive quand même (j’ai toujours
réussi sans trop de mal sauf une fois en descendant du Mont
Vélan pour remonter à la cabane de Valsorey, mais dans le
groupe un imbécile, en nous entrainant vers une fausse piste,
avait presque réussi à nous déboussoler complètement)

Il y aurait bcp à écrire (et il existe bcp d’écrits) sur les comportements de groupe. Je n’étais pas sur ce terrain mais je pense qu’un GPS peut constituer un arbitre précieux.
Pour ma part, je prends seul mes décisions et les assume.

En tout cas le GPS ne donnera jamais la position des ponts de
neige (à part ceux que tu auras éventuellement enregistrés au
passage à la montée en vue de la redescente, mais en cas de
traversée ce n’est pas possible).
EXACT. Le GPS, pas plus que la carte, ne place les crevasses aux endroits attendus.
Un repérage à la montée (et un WPT) peut etre tres utile.

Posté en tant qu’invité par Michel:

J2LH a écrit:

c’est domage
parce qu’on se prive d’une partie du jeu.
Je n’ai jamais dit qu’il ne fallait pas utiliser CBA, simplement il y a des cas où je ne VEUX PAS JOUER.

Il m’est ainsi arrivé de ne pas parvenir
à rejoindre le lac du Crozet (en montant heureusement !) !!

C’est rater un éléphant dans un couloir ça non :wink: ? Enfin, je
ne dis pas que j’aurais fait mieux mais pour ce qui concerne le
lac du Crozet il me semble que le relief est suffisament marqué
pour que l’indication de l’altimètre soit pertinente à
utiliser. Je suppose quand même que c’était en hiver.
Chacun ses expériences. A la cote du lac, tu peux etre plus au N ou plus au S.
As tu déjà fait la traversée du Vercors dans le brouillard sans te perdre ?

Ca ne peut pas faire perdre de temps.
Il n’y a AUCUNE perte de temps à s’orienter avec un GPS bien au contraire.

PS l’été (au Crozet comme dans le Vercors) il y des sentiers et des balisages, pas besoin d’orientation.

Posté en tant qu’invité par Hugues:

Si pour toi le brouillard change vraiment TOUT et que dans ce cas l’orientation avec CBA est pout toi TRES aléatoire, tu fais effectivement bien de prendre un GPS, mais ce jugement n’est pas nécessairement partagé par tous. C’est simplement ce que je voulais dire.

Posté en tant qu’invité par Riton:

Bonsoir,
j’ai un etrex depuis 4 ans et j’en suis trés content.Il n’est pas prés d’être dépassé,

Pour ceux que le GPS en montagne est un gadget et bien qu’il continue à le penser.Lorsqu’il fait beau le GPS est totalement inutile.Il te suffit de lever le nez et regarder (un peu) ta carte pour savoir ce que tu fait .Par contre lorsque le mauvais est là . Le GPS (lui) est capable de te dire avec précision là ou tu te trouve (En carto c’est ce qui est le plus dur!) et à partir de là d’etablir le programme pour la suite.Mais il ne faut rêver si te ne maitrise pas la lecture de carte , le GPS ne te servira pas à grand chose. Le GPS est d’une aide précieuse dans le cas de la carto classique et même la simplifie . En gros on bosse d’abord le BAC (boussole ,alti, carte) et aprés on parle GPS.