Posté en tant qu’invité par yann:
Bonjour à tous,
Pour faire comprendre à mes élèves les relations entre teneur en oxygène de l’air et travail du coeur, je cherche des données de terrain sur les rythmes cardiaques et respiratoires d’alpinistes. Savez vous où je pourrais trouver cela??? Merci pour eux (et pour moi).
Yann
Posté en tant qu’invité par Dom:
yann a écrit:
Bonjour à tous,
Pour faire comprendre à mes élèves les relations entre teneur
en oxygène de l’air et travail du coeur, je cherche des
données de terrain sur les rythmes cardiaques et
respiratoires d’alpinistes. Savez vous où je pourrais trouver
cela??? Merci pour eux (et pour moi).Yann
Dans le livre ci-dessous http://www.ffme.fr/boutique/montagne/medecine.htm
ou les articles suivants
http://www.ensa.jeunesse-sports.fr/echos/P_robach8-12-02.htm
<http://www.ensa.jeunesse-sports.fr/medical/pdf/rsum.pdf
http://www.ensa.jeunesse-sports.fr/medical/pdf/pp_performance.pdf
Posté en tant qu’invité par Dom:
… hum, pas encore bien réveillée …
Posté en tant qu’invité par Francois:
« … hum, pas encore bien réveillée … »
A 8h38!
Posté en tant qu’invité par yann:
Merci dom et bonne nuit
Posté en tant qu’invité par Philou:
Salut,
je reviens d’Equateur et j’ai fait un test sur mon rythme cardiaque en altitude.
En France (100 m), mon poul est à environ 52.
En Equateur, j’ai fait progressivement 4 sommets d’acclimatation à 4200, 4600, 4800 et 5100 m.
Mes données sont les suivantes: montée à chaque fois entre 115 à 135 p/mns suivant la pente. Plus on avance dans le temps et donc + on est acclimaté, moins de VMA nécessaire pour atteindre ce rythme cardiaque. Je n’ai donc pas ressenti véritablement de réduction de mon poul à l’effort mais par contre une meilleure utilisation de l’oxygène et donc une plus grande capacité pulmonaire pour une vitesse supérieure.
Au repos, non acclimaté, vers 4000 m, mon poul était très variable: entre 70 et 80. + haut (4700-5000), mon poul au repos était de l’ordre de 90 p/mns.
Si tu veux plus d’infos, n’hésite pas.
A+
philou
Posté en tant qu’invité par Matt:
Pierre Paperon dans son livre ‹ J’ai vécu l’Everest ›, cite une foule de référence à ce sujet. Son récit est par la même occasion très intéressant et orienté vers la performance physiologique.